Leibniz Pangloss

En effet, Voltaire utilise ses personnages et leurs péripéties pour montrer à quel point elle est défaillante. On peut ainsi observer la critique de l’inquisition dans le chapitre 6 lorsque Pangloss discute avec un officier de l’Inquisition qui lui demande s’il ne croit donc pas au péché originel. Pangloss argumente et le lendemain il se fait arrêter pour avoir trop parlé, Candide pour avoir simplement écouté et d’autres personnes à cause de leur religion, ici Juive, et le parrain d’un enfant pour

politiques, humanistes et philosophiques, et cela à travers son invention d’une nouvelle forme littéraire, un détournement du conte merveilleux: le conte philosophique. Ainsi, avec Candide, Voltaire critique l’optimisme et s’attaque au raisonnement de Leibniz tout au long de son oeuvre, montrant son oppostion aux théories de ce dernier. Nous nous attarderons sur le chapitre 3, qui marque les premières aventures de Candide dans le “meilleur des mondes” qu’il va enfin être capable de découvrir lui même

nom, le « siècle de Voltaire ». Une des œuvres primordiales de Voltaire est Candide ou l’Optimisme écrit en 1758. Publié en 1759, Candide est la réponse à la Lettre sur la providence de Rousseau, porteuse de la doctrine optimiste dans la lignée de Leibniz. C’est la principale portée philosophique de Candide : les discours métaphysiques n’apportent pas de réponse aux multiples formes du mal. L’ouvrage Candide, est aussi une forme aboutie du conte philosophique qui consiste en le développement d’une

la fin de l’extrait ? Au début, Candide n’en croit pas ses yeux ; il s’exclame : « Eh, mon Dieu ! » Lui qui croyait que le monde était merveilleux, comme lui a enseigné Pangloss, découvre avec stupéfaction « l’état horrible » du nègre, ce « pauvre homme ». À la fin, au contraire, Candide prend conscience que l’optimisme de Pangloss n’est pas valable. Il reproche au philosophe de s’être trompé, puis il « vers[e] des larmes » et se met à « pleur[er] ». Aussi, deux phrases exclamatives traduisent son

laudatifs à la l.1, traduit l’émerveillement de Candide devant la beauté et la symétrie du spectacle caractérisée par rime entre « ordonné » et « armée » et « 6000 hô de chaque côté ». => Ces premières lignes confirment pour Candide la théorie de Pangloss : « Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ». --> Puis cette harmonie visuelle devient auditive : il y a concerts d’instruments qui suggèrent une guerre joyeuse, avec l’accumulation : « les trompettes, les fifres, les hautbois

guerre, pratiq. révoltante Dévelopement du Plan: I-Spectacle de la Guerre vu par Candide 1)Beauté du spectacle * Le texte s'ouvre sur vis° esthétiq. *4 adj. laudatifs (valorisant). Anaphore intensif «si». Harmonie visuel. totale. Leibniz: harmonie pré-établie, sérénité crée par Dieu. *4 instrumts: harmonie auditiv.. Guerre joyeuse regard contemplatif Candide. 2)Inventaire des victimes * Justifict° morale et Sociale: Deux termes péj.: parasites. Caractère utilitaire dispari°:

onze quartiers »). Le libertinage qu’ils exercent casse leur image noble dont ils sont censés faire preuve. 2) Critique de l'optimisme L’optimisme est représenté par Pangloss, celui-ci est qualifié « d’oracle » (ironie). Cette critique s’oppose à celle du philosophe allemand Leibniz pour qui « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes ». En adoptant un point de vue optimiste, Voltaire va montrer l’absurdité de son raisonnement. Candide finira par se révolter contre

en Westphalie" à "de toute la terre" Introduction - Voltaire = philosophe des lumières (1694 – 1778) └> a dénoncé maux société ex: superstition, religion, fanatisme - Candide (janv 1759) = conte philosophique, contre philosophie Optimisme Leibniz ("tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles"). - Extrait = incipit de l'œuvre. -> f°= présenter persos, contexte + mettre en route histoire. -> fait en petits paragraphes successifs. - tout pour le mieux. mais indices montrent

de Candide, bâtard de la sœur de monsieur le baron Thunder-ten-tronckh. Il est, comme son nom l’indique, naïf et crédule. Il est transparent : " sa physionomie annonçait son âme " et donc simple d’esprit. Il croit dur comme fer la philosophie de Pangloss et ne l’abandonnera qu’a la fin du récit où il sera le seul à reprendre ses esprits et se mettre au travail. • Baron Thunder-ten-tronckh, un gentilhomme campagnard westphalien. • Baronne Thunder-ten-tronckh, sa femme, très considérée pour

|« le précepteur », « oracle de|Personnage important, | |Pangloss |4 + 5 |sa réputation. |la maison », |parole respectée. | | | | |« admirablement ». | | Cette description est schématique car l’auteur joue sur l’onomastique : Candide, Pangloss. De plus, les femmes sont réduites à leurs attributs et les personnages