Méthodologie de la traduction
I. La traduction directe
Les 7 procédés sont des techniques, des « reflexes » qu’il faut avoir. Il ne faut pas les appliqués de manière trop systématique. Il faut se relire et se demander si le procédé est légitime (donc réfléchir sans l’appliquer bêtement). a) L’emprunt
Définition : mot qu’une langue emprunte sans le traduire.
Signe : le mot est un signe composé d’un signifiant et d’un signifié.
Le signifiant : c’est l’enveloppe, la partie visible (la graphie) la partie audible (phonétique) du signe linguistique.
Le signifié : la partie caché du signe linguistique, la partie mentale qu’on se fait du référent.
Le référent c’est un exemple de ce qui existe vraiment.
2e définition : on prend à un système linguistique un signe linguistique (signifiant + signifié) et on l’intègre tel quel dans un autre signe linguistique.
Questions : * S’agit –il vraiment d’un procédé de traduction ?
On reste en deçà de la traduction avec l’emprunt.
* Pk est-ce qu’on emprunte à d’autres langues dans la vie courante ?
A l’origine de l’emprunt il y a le plus souvent une lacune méta linguistique. Cela entraîne l’emprunt. (bed&breakfast, cowboy, football, pub, fairplay, walkman, western, week-end…). En anglais (avant garde, à la carte, chic…) On emprunte pour faire couleur locale. C’est devenu aussi une mode. On emprunte également pour faire de l’ironie ou par paresse.
* Faut-il avoir recours aux emprunts dans les exercices de traductions ?
Oui certains sont nécessaire (ceux anciens et bien établi)
Les emprunts sont + ou - anciens. Certains perdurent, d’autres non. Le signifiant subit parfois des modifications (week-end par exemple).
L’emprunt est un processus naturel d’enrichissement des langues. Il y a des faux emprunts : parking, dancing, casting… ce sont les français qui les ont inventés. b) Le calque
Définition : emprunt d’un syntagme avec traduction littérale de ses éléments.
Ex : weekend fin de