Le Philosophe Peut Gouverner Une Cité

dialogue rédigé par Platon présente à ses interlocuteurs une Cité idéale, parfaite, où règne la justice. On a reproché à ce projet d'être utopique. Mais cet idéal, s'il est irréalisable sur le plan politique, est réalisable sur le plan individuel. La Constitution de la Cité parfaite, même si elle est utopique, est riche en réflexions sur la politique, et en leçons morales, valables sur le plan individuel. La justice parfaite, qui manque peut-être de réalisme politique, sert au gouvernement de soi-même

de l'Atlantide apparaissent dans deux dialogues de Platon, le Timée et le Critias. Cette légende a toujours fasciné l'imagination populaire et inspiré de nombreux auteurs. Alors que certains y voient une allégorie destinée à soutenir le propos du philosophe, d'autres ont pensé pouvoir la localiser en divers endroits du monde. AU COMMENCEMENT IL Y A PLATON.... Les premières mentions de l'Atlantide (sous ce nom en tout cas...) se trouvent dans les dialogues de Platon appelés le Timée (dans la section

la philosophie de l'action et à l'éthique. Pour Platon, il faut d'abord contempler le Bien dans le monde des Formes ou des Idées comme « paradigmes » du monde sensible pour pouvoir ensuite agi r adéquatement, sachant dès lors se gouverner soi-même ainsi que la Cité. Pour Aristote, ce n'est pas la contemplation ou la théorie (theoria), mais le jugement pratique dans l'action qui la guide et l'oriente... faisant appel à l a prudence ou à la sagesse pratique (phronèsis) qui est celle, par exemple

saisie du lien entre métaphysique et éthique. Bonnes actualisations, votre façon d'envisager l'éthique aujourd'hui est intéressante. Bonne conclusion Attention à quelques généralités dans l'introduction, quelques éléments un peu loin du sujet. Peut-on parler de purisme chez Kant Sommaire : Introduction 1. Approche définitionnelle 1.1 La notion de justice 1.2 La notion d’Ethique 2. Justice et Ethique chez Platon 2.1 La question de la Justice chez Platon

l’autre et le détermine. N’existe-t-il pas en chacun de nous un « sens de la justice » qui nous rend apte à évaluer et juger les décisions et actions, ce sens de la justice étant alors l’origine de la loi et du droit ? Cela est possible, mais on ne peut cependant manquer de constater la diversité des pratiques de justice d’une région ou d’un pays à l’autre. Pascal écrivait : « Vérité au-deçà des Pyrénées, erreur au-delà ». Nous sommes indignés lorsque nous voyons nos « voisins » porter de graves atteintes

distinguer de la loi alors qu'ils semblent profondément liés. Saisir le sens du droit n'est pas seulement répondre à la question « qui dit/fait le droit ? ». Platon : les tâches de la philosophie c'est de définir le métier de celui qui est l'ennemi du philosophe, le sophiste. X est un sophiste, Y est un juriste, tout le monde est d'accord. Y est-il véritablement juriste ? Le fait que nous soyons tous d'accord veut-il dire que nous ayons tous la même définition de juriste ? Dialogues 218C de Platon. Dans

plus détaillé, on en a tiré beaucoup, il promulgue les Edits du roi. Comme pour les autres codes, celui d’Hammourabi parle beaucoup de règles familiales mais aussi de contrats. Le droit n’est pas soumis à la religion même s’il est d’origine divine. Il peut certes organiser des cérémonies, le clergé, mais ne s’immisce pas dans la religion. Ce droit mésopotamien gère seulement les rapports entre les hommes et rien d’autre. La Bible, un message de Yahvé (Dieu) Moise a recueilli la parole de dieu et

compétence du peuplePlaton était contre la démocratie. Adversaire farouche de la démocratie, à l’opposé d’Aristote. Il pense qu’on peut donner le pouvoir au peuple sous certaines conditions.Politique de Aristote, chapitre III,11: cadre de sa réflexion:→ Se situe dans le cadre d’une interrogation sur la compétence du peuple. Est-ce qu’une pop pas forcément éduquée peut exercer le pouvoir ?Les institutions supposent qu’il n’y a pas besoin de compétence. Ce que la démocratie grecque refuse

d’Aristote Au début de son traité politique, Aristote affirme que la cité est le souverain bien de l’homme. Par « politique », le philosophe grec n’entend pas seulement l’art de gouverner, mais avant tout de vivre ensemble. D’ après ces considérations, il est évident que la cité est une réalité naturelle et que l’homme est par nature un être destiné à vivre en cité (animal politique) ; celui qui est sans cité est, par nature et non par hasard, un être ou dégradé ou supérieur à l’homme :

Histoire des idées politique Emmanuel Kant, philosophe du 18ème siècle se pose 3 questions : Qu'est ce que je peux connaitre ? C ‘est de la philosophie théorique. Les deux autres questions sont relatives aux questions morales, c’est de la philosophie pratique. Qu'est ce que je dois faire ? Que met il permis d'espérer? Une règle, qu'elle soit morale ou juridique, n'est jamais ce que l'on appel un phénomène au sens étymologique, ce qui apparaît. Or la loi au niveau