Le Sérieux Du Comique

personnages dont deux maîtres et deux valets, qui s’échouent sur une île, et, ou les rôles vont s’inverser pour nos protagonistes. Cette comédie n’a pas simplement un but comique ou divertissant, elle comprend aussi un aspect critique envers les défauts des hommes. C’est pourquoi, dans une première partie que nous aborderons le genre comique de ce livre et dans une deuxième partie nous expliquerons le message précis que Marivaux veut faire transcrire grâce a son œuvre. Cette comédie de Marivaux « L’île

cette partie de la vie ; la mort. - Une mort, un suicide, ce n’est pas cela qui me choque véritablement, mais la mise en scène ! Sérieusement, comment veux-tu prendre la fin au sérieux alors que Ruy Blas ‘’meurt plusieurs fois’’. Il est sensé déjà être mort que le voilà qui répond à la reine, ceci ne peut être prit au sérieux et on ne peut s’empêcher d’avoir le sourire aux lèvres plutôt que la larme à l’œil. Victor Hugo aurait du revoir approfondir sa mise en scène ! - Je suis d’accord qu’en tant

– La psychologie des différents personnages ( Héro , Villebosse, Hortensia et la Comtesse ). L'humeur des personnages a-t-elle changée? Un ou plusieurs évènements ont-ils bouleversé cette humeur ? – Le registre ( Comique , tragique, pathétique ,etc ). Passe-t-on du texte comique au texte tragique et vice-versa? – L'histoire. L'évolution de l'histoire et de la trame de la pièce. A ) La psychologie des différent personnages Héro: Héro est à l'extérieur un personnage drôle.Acteur d'une

Celui du Gargantua est moins explicite sur ce point, mais l’épithète inestimable respecte l’isotopie de la démesure propre à l’épopée. Autre renseignement générique : épouvantables, horrible, le nom et le titre de l’« auteur » relèvent du registre comique. Nous sommes donc dans l’imitation parodique des récits médiévaux, mêlant les codes épique et chevaleresque (cf. le titre de « roi »). En outre, Gargantua et Pantagruel sont initialement des personnages du folklore : le genre des récits populaires

En quoi le comique et la satire fondent le Gargantua ? Introduction : « Parce que rire est le propre de l’homme. » →Rb cherche à rire et à faire rire, et lie ainsi étroitement le comique et la satire. →Rire grâce à quoi ? Rire de quoi, ds Gg ? En quoi le comique et la satire fondent-ils le Gg ? *à quoi tient le comique du texte ? *à quoi tient sa dimension satirique ? I- A quoi tient le comique du texte ? A-Scatologie et grotesque (goût du bizarre, du bouffon et de la caricature)

Le rire est le propre de l'Homme. Nous avons à faire à un groupement de documents qui s'articulent autour de la problématique : "le rire est le propre de l'Homme". Le document 1 est Le Rire : un essai sur le signification du comique, Henri Bergson, 1900. Le document 2 est un extrait "de l'essence du rire", Charles Baudelaire, salon de 1846. Le document 3 est un article traduit d'une publication dans The Gardian pour courrier international, supplément au n°978-979-980,1er - 18 août

du hasard, l’île des esclaves Beaumarchais, le mariage de figaro I] Un oxymore pour commencer • Profond : sérieux, grave, réfléchi, intellectuel… Drôle :léger, amusant, divertissant… Antagonisme •Un jeu sur les registres : jouer entre 2 registres afin de communiquer en trompant le destinataire Marivaux, l’île des esclaves II] Un outil pour faire passer un message, le comique • Rendre l’œuvre plus légère, faire oublier que il s’agit de choses graves, importantes mais tout de même toucher

poésie traditionnelle, et donc, concurremment l’ambition du Parti pris des choses ; puis dans un deuxième temps, les procédés qui font néanmoins de ce texte un poème à part entière ; qui alliés aux éléments de la première partie produisent un effet comique ; et enfin nous finirons sur son aspect didactique. Les éléments qui caractérisent la modernité et la spécificité de La crevette par rapport à la poésie traditionnelle sont les suivants : tout d’abord, dans la forme, on remarque que le poème est

rupture à Lucette ? . La situation s’est donc progressivement compliquée au fur et mesure que Bois d’Enghien s’enfermait dans des mensonges de plus en plus difficile à dissimuler, multipliant les quiproquos sur lesquels reposent en grande partie le comique du vaudeville, pour aboutir enfin à une révélation lors de cette scène : révélation inévitable puisque Lucette a été invité à se produire lors de la signature du contrat qui va unir son amant (qu‘elle croit fidèle) à la fille de la baronne chez qui

travelling arrière ; le roi et la reine d’Espagne sont précédés par un mini-cortège, un aboyeur crie : « Faites place à leurs majestés » et la bande sonore intradiégétique fait entendre une trompette qui appuie l’arrivée imminente du roi. L’effet comique est immédiat : il naît du décalage entre la solennité de l’arrivée et le côté grotesque des acteurs qui incarnent le roi et la reine puisqu’il s’agit de nains, stéréotypes des bouffons de cour. Ils sont accompagnés de fous du roi, reconnaissables