Le Scepticisme Philosophique

nous capables d'atteindre la vérité? Cependant, le philosophe Descartes veut parvenir à une vérité correspondant à une connaissance, alors il propose une méthode qui est la méthode du doute méthodique et systématique.D'ailleurs le scepticisme est une position philosophique qui s'interroge sur les capacités humaines à atteindre la vérité, voire le sceptique qui pense que l'esprit humain est incapable d'atteindre la vérité. Par conséquent, il serait difficile pour une personne moyenne,ou illettrée de

plus basse et commune façon de vivre ». L`oeuvre de Montaigne est celle d`un sceptique qui veille à bannir les doctrines intangibles et les certitudes aveugles. Il s`attaque à tous les dogmatismes, qu`ils soient religieux ou philosophiques, ne figeant jamais son scepticisme, son doute méthodique sur des certitudes ou des absolus. Pour Montaigne, l`homme a la possibilité et le pouvoir de faire naître en lui la liberté de pensée. En 1572, il commence la rédaction des Essais, et il publie les deux

à travers des textes théoriques comme des essais ou des réflexions philosophiques. C'est en quoi certaines œuvres se présentent comme de véritables avertissements intellectuels ou philosophiques. Par exemple, Montaigne dans Les Essais, tente de prévenir ses lecteurs contre le malheur et la non réalisation de soi en leur proposant une philosophie du bonheur fondée sur les philosophies antiques ( stoïcisme, épicurisme et scepticisme). Alors que Primo Levi, dans Si c'est un homme, fait un témoignage

prenons exemple avec Marcel Duchamp avec la joconde, et ses fameuses lettres que seul M.Cuenin avait comprit, les voici donc : LHOOQ Le nihilisme est une théorie philosophique qui affirme l’absurdité de la vie, l’inexistence de la morale et de la vérité. On associe souvent, à tort, comme des corollaires, le pessimisme et le scepticisme au nihilisme.Car le vrai nihilisme consiste à ne croire en rien, à ne croire en aucune positivité.C’est Nietzsche qui a le premier pointé le nihilisme comme l’ennemi

pour se comprendre et comprendre le monde. Il laisse libre cours à ses pensées souvent imprégnées de pessimisme, telles qu'elles se présentent à lui. Son étonnement philosophique commence avec sa devise "Que sais-je ?" • Il s'attaque à tous les dogmatismes, qu'ils soient religieux ou philosophiques, ne figeant jamais son scepticisme, son doute méthodique sur des certitudes ou des absolus. En pleine guerre de religions, il affiche sa tolérance et son aversion pour les luttes fratricides entre catholiques

parce qu’il avait remarqué chez lui des dispositions philosophiques, ainsi que Bernier et Cyrano de Bergerac. Mais toutes ces affirmations sont probablement inventées13, comme une bonne part de cette Vie de Molière, que Boileau avait condamnée sans appel l'année suivant sa publication14. On peut seulement déduire de la lecture de ses pièces que Molière aurait été imprégné de gassendisme (philosophie atomistique mêlant épicurisme et scepticisme) et se serait plus particulièrement intéressé à la doctrine

Principaux courants philosophiques I. Empirisme Thèses : L’esprit n’est au départ qu’une « table ras », il est vide de tout contenu Les idées et la connaissance viennent de l’expérience On ne peut connaître que ce dont on peut faire l’expérience Représentants : Locke (1632 – 1704) Hume (1711 – 1776) Condillac (1715 – 1780) II. Epicurisme Thèses : Le but de la vie est le plaisir Il faut vivre en accord avec la nature Seule existe la matière Représentants : Epicure (341 – 270 av. JC) : fondateur

est structuré en 3 mouvements : voir Plan . Afin de commenter cet extrait nous respecterons la structure choisi par l'auteur en nous intéressant au sens de cet extrait,sa mise en perspective. Nous chercherons en outre mettre a jour son intérêt philosophique. Rmq : Les 3 dernières lignes sont les plans (du texte et celui que l'on va commenter). Comment s'établit le savoir en science pour BERGSON ? Bergson parle D'UNE SEULE méthode. Cette méthode expérimentale telle qu'elle a été théorisé par KANT

de sa propre nature. A quoi s’ajoute bientôt le sentiment des contradictions tout aussi profondes des préceptes moraux qui lui ont été enseignés par ses maîtres ou ses lectures, des moeurs de tous les pays qu’il a traversés. Il conclut donc au scepticisme, formulé dans sa devise célèbre : Que sais-je ? Loin de le conduire à quelque défiance envers l’homme, cette attitude de doute débouche sur une universelle bienveillance et un art de vivre fondés sur la compréhension de nos faiblesses. Quel bilan

moi-même. Dès lors, c’est bien plus du côté du sujet qu’il faudra chercher, avec la phénoménologie, la fausseté ou la vérité de l’apparence, puisque l’être même des choses semble tout entier donné dans l’apparaître. Pyrrhon a construit son scepticisme en commençant par le trope de la critique des sens, les illusions perceptives ne nous permettent pas de fonder décemment la connaissance de la vérité sur un critère aussi instable et trompeur que la sensation. Les apparences ne sont pas dignes de