Leibniz Pangloss

C'est le récit des aventures successives que va connaître un jeune homme, Candide (naïf). Texte cadré contre la philosophie optimiste de Leibniz qui considère que tout va bien dans le monde ; philosophie du "tout est bien". Si Dieu existe et qu'il est bon, s'il a inventé le monde, le monde est bien. Voltaire vient d'écrire en 1756, le poème sur le désastre de Lisbonne qui a était frappé au contraire par tout ce qui arrive de mal à l'homme. Il observe autour de lui, des cataclysmes, des guerres, des

sont stéréotypés, simplifiés à l’extrême • Candide est pur et crédule • Pangloss est réduit à son enseignement (pan=tout ; gloss=la langue) 2 Candide se situe dans un univers intemporel : « Il y avait » fait songer aux contes de fées 3 Des lieux imaginaires et exotiques : L’Eldorado La visée philosophique de Candide 1 Sous-titre « Candide ou l’Optimisme » : ce conte traite de la philosophie de l’optimisme de Leibniz 2 Critique de la société : Le fanatisme religieux, l’esclavage, l’absurdité

la mise en route de l’œuvre : des informations sur le personnage central Candide, d’autres sur le milieu social – celui d’une aristocratie engluée dans ses préjugés –, d’autres enfin sur le thème directeur, la critique de l’optimisme incarné par Pangloss. SI l’on ajoute qu’un certain ton est adopté, qui sera maintenu jusqu’à la fin, on aura cerné l’enjeu multiple de ce début. L’étude du personnage central de l’œuvre et de l’aristocratie qui l’entoure amènera alors à une analyse de la critique voltairienne

livre. Ce jeune homme ne sait rien du monde extérieur et des gens qui y vivent. Il croit donc toutes les belles paroles de son tuteur, le philosophe Pangloss. Au fur et à mesure que le temps passe, Candide vit ses propres expériences et rencontre de nouvelles personnes avec des avis différents. Il se forge ses propres opinions, se rend compte que Pangloss n'a pas réellement raison que tout n'est pas pour le mieux, dans le meilleur des mondes mais qu'il faut cultiver notre jardin. Avis personnel

justifie L1. → La suite chronologique des évènements est présentée comme une suite des causes et de conséquences → le principe de cosalité => très explicitement présent dans le texte : -L7 «la raison suffisante» → expression empruntée à Leibniz pour dénoncer précisément -L14 : «des effets et des causes» → le principe de cosalité selon lequel l'enchainement des causes et des conséquences vers le meilleur des mondes. Mais il y'a 3 expressions mises dans un contexte qui les démentent

et la scientifique, émilie du châtelet. pangloss, précepteur de métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie, instituteur de Candide et de cunégonde. Sans Doute chercher à partir de la duchesse de saxe-gotha, louisa dorothea von meiningen, une leibnizienne avec qui voltaire a ferme correspondu. paquette, épouse de chambre de la baronne thunder-ten-tronckh et bénéficiaire dépendant des « leçons de sexuel expérimentale » du spécialiste Dr. pangloss. cacambo, valet de candide. martin,

réflexion porte sur l'existence du mal et les conditions du bonheur. Les thèses optimistes et pessimistes s'affrontent par l'intermédiaire du leibnizien ( philosophe qui pense que tout doit se produire quoiqu'il se passe, que tout se produit par Dieu ) Pangloss et du manichéen Martin. Le héros s'interroge également sur l'Origine de la Terre. 3 : L'utilisation de l'émotion et de l'ironie. Les contes comportent l'avantage de joindre à la force d'une argumentation philosophique la puissance de l'émotion

Quête car le bonheur se construit contre les aléas du destin, la folie des hommes et la déraison générale. Voltaire et l’Optimisme Voltaire déteste l’optimisme et son créateur, le philosophe allemand Leibniz, qui est incarné et parodié au travers du personnage de Pangloss. L’optimisme de Pangloss est une position philosophique que l’on peut résumer comme ceci : - Dieu est parfait - Dieu a créé le monde - Un être parfait créerait un monde parfait, donc le monde est parfait. En outre, un

il faut prendre l'homme tel qu'il est. Il ne faut pas avoir une approche idéaliste. Voltaire pratique un pessimisme optimiste qui s'oppose à un optimisme absolu, béat, à l'image de celui de Pangloss qui trouve dans Candide que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes (Pangloss est la figure de Leibniz dont Voltaire se moque). 3. L'ironie voltairienne : Voltaire aime user d'ironie pour se moquer des personnages malfaisants. C'est la voix du narrateur qui porte ces piques ironiques. Il cherche

Denis et la scientifique, Émilie du Châtelet. Pangloss, professeur de métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie, précepteur de Candide et de Cunégonde. Peut-être imaginé à partir de la duchesse de Saxe-Gotha, Louisa Dorothea von Meiningen, une leibnizienne avec qui Voltaire a beaucoup correspondu. Paquette, femme de chambre de la baronne Thunder-ten-tronckh et bénéficiaire accessoire des « leçons de physique expérimentale » du savant Dr. Pangloss. Cacambo, valet de Candide. Martin, compagnon