Le Sac Des Tuileries

Question sur le corpus : « Quels visions les romanciers de ce corpus nous donne de leurs personnages ? Les œuvres du corpus : L’extrait des barricades dans Les Misérable (1862) de Victor Hugo L’extrait des Tuileries après le saccage dans L’Education sentimentale (1869) de Flaubert L’extrait de l’insurrection républicaine de 1851 en Province dans La Fortune des Rougon (1871) de Zola Introduction Au XIXe siècle, les romanciers ont souvent cherché à représenter leur époque. C’est ainsi que

La photo s’insitule «Amours et Barcelés» elle représente l’amour sous l’occu- pation, elle a été prise par Robert Doisneau au jardin des Tuileries, à Paris en 1944. Avec cette photo, Robert Doisneau nous présente une image éternelle de l’amour en face des tra- gédies et des souffrances. Doisneau aimait les optiques de la vie ordinaire et y trouvait la beauté. Au lieu de chercher un instant décisif, une combinaison de structure et action qu’il faut chasser, Doisneau s’appelait un « pêcheur des images

ses origines sociales. Au niveau politique les 2 hommes sont des Républicains. Par contre, Charles Deslauriers l’est par ambition et non par conviction. Frédéric de son coté n’agit pas beaucoup, il laisse faire les choses (comme dans la prise des Tuileries Chapitre 1 Partie III). Il rêve d’être député puis d’enter au conseil d’Etat mais seulement par ambition et, comme toujours, il ne fait rien pour faire avancer les choses. Au niveau sentimental on pourrait dire que Charles Deslauriers S’occupe

trente-cinq ans, refuse la place de Dieu parce que c'est "un cul de sac", un homme qui travaille douze, quinze, dix-huit heures par jour, un homme qui dialogue avec l'histoire, avec Alexandre le Grand, César et Charlemagne. Cet homme n'admet auprès de lui que ceux et celles qui le servent, et qui plus est, qui le servent comme il entend d'être servi. Il impose à la cour impériale une étiquette dont la rigueur implique l'ennui aux Tuileries comme à Saint-Cloud. L'empereur gouverne seul. Il convoque le Tribunat

Amour et barbelés, Robert Doisneau (1912-1994) I_ Introduction Cette photo représente l’amour sous l’occupation allemande, elle a été prise au jardin des Tuileries à Paris en 1944. Doisneau nous présente une image éternelle de l’amour face aux tragédies et aux souffrances de la guerre. On le surnommé le « pêcheur d’images » c’est-à-dire qu’il aimait les instants de la vie ordinaire, il y trouvait de la beauté. C’est pourquoi il est resté à Paris sous l’occupation pour photographier les citoyens

panoramique. La plate-forme était un panier grand ballon, capable de contenir 200 spectateurs, mais dans la partie inférieure du sac il existait de gaz énorme. Le film qui sera présenté a été faite a l’aide de 10 caméras avec un disque unique et centrale, les mettant dans un ballon réels, et le tournage du vol.Le ballon passait à 400 mètres au-dessus du Jardin des Tuileries. Sur la projection du film, l'expérience a été complétée par la projection du film même à l’envers, pour simuler une descente

Madame de Lursay. Cette dernière n'est pas dupe: elle constate que Meilcour tente de l'éviter. Elle y fera allusion, mais Meilcour nie tout. Apprenant que Germeuil est à la campagne, sûrement avec son inconnue, Meilcour va ronger son frein aux Tuileries. Comme par hasard, il y trouve son inconnue accompagnée d'une dame. Elles discutent sentiment. Caché derrière un mur de feuille, il écoute la conversation. Il entend son inconnue (Hortense de Théville) parler à sa dame d'un inconnu duquel elle est

se sentir contraint de livrer un chef-d'oeuvre. Le pari est tenu, car le plaisir en est le maître mot. Les frères Coen l'ont bien compris, qui signent un petit bijou sur le quai du métro Tuileries, où un Américain se fait casser la gueule sous le regard indéchiffrable de La Joconde, dont il trimbalait dans son sac une collection de cartes postales. Olivier Assayas donne, lui aussi, un éclat du meilleur de son cinéma. Il raconte de manière très enlevée un moment d'une nuit parisienne où tout semble

juillet s'est effondrée sans résistance : "bien moins contestée, puisque le régime qui finit s'est à peine défendu" (l.3-4). Lorsque la garde nationale refuse de réprimer la manifestation, le 23 février 1848, Guizot démissionne. Puis, lorsque les Tuileries sont attaquées le 24 février, Louis-Philippe abdique en faveur de son petit-fils, avant de partir en exil. Les forces de la Monarchie de Juillet ne sont plus à craindre : "Ne craignons pas trop ni les clubs, ni les élections, ni l'Assemblée nationale"

raide d’ambition, et son regard isolé trahit une larme épuisée. La dame presque parfaite et ‘tout comme il le faut’, pourtant, et ‘Oh là là’, dans son sac à main, tout ce qui lui appartient ! Et oui la dame presque parfaite, aux mouchoirs mouillés, et aux verres de bleuets, avec du mascara épais et une peau dorée. A l’intérieur de son sac à main, Son royaume secret en rouge brillant, une vie détériorée et presque vide, ‘Oh là là !‘ elle regarde ses vers inachevés. Chloe Douglas, 2009