Leibniz Remarques Sur Descartes

déborde bien la religion. Si l’homme a toujours été hanté, attiré, tenté par Dieu, il s’agit d’abord d’essayer d’en cerner la définition. Dieu est, par définition le principe suprême de l’ordre du monde si l’on se réfère au début de l’ouvrage de Descartes « Principes de la philosophie » (1644), Dieu est présenté comme « l’être tout connaissant, tout puissant et extrêmement parfait. » Dieu est par conséquent l’être infini qui comprend en lui toutes les perfections. Il est l’Etre infini qui comprend

que fragment de cette totalité de l’un à savoir l’univers. De ce point de vue la notion de mathématisation de l’univers verra le jour et sera le soubassement de la physique moderne et contemporaine d’aujourd’hui. C’est pour quoi comme le pense Descartes et Galilée « L’univers et écrit en langue mathématique ».cette conception pythagoricienne sera succéder par celle d’héraclitienne (540/480) Héraclite sera comme les autres présocratiques intéresser par la cause unique de l’univers. Pour ce dernier

Newton) 28 Nicolas Machiavel (1469-1527) 29 Etienne de La Boétie (1530-1563) 29 Michel de Montaigne* (1533-1592) 30 Thomas Hobbes (1588-1679) 30 La modernité (xviie siècle) 31 René Descartes (1596-1650) 31 Blaise Pascal* (1623-1662) 32 Baruch Spinoza* (1632-1677) 33 John Locke (1632-1704) 33 Wilhelm Leibniz (1646-1716) 33 Georges Berkeley (1685-1753) 34 Les Lumières (xviiie siècle) 34 Charles-Louis de Montesquieu (1689-1755) 34 David Hume (1711-1776) 34 Jean-Jacques Rousseau* (1712-1778)

Platon ; Aristote ; Épicure ; Lucrèce ; Cicéron ; Sénèque ; Épictète ; Marc Aurèle ; Sextus Empiricus ; Plotin ; Augustin ; Averroès ; Anselme ; Thomas d'Aquin ; Guillaume d'Ockham. • Machiavel ; Montaigne ; Bacon ; Hobbes ; Descartes ; Pascal ; Spinoza ; Locke ; Malebranche ; Leibniz ; Vico ; Berkeley ; Condillac ; Montesquieu ; Hume ; Rousseau ; Diderot ; Kant. • Hegel ; Schopenhauer ; Tocqueville ; Comte ; Cournot ; Mill ; Kierkegaard ; Marx ; Nietzsche ; Freud ; Durkheim ; Husserl ; Bergson ; Alain ;

esprits » vont alors agiter la glande pinéale et susciter dans l’âme des affections, émotions ou passions. Soit dans le sens centrifuge : ils transmettent alors aux muscles les ordres du cerveau et rendent compte du mouvement volontaire. Le texte de Descartes est sans ambiguïté : « Concevez [la] superficie AA, qui regarde les concavités EE, comme un réseau ou lacis assez épais et pressé, dont toutes les mailles sont autant de petits tuyaux par où les esprits animaux peuvent entrer (…) pensez que les pores

logique du faux, ça a l'apparence d'une vérité philosophique mais ça n'en est pas une. C'est une illusion naturelle dont on ne peut pas se défaire. ON peut poser des limites au savoir de l'esprit humain pour le prévenir de cette illusion. *vs Leibniz : à l'origine Kant est leibnizien. Pour Wolff le monde est œuvre de raison souveraine. Accord complet entre la raison et la foi. La raison est entièrement logique pour Wolff. En essayant d'expliquer la nature selon des principes purement théoriques

existe relève de rapport de nombres. Le qualitatif peut être réduit à des relations mathématiques de grandeurs quantifiables. Ces lois sont accessibles à l’homme, lequel a la liberté de questionner et d’agir sur l’univers. Il n’est pas indifférent de remarquer que le peuple qui a donné les bases de la philosophie et de la science a aussi posé celles de la démocratie qui suppose une liberté humaine transcendante aux lois de la nature. Cela a eu lieu à la même époque. Pythagore est également l’inventeur

perceptions sont trompeuses, et ne peuvent alors être identifiées à des savoirs. ® Mobiliser ses connaissances Aperception : Mot inventé par Leibniz et repris ensuite par Kant dans la Critique de la raison pure (aperception transcendantale), pour désigner l’acte par lequel un sujet opère un retour réflexif sur ses perceptions et en prend conscience. Leibniz oppose ainsi l’aperception aux « petites perceptions » qui sont des perceptions inconscientes.Voir également : analyse, synthèse ; sens ;

L’inconscient Introduction 2 I. Les conceptions non psychanalytiques de l’inconscient 2 A. L’inconscient psychique 2 1. La conscience moindre : les petites perceptions (Leibniz) 2 2. Inconscient et concentration (Kant, Condillac) 3 3. Inconscient et automatisme (Bergson) 3 4. Inconscient et mémoire (Bergson) 3 5. L’arrière-plan (philosophie analytique) 4 B. L’inconscient social 4 II. L’inconscient selon Freud 5 A. L’interprétation des symptômes 5 1. Les rêves 5 2. Les actes manqués

qui nous échappe. Ainsi, lorsqu’on entend la mer depuis la plage, perçoit-on consciemment le bruit de chaque vague et des milliards de gouttes qu’elle contient ? Et pourtant, il faut les entendre toutes pour percevoir le bruit de la mer… Texte de Leibniz : les petites perceptions obscures auxquelles la conscience ne prête aucune attention et qui pourtant peuvent être saisi par elle. b) La notion d’inconscient en psychanalyse : « On nous conteste de tous côtés le droit d'admettre un psychique