Le Sens De Devoir Dans Antigone

à la réglementation, sa nécessité ne se discute pas et elle est à peine du droit car ni elle ne forme l'esprit (raison pour laquelle les professeurs ne l'enseignent pas), ni elle ne laisse au juge le pouvoir d'apprécier et donc de juger au vrai sens du terme. A l'opposé du juriste qui dénonce une évolution, mais régressive, le citoyen taxe le droit de conservatisme. Il y voit un frein au progrès social et ce reproche ne manque pas de pertinence. Le droit, par définition même, vise à pacifier

ou de telle héroïne s'est diversifiée, il /elle demeure dans l'imaginaire collectif un symbole. Le symbole de tel vice ou de telle vertu. Ainsi, Hélène / la beauté infidèle, 'Edipe / l'inceste, Médée / l'infanticide, Oreste / le matricide, Antigone / le devoir... Le personnage qui dit «Je» est ambivalent puisqu' apparemment c'est le héros /l'héroïne qui parle, tandis qu' en réalité c'est u n créateur ancré aussi bien dans son siècle que dans les siècles lointains. C'est un langage créé, imaginé,

parmi les plus marquantes du romantisme. ANTIGONE Antigone (en grec ancien Ἀντιγόνη / Antigónê) est une tragédie grecque de Sophocle dont la date de création 2 se situe en 441 av. J.-C. Elle appartient au cycle des pièces thébaines, avec Œdipe roi et Œdipe à Colone, décrivant le sort tragique d'Œdipe (roi de Thèbes) et de ses descendants. Dans l'économie du cycle, Antigone est la dernière pièce, mais elle a été écrite avant les autres. Résumé Antigone fait part à sa sœur Ismène de son intention

| | |Victor HUGO, Hernani ou l’Honneur castillan, (I, 1) -début, 1830 | | |Jean ANOUILH, Antigone, 1944 | | |Eugène IONESCO, la Cantatrice chauve, scène 1 – début, 1950

» ( DDH 1789) : il en résulte pour l’Etat une abstention, savoir ne pas faire obstacle à l’exercice de ces droits, d’où un rapport d’indépendance du citoyen. _ les « droits à » ou « droits-créance » ( ex.DUDH 1948) : il en résulte pour l’Etat un devoir d’intervention ( droit à la santé, à l’éducation, au logement etc), d’où un rapport de dépendance du citoyen. D’où notre rapport ambigu, voire paradoxal à l’Etat : d’un côté on le rejette (droits-liberté) alors que de l’autre on le demande (droits-créance

Introduction : → Droit = règles qui organisent la société, il est de partout. Notion difficile à définir car permanente. → Double sens : - Droit objectif = ensemble des règles de conduite socialement éditées qui sont sanctionnées et qui s’imposent aux membres de la société ; vaste ensemble. - Droits subjectifs = prérogatives individuelles reconnues et sanctionnées par le droit objectif. Partie 1 : Etude du droit objectif Titre 1 : Identification de la règle de droit (= somme

regard de l'article 16-1-1 du Code civil, le mort apparaît comme une chose sacrée à laquelle le respect est dû dans le sens où les restes du corps humain porte le souvenir de la personne. Cette idée n'est pas nouvelle car même si elle a été consacrée que très récemment en droit français, l'idée était déjà présente sous l'Antiquité comme l'a démontre Antigone. En effet, Antigone a désobéït à son roi qui voulait l'empêcher de donner une sépulture à son frère car il avait été jugé coupable de trahison

l'accepter est une autre chose. Je ne sais pas si vous connaissez l’œuvre littéraire d'Anouilh, « Antigone », peu importe, pour ceux qui connaissent, vous comprendrez donc ce que je raconte. Souvenez-vous de cette notion de « non » et de « oui ». Créon dit « Oui », autrement dit, il accepte les choses sans se battre, il se tait, se soumet, et vit ainsi. Antigone dit « Non », elle va contre ses devoirs et finira par en mourir. Bref, moi, je dis « Non ». Je ne pense pas en mourir, puisque la cause contre

l’aide de la raison. I) Mœurs et morale. Les deux ont la même étymologie (mores = la manière d’être) et qui transcrit le grec ethos (éthique). D’un côté, les mœurs désignent ce qui se fait et donc ce qui est alors que la morale renvoie au devoir être c’est-à-dire à ce que prescrit de façon universelle la raison. Héraclite croyait au devenir universel « autre temps, autre mœurs ». Les mœurs évolueraient selon le temps et l’espace sans qu’il y ait de morale universelle. Objection : les normes

Platon ( 428-347 avant JC), il a précisément une attitude ambiguë à l'égard des écrivains à ce sujet. Dans son dialogue la République, il estime que, les poètes et les auteurs de pièces de théâtre n'ont rien à faire dans une cité idéale. Le premier devoir des législateurs c'est de les chasser. Étant donné qu'ils créent des histoires, Platon leur reproche d'introduire dans les esprits la confusion entre le vrai et le faux, sur un plan morale la confusion entre le bien et le mal. De plus les poètes