Le Sérieux Du Comique

théâtre comique de la société. La comédie permet de corriger les moeurs au moyen d’une certaine dérision; elle donne aux spectateurs un ''miroir'' exagéré et ridicule d’eux-mêmes et de leurs défauts. Les trois extraits de pièces de théâtres que nous avons ici présentes différents vices de la société mais le font toute grâce à une satire comique. Dans l'extrait de Dom Juan, on retrouve la satire des médecins tout en restant dans le comique grâce à un Sganarelle qui se prend au sérieux dans son

Alors comment introduire cette ambiguïté dans un plan thématique ? A mon sens, deux solutions, dont l'une est plus élégante que l'autre : 1) d'abord des parties qui correspondraient aux différents types de comique en précisant à chaque fois que le fond sérieux est traité de manière comique, 2) ensuite (et je préférerais cette voie) - une première partie qui traiterait de la comédie de moeurs (les sujets graves qui sont abordés) : fausse dévotion, etc. mais aussi la critique de l'entêtement

Figaro et Suzanne, Chérubin intervient alors que Suzanne déplore l'attitude autoritaire de Marceline. Il apporte gaieté et sensualité dans la scène. On verra comment ce personnage ambigu concourt à la polyphonie de la scène, à la fois lyrique et comique. LECTURE ANALYTIQUE I : Chérubin, un personnage ambigu. 1 : Le portrait de Suzanne. 2 : Son autoportrait. II : Chérubin, figure du Désir. 1 : Entre mariage et libertinage, une troisième voie ? 2 : Polyphonie de la scène

spectateur aura trouvé du plaisir. C'est pourquoi Molière a beaucoup de succès, y compris auprès du roi, au même moment où la tragédie avec Corneille et Racine est à son apogée. B. La comédie varie les sources et la nature du comique. Les procédés sont multiples. (Comique de caractère, de gestes, de mots, de situation : analysez un ou deux exemples) Pensez à varier les auteurs, ne citez pas que Molière. II. Pour mieux instruire A. Au XVII, la grande comédie s'éloigne de la farce et de

maîtres à analyser la situation Le comique va naître des mimiques exagérées et des contorsions de Cléanthis pour jouer la grande dame mais aussi de l’incapacité d’Arlequin à tenir son rôle. Le rire d’Arlequin est communicatif et sur scène il ne peut se retenir « je m’applaudis » on dira qu’il est bon public et comme d’habitude c’est un peu un homme orchestre : il joue le jeu au point de se dédoubler puisqu’il se fait spectateur de lui-même. Il ya donc comique de caractère puisque arlequin joue

métrages, acteur dans des films de Claude Autant-Lara 1935 : il devient officiellement Jacques Tati 1949 : « Jour de fête » (premier long métrage) 1953 : « Les vacances de Monsieur Hulot », création de M. Hulot « Il s’agit non seulement de l’œuvre comique la plus importante du cinéma mondial depuis les Marx Brothers et W.C. Fields, mais d’un événement dans l’histoire du cinéma parlant. » (André Bazin) 1956 : fondation de « Specta films », propre maison de production 1967 : « Playtime » → film très

le château de Saloir » . Avec ce jeu entre concile et réconcilier , Rabelais souligne un point important : un concile est censé réunir et non divisé comme ce fut le cas. Enfin le personnage de la grande Truie est un « engin » comique qui envoie des missile sérieux comme des pierres et des traits garnis d’acier. La ruse dans Gargantua La ruse joue un rôle primordial dans la notion de guerre chez Rabelais. En effet, ce n’est pas anodin si c’est ici l’épisode du cheval de Troyes qui est mentionnée

éléments comiques: Pour commencer, le comique repose sur la présentation du caractère par la démonstration de son <<tic>>, c'est-à-dire son maladie imaginaire. <<Monsieur Purgon m'a dit de me promener le matin dans ma chambre douze allées et douze venues; mais j'ai oublié à lui demander si c'est au long ou en large>> (cf. l 1s.) On peut déduire de cette citation qu'il est très pénible, car il se demande une question insignifiante. En plus, on peut trouver le comique d'interruption

simple jeu de rôles ou d’un jeu de dupes. On se posera donc maintenant la question de la nature du Marivaudage présent dans cette scène et de ses effets sur le spectateur. Tout d’abord, le dramaturge utilise la légèreté du Marivaudage pour dire le sérieux. En effet, lorsque Blaise explique qu’il ne veut justement pas confondre réalité et illusion quand Merlin décide de feindre une liaison entre lui-même et Colette, le Marivaudage aussi léger qu’il soit dans la forme devient une affaire délicate et

Gargantua se comporte comme un petit animal. C'est une description caricaturale de l'enfant livré à lui même qui n'a rien d'un être civilisé. Il est qualifié de « paiard » il n'écoute que ses instinct primitifs. Ces énumérations deviennent comiques, mais un comique scatologique. La première éducation de Gargantua est mauvaise. Il y a une première satire a la page 127. C'est une éducation pragmatique. Ça devient le prétexte de l'éducation de Gargantua et faire ressortir avant tout la raison, contrairement