Leibniz Cette Considération

(Anthony). — Les Origines tragiques de l’érudition. Une histoire de la note en bas de page. Trad. de l’anglais (américain) par Pierre-Antoine FABRE (N. Piqué) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . DEVILLAIRS (Laurence). — Descartes, Leibniz. Les vérités éternelles (P. Drieux). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 174 177 180 186 189 192 194 SOMMAIRE PRINCIPE (Laurence M.). — The Aspiring Adept. Robert Boyle and his

est un récit plaisant, comique, plutôt court, qui se veut contestataire des valeurs religieuses et politiques trop arbitraires, et qui défend des valeurs plus juste, plus humaines. Voltaire, s’est opposé entre autres à l’optimisme philosophique de Leibniz dans son conte Candide. S’ajoute à ceux-ci l’utopie, genre inventé par Thomas More, qui s’inscrit dans le cadre d’une société idéale afin de critiquer la société actuelle. Rabelais, dans Gargantua, veut démonter qu’il existe une société alternative

résultat d’une évaluation, quelle qu’elle soit, entraîne automatiquement la note zéro pour cette évaluation. Objectifs linguistiques Les quatre objectifs suivants feront l’objet d’une attention particulière en classe. Ils seront pris en considération dans la correction des examens et ne sont pas sujets à la limite de 10 % qui s’applique à la qualité de la langue: • reconnaître, utiliser et écrire correctement le vocabulaire mathématique; • posséder les habiletés relatives à la transcription

l’Ancien Testament et le Dieu qui pardonne du Nouveau Testament. L’image de Dieu évolue conjointement avec la morale et le droit des sociétés. Lorsque la vengeance cesse d’être morale suite à l’apparition du droit, alors Dieu cesse de se venger. Ces considérations conduisent de nombreux auteurs à remettre en cause la formulation biblique selon laquelle Dieu a fait l’homme à son image et à sa ressemblance. L’évolution des descriptions et des représentations des Dieux semble plutôt confirmer que l’homme a

philo rationaliste et idéaliste issu de Leibniz. Pensées sur la véritable évaluation des forces vives 1747 : est ce qu’on peut rattacher force physique à principe métaphysique ? Notion de force physique qu'on peut rattacher à force vive. Considération sur l’optimisme 1759 : s’inscrit encore dans Leibniz = Comment le mal est-il possible alors que dieu est absolument bon ? 1760 : Kant commence à développer la question rationnelle, mais il va plus loin que Leibniz sur question théologique = Des fondements

au contraire avec acuité dès lors que l´on conçoit qu´il existe une cause génératrice de l´ensemble du réel : comment l´esprit de Dieu a-t-il pu non seulement faire exister hors de lui l´univers, mais choisir de le faire exister tel qu´il est ? Leibniz n´a pas manqué d´y insister dans sa Théodicée (1710), consacrée tout entière à affronter cette question. De fait, le problème de l´existence se pose désormais avec d´autant plus d´acuité que, parmi « toute la collection de toutes les choses existantes »

autant de parcelles qu’il se pourrait, et qu’il serait requis pour les mieux résoudre » (Discours, 2ème partie, p.72). Ce précepte renvoie à la pratique mathématique de l’analyse, qui est une opération de réduction du complexe au simple. Selon Leibniz, « L’analyse des Anciens était, suivant Pappus, de prendre ce qu’on demande et d’en tirer des conséquences jusqu’à ce qu’on vienne à quelque chose de donné ou de connu » (Nouveaux Essais, IV, 17, § 6) : il s’agit d’énoncer ce qui est à prouver en

rôle[6]. Descartes souligne, dans le Discours de la méthode, l'attrait des mathématiques, « à cause de la certitude et de l'évidence de leurs raisons ». Le calcul algébrique se développe alors à la suite des travaux de Viète et de Descartes. Newton et Leibniz, indépendamment, inventent le calcul infinitésimal. Au XVIIe siècle, Galilée se rend compte que les mathématiques sont l'outil idéal pour décrire le monde physique, ce qu'on peut résumer en disant que les lois de la Nature sont écrites en langage

représentations au gré des progrès de son expérience (souligné par les empiristes), en même temps que de la nécessité, pour tirer des leçons de l’expérience, d’avoir des principes qui n’en viennent pas (soulignée par les rationalistes). La thèse de Leibniz (qui ne correspond pas à toute forme de rationalisme) est soutenue finalement dans la mesure où elle semble, en raison de son analyse particulière de ce qu’il appelle «idées innées», pouvoir rendre compte des deux. Elle ne nie pas les faits sur lesquels

L'histoire peut encore servir à la connaissance du genre humain B- Mais n'est-ce que l'utilité qui fait que l'homme s'intéresse à son passé ? N'est-ce pas également un plaisir gratuit ? 1) Peut-on vraiment tirer des leçons de l'histoire ? - considérations sur le statut ontologique de l'histoire 2) L'utilité et la valeur Conclusion II III- ce qui fait que le passé est digne de nous intéresser c'est que sans rappel du passé, nous ne serions pas des personnes A- Mémoire et identité personnelle