Leibniz Cette Considération

TABLE DES MATIÈRES Avant-propos ............................................................................5 Note de la nouvelle édition....................................................... 7 Fiche n° 1: La philosophie de Kant par rapport à Leibniz ........................13 Fiche n° 2: La dissertation de 1770 ..........................................................19 Fiche n° 3: Positions spéculatives ............................................................. 23 Fiche n° 4: Plan de la

paroles). On pense à « Cendrillon », au « Petit Poucet », au « Roi » ou à la « Reine » Seule la jeune fille a un vrai prénom, mais il est vieillot et démodé (Cunégonde). —Caractères à peine esquissés (puissant seigneur, mœurs douces, grande considération, fraîche …). 3.Le schéma narratif du conte : situation initiale, perturbation annoncée Les personnages vivent heureux dans ce qui semble un paradis que rien ne semble devoir menacer (imparfaits duratifs de verbes d’action : annonçait

générale du droit critiquèrent la philosophie du droit classique pour son caractère spéculatif. Les questions classiques dont elle traitait : « qu’est-ce que le droit ? » ou « existe-t-il des critères du juste ? », leur paraissaient donner lieu à des considérations purement métaphysiques, alors qu’ils entendaient « fonder une science ». Tandis que la philosophie du droit portait sur un droit idéal, la théorie générale du droit ne voulait traiter que du droit tel qu’il est, le droit positif. Il existait donc

poussent à « persévérer dans l’être » (Spinoza), sans autre justification que soi-même. Le désir se distingue du plaisir : si Aristote remarque dans l’ Ethique à Nicomaque que “Le plaisir achève l’acte”, parachèvant ainsi le mouvement du désir, Leibniz ou Schopenhauer ne manquent pas de noter que le désir ne va pas sans une inquiétude fondamentale, sans souffrance ni déplaisir. II] Dégagement des problèmes 1) Problème de l’origine du désir D’où vient-il que nous soyons des êtres désirants

été soumis à une tumultueuse gestion. C’est donc dans un contexte riche en contradictions qu’interviendra Candide. Voltaire s’y emploiera à combattre avec la pointe d’ironie qu’on lui connaît, la philosophie optimiste développée en Allemagne par Leibniz et soutenue en France par Rousseau. Au passage, il ne manquera pas d’égratigner les abus du pouvoir politique et de la métaphysique, qui ont pour corollaire l’injustice, la superstition et l’intolérance D- L’AMBIGUITE GENERIQUE : du conte au roman

 Le Sujet La conscience et l'inconscient La matière l'esprit. La perception. Le vivant. Changeux Leibniz Ricoeur Levinas Derrida Introduction : 1 J'ai conscience d'être / 2 Je suis consciente / 3 Je suis inconsciente = faire quelque chose de dangereux sans réfléchir / 4 Être conscient (éveillé) / Être inconscient (perte de connaissance et dormir) / 5 Avoir la conscience tranquille / 6 Un cas de conscience / 7 Avoir bonne conscience ou mauvaise conscience 8 Être consciencieux

l’autre -, est achevée s’appuie en effet sur une considération rationnelle empruntée à Hegel. Considération rationnelle : on ne peut, en effet, passer du simple constat, comme tel factuel, donc contingent, que le monde actuel est universellement tel ou tel, au jugement qu’il l’est définitivement, que par un raisonnement démontrant qu’il est identique à ce qui est d’abord démontré comme essentiel et, donc, une fois réalisé, définitif, chez l’homme. Considération rationnelle hégélianisante : Kojève et Fukuyama

capacité à faire exister toute chose: «  (...) et il n'y a aucune chose créée qui ne peut exister un seul moment sans être soutenue et conservée par sa puissance »2. Cette position qui inspirera , entre autres, la théorie de l'harmonie préétablie de Leibniz, sous-entend que chaque évènement – bon ou mauvais – qui a lieu dans l'univers à tout moment l'est parce qu'il est voulu par Dieu. Une autre manière de l'expliquer est de dire que Dieu recrée à chaque instant l'univers selon sa volonté. Plus loin

qui il opposera une perspective épistémologique toute incompatible à la philosophie cartésienne de la connaissance. Il est influencé par Locke (dont il prend pour acquise la réfutation des idées innées de Descartes et de Leibniz)11, Berkeley (dont il reprend certaines considérations sceptiques), a lu quelques philosophes français comme Pierre Bayle et Malebranche, mais c'est surtout à Newton que Hume emprunte sa méthode d'analyse. En effet, Newton est l'un des principaux découvreurs de la méthode scientifique

de la chose. La chose et la réalité chez Spinoza : Mais cette définition traditionnelle de la chose va être interrogée à plusieurs niveaux car elle suscite plusieurs enjeux : Elle contient l’idée de permanence Elle est opposée à une autre considération du réel  théorie des qualités : l’idée de formes substantielles, tout ça doit être évacué de la métaphysique pour laisser la place à une appréhension quantitative en terme de force et non qualitative (Philosophie mécanique de Boyle : idée qu’il