Le Sens De Devoir Dans Antigone

« les comédies ne sont faites que pour être jouées ». Partagez-vous ce point de vue ? Rappelons tout d’abord que lorsque Molière affirme au XVIIème siècle « les comédies ne sont faites que pour être jouées », il faut prendre le mot « comédie » au sens général , c’est-à-dire à l’ensemble des pièces (comédies, tragédies, drames…). AU XVIIème siècle, le mouvement dominant est le classicisme, sous le règne de louis XIV. Le but du classicisme, qui se retrouve dans la plupart des pièces de théâtre, et

représentation d'un drame, un genre littéraire particulier, et le bâtiment dans lequel se déroulent les spectacles de théâtre[1]. Jadis, le mot désignait également la scène ou le plateau, c'est-à-dire toute la partie cachée du public par le rideau.[2] Au sens figuré, « théâtre » désigne un lieu où se déroule une action importante (par exemple, un théâtre d'opérations militaires). Aujourd'hui, à l'heure des arts dits pluridisciplinaires, la définition de l'art du théâtre est de plus en plus large (jusqu'à

D'autres affaires du juge Magnaud15 d) La célébrité du juge Magnaud15 e) Questions pour réfléchir15 C. Pourquoi une loi juste peut-elle devenir injuste ? 15 a) Réponse15 b) Aristote15 D. Questions pour assimiler15 E. Equitable et juste 15 a) Sens du mot équité15 b) Question pour assimiler16 F. Synthèse16 5. La réponse des tenants de la loi (droit) naturelle16 A. Bilan16 B. Liaison16 C. L'idée de loi naturelle dans l'Antiquité16 a) Présentation de l'Antigone de Sophocle 16 b) Le problème

Nanterre. Qu’est-ce qui fonde une tragédie et la rend intemporelle ? Qu’est-ce qui fait qu’on reconnaît une tragédie en tant que telle, alors que le genre a tant évolué au cours des siècles ? La question de la caractérisation de la tragédie prend tout son sens à une époque où, passé dans le langage courant, le terme ne renvoie plus qu’à un événement terrible ayant entraîné une ou plusieurs morts violentes. Or il ne faut pas oublier qu’il désigne avant tout un genre littéraire précis, dont la définition se

partir du feu, par des condensations successives : feu, air, eau, terre ou dans l’ordre inverse, tel-00272376, version 1 - 11 Apr 2008 par des raréfactions. Ensuite selon la théorie d’Aristote, tout changement qualitatif va d’un opposé à l’autre dans le sens où le froid pourra agir en assimilant le chaud ou en le refroidissant, ou pâtir en étant assimilé par le chaud ou réchauffé. La transmutation s’explique alors de la manière suivante : les forces élémentaires étant au nombre de quatre, rangées en deux

de norme. § 1. La norme en général et la norme juridique Texte 1 Kelsen dit que la norme en général c’est cette distinction entre l’être et le devoir être. L’être c’est ce qui est factuellement, ce que l’on constate. Le devoir être c’est qqch que l’on pense, c’est une représentation mentale. La norme existe d’une façon différente de l’être dans le sens où elle n’est jamais observable, c’est toujours un objet de pensée. La norme c’est ce qui devrait être mais qui parfois n’est pas (normalement ce

Références littérairesSymphonie pastorale GIDE PERSONNAGES : Le pasteur : c’est le narrateur du récit, un homme marié et père de quatre enfants, austère, mais profondément généreux, qui se dévoue aux autres. Lorsqu’il croise Gertrude, il se fait un devoir de la prendre en charge. Sa ferveur religieuse, l’empêche de voir, dans un premier temps, qu’il tombe amoureux de la jeune fille. Il fait découvrir un monde sans pêcher à son élève, qui sera désillusionnée lorsqu’elle retrouveras la vue. Gertrude

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93 7 Regards de poètes sur le monde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 113 Théâtre : continuité et renouvellement 8 Destins tragiques d’Œdipe à Antigone . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 Amour et tragédie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 128 140 Dossier EUGÈNE IONESCO, un auteur engagé . . .

Marianne de Musset ; le monologue d’Hernani (I, 4), celui de Don Carlos dans Hernani de Hugo (IV, 2), les monologues de Ruy Blas marchant « dans son rêve étoilé » (III, 4 notamment) (Hugo). – Dans le théâtre moderne : le Prologue et le Chœur dans Antigone d’Anouilh ; le « Lamento » du Jardinier dans Électre de Giraudoux (entracte) ; le monologue de Winnie dans Oh les beaux jours de Beckett (Winnie a la parole une grande partie de la pièce qui comporte un autre personnage, Willie, mais le plus souvent

créée pour être jouée.   Dans l’Antiquité, les pièces de théâtre étaient uniquement jouées et n’étaient pas destinées à être lues. C’est bien plus tard qu’elles ont été appréciées pour leurs formes écrites. Par exemple la pièce de Sophocle, Antigone, a été jouée en l’an 440 av JC dans des amphithéâtres en plein air. Elles servent aujourd’hui dans les milieux scolaires pour l’étude de la littérature. L’intérêt d’une pièce de théâtre de nos jours se trouve autant dans son texte que dans sa représentation