Le Sac Des Tuileries

cours d'une session du Conseil Général de la Seine. Le projet évoqué concerne la création d'un chemin de fer local qui doit desservir l'ensemble du département de la Seine. À l'époque la voie ferrée dans Paris se limitait aux 7 gares terminus en cul-de-sac interconnectées par la Petite Ceinture (ligne circulaire ouverte aux voyageurs et comprenant 21 gares). Par la suite deux idées vont s'opposer : la municipalité parisienne souhaite réaliser un réseau placé sous tutelle locale et assurant une desserte

de procès mais uniquement un décret. Depuis le 12 août la famille royale était toujours internée au Temple. Les preuves manquaient pour l'accusation quand la découverte de l'armoire de fer aux Tuileries permis à l'assemblée d'enclencher la procédure judiciaire. Cette armoire secrète prise lors de la mise à sac du 10 août contenait des documents importants mettant en cause non seulement le roi dans ses rapports avec les autres puissances européennes mais aussi ses correspondances avec Mirabeau, Dumouriez

abdiquer le Roi (qui n'a pas d'enfant) en faveur de son frère. Le Roi n'apprécie guère. Cela sert les libéraux. Le danger est ailleurs, mauvaises récoltes, troubles, conspirations, comme celle de "patriotes" parisiens qui veulent faire sauter les Tuileries, où vit le Roi. En 1819, l'ex-abbé Grégoire, député à la Convention qui n'apas voté la mort de Louis XVI (il était absent) mais l'a approuvée, est élu député à Grenoble. Le régime se sent menacé. Decazes pense se rapprocher des "ultras". Enfin, en

allemands prennent alors parti pour la Prusse qui paraît agressée. Napoléon III, malade, laisse faire. Le 19 juillet, la France déclare la guerre à la Prusse. Cette décision provoque un rassemblement enthousiaste des Parisiens devant le palais des Tuileries. Peu se rendent compte que l'armée française est mal préparée à cette guerre : « nous sommes prêts et archiprêts, la guerre dût-elle durer deux ans, il ne manquerait pas un bouton de guêtre à nos soldats », déclare Edmond Le Bœuf, maréchal de France

-un en plan de demi-ensemble γdistance entre les personnages -netteté optimale et grande profondeur de champ (accroissement de la perspective) ƒcourte focale Les feux de l'amour (scène de la discution sur le sac) -perspective écrasée -netteté parfaite sur la fille // l'homme en arrière plan est flou ƒlongue focale: sert à abstraire le décors pour mettre les personnages en valeur Elephant de Gus Van Sant 2003 (scène du couloir) -inspiré de la tuerie dans

arguments politiques. En OCT SEPT 89, ces journaux dénoncent un complot aristocratique selon lequel les nobles veulent de nouveau la monarchie absolue pour asseoir leurs pouvoirs. On en discute dans les parcs, les cafés, dans les jardins, le jardin des tuileries, le jardin du palais royal ( où habite Philippe d’Orléans), on voit l’émergence de narrateur de rue qui lit la presse : DANTON (ancien avocat), SANTERRE (brasseur du Faubourg St antoine), ce complot aristocrate a un foyer et ce foyer c’est Versailles

agit dans son propre intérêt, et qui plus est contre son maître. Enfin, dans Les Fourberies de Scapin de Molière, Scapin, pour se venger de Géronte, invente une supercherie dont le but est d’humilier Géronte. Ainsi, il parvient à l’enfermer dans un sac puis le roue de coups de bâton en contrefaisant la voix de plusieurs hommes qui voudraient sois disant faire du mal a Géronte. Ici, le valet occupe un rôle comique, quand on se représente la scène, on ne peut que sourire en imaginant Scapin en train

rues de Paris et dans le jardin du Palais-Royal de nombreuses manifestations ont lieu, les bustes de Jacques Necker et de Philippe d’Orléans sont portés en tête des cortèges. Le régiment de cavalerie, le Royal-allemand charge la foule amassée aux Tuileries. On compte plusieurs blessés, peut-être un tué parmi les émeutiers. En début de soirée, Pierre-Victor de Besenval à la tête des troupes installées à Paris, donne l’ordre aux régiments suisses cantonnés au Champ-de-Mars d’intervenir. Lundi 13 juillet

Hollande, Hortense de Beauharnais, qui le porta. Vol des joyaux de la Couronne Les joyaux de la Couronne sont volés lors du sac de l’hôtel du Garde-Meuble entre les 11 et 16 septembre 1792 malgré la présence de gardes nationaux : leur guérite est à l'opposé de la cour donnant sur la Salle des bijoux et ils ne font plus de ronde depuis la pose des scellés après la prise des Tuileries, de plus le général Restout, nouvel intendant du Garde-Meuble insuffisamment gardé, réclame des renforts au Ministre de

Auxonne dirigée par le maréchal de camp-baron Jean-Pierre du Teil. Ce dernier lui confie la répression de la première émeute locale qui éclate le 19 juillet 1789. Présent ponctuellement à Paris, le jeune officier est spectateur de l’invasion des Tuileries par le peuple le 20 juin 1792 et aurait manifesté alors son mépris pour l'impuissance de Louis XVI. Ce dernier signe quelques jours plus tard son brevet de capitaine, un de ses derniers actes publics. Napoléon retourne à plusieurs reprises en