Les Elements Narratifs

personnages, les circonstances de leur rencontre, et le thème de leur conversation. II - Forme On attend que vous respectiez tous les caractères formels du dialogue, il y a 2 façon décrire un dialogue : Un dialogue inséré dans un texte narratif Vous devez savoir utiliser à bon escient la ponctuation du dialogue. Un dialogue romanesque s'ouvre et se ferme par des guillemets. Entre-temps, on utilise des tirets pour marquer les changements de locuteurs. Vous préciserez bien qui parle avec

nôtres Cette fable est un récit vivant car : Animaux personnifiés Utilisation du discours direct principalement Utilisation d’une ponctuation expressive Pas de schéma narratif car il est court Ici les personnages sont en train de se plaindre et de se juger , la fabuliste dénonce l’ingratitude des animaux Introduction : Éléments biographiques sur La Fontaine. Au XVII è siècle la littérature s’efforce d’instruire et de plaire, fidèle à cette exigence du classicisme La Fontaine en 1668 propose ses

Dans le malentendu, sans l’évènement raconté, l’évènement représenté n’a plus de substance ni d’intérêt. Si la représentation fonctionne, c’est parce qu’elle s’appuie constamment sur le récit. Martha, sa mère et Jan ont souvent recours à cet élément narratif comme s’ils se raccrochaient à lui pour survivre sur scène encore quelques heures. En revanche, Maria, la femme de Jan, interrompt souvent les récits de ses interlocuteurs et leur préfère le langage simple de l’amour, le dialogue. Paradoxalement

intervention, je voudrais analyser deux histoires d’amour différentes racontées dans Moderato cantabile (1958) et Dix heures et demie du soir en été (1960) où l’auteur exploite le même motif - le crime passionnel - qui, tout en paraîssant être un élément anodin de la diégèse, y remplit une fonction fondamentale parce qu’il change d’une manière latente mais décisive la situation initiale des personnages. Les deux crimes, quoiqu’ayant un dénominatif commun « passionnel », se déroulent dans des circonstances

Relevez les indices qui montrent que ce texte s’apparente à une autobiographie. (Deux indices) (1pt) 3- Relevez du texte le champ lexical du vêtement: (Quatre mots) (2pt) 4- a- Recopiez le tableau suivant et faites correspondre : A- passage narratif B- passage descriptif. (1.5pt) - Passage 1 « Finalement elle fixa son choix sur un gilet cerise (…) en fit une boule qu'elle fourra brusquement entre les mains du marchand. » -……………………….. - Passage 1 « Les marchands ne ressemblaient pas

détour. Ainsi se dessine la problématique : quelle est la nécessité du détour ? Chacun à sa façon, les documents de notre corpus apportent une réponse à travers une analyse symbolique du labyrinthe par Jean Chevalier et Alain Gheerbrant, un texte narratif tiré d’un roman policier de Fred Vargas, Salut et Liberté, et enfin une case de Persepolis, une bande dessinée de Marjane Satrapi, détournant la Pietà de Michel-Ange. Nous verrons d’abord comment le détour transmet une connaissance avant de le

sens explicite de la narration et le sens implicite, (ligne 5 et 6) « Ces gens ne sont pas faits pour se perdre à l’intérieur d’une peinture ». Il y a clairement un schéma narratif qu’on peu peut s’en rendre compte grâce a la ligne 42 « disparurent a jamais » donc cela nous montre qu’il y a eu une situation initiale et un élément perturbateur et on arrive a la situation finale. L’apologue a connut plusieurs évolution dans l’histoire chronologique où ils ont apparu d’autres types de narration comme

du schéma narratif. Ensuite, nous étudierons son caractère burlesque, puis nous nous intéresserons à l’importance de la morale. I. La fable, élaboration d’un récit en vers a) Les étapes du schéma narratif - situation initiale : vers 1 « Deux coqs vivaient en paix » - élément perturbateur : vers 1 à 5 (passé simple) - péripéties : vers 6 à 23 (gradation des verbes d’action pour la préparation du coq vaincu à sa vengeance : « aiguisait », « battait », « s’exerçant », « s’armait ») - élément de résolution :

permet d’évoquer les clichés narratifs repris par l’enfant. Les « yeux » suggèrent une personnification du train, propre à la vision de l’enfant. La dernière phrase du paragraphe évoque l’image pathétique à laquelle le devoir devait aboutir. La contraste « poils blancs » / « flaque de sang » participe à ce pathos que l’enfant cherche à faire ressortir. Nathalie Sarraute montre ainsi le plaisir qu’elle éprouve à mobiliser des lieux communs romanesques (= éléments attendus). Elle suggère que

utilisé s’écarterait du modèle des syntagmes en parallèles). Les motifs présentés par les images successives nous montrent des femmes perdues, hantées par l’ennui et la question du sens de l’existence. Au niveau macroscopique, un élément nous semble étonnant. Le temps et le lieu étant fixés pour chacune des trois histoires au début du film, le spectateur sait pertinemment que ces histoires font référence à des moments très distincts d’un point de vue diégétique. Cependant, le montage