Le Pater Familias

était composée par des familles élargies. Chacune de ces familles avaient contracté des habitudes et des traditions. C’est dans ces familles qu’était exercé le pouvoir. Rome était gouvernée par un roi désigné par les chefs de ces familles (les paters familias). C’est la réunion de ces chefs qui formait le pouvoir politique. Ils avaient le pouvoir dominant sur les dominés regroupant les autres membres des familles et ceux qui étaient exclus de ces familles. Donc la coutume reprise par les pontifes est

familiaux pour devenir un droit UNI et ABSOLU). Les droits réels confèrent tous un pouvoir absolu (sur un objet) d’usage, de possession et de disposition. → Ils concernent exclusivement les biens patrimoniaux. (=/= droits de puissance accordé au pater familias). Alors que le droit des obligations confère un pouvoir relatif sur une personne. Le droit du « dominus » s’applique directement à la chose (Jus Inre : le droit qu’on a est DANS la chose), il exclut tout ingérence d’autrui, s’oppose à tout

imbroglios et autres maux dont sont victimes d’une façon ou d’une autre la plupart des personnages (Kutumb, l’épouse bafouée et Mehak, la maîtresse musulmane, fille de courtisane héréditaire, les enfants de celle-ci, Chhunna, la sœur veuve, et même le pater familias, riche avocat manitou, Kripanarayan) semble assumé par l’auteure virtuelle, utilisant comme deus ex machina la soudaine décision rebelle, irrévocable, de Mehak, qui exige, à la veille du mariage de sa fille la restitution de ses bijoux hérités

auprès du corps d’une victime pour établir quelques infructueuses conclusions. Aussi jeune et nouveau qu’il paraisse, aussi raisonné et marginal qu’il se revendique, l’envoyé de New York, Crane, au début du film n’est en rien différent du pater familias enperruqué qui commande les instances sociales. Tous pensent détenir la vérité – même si les avis divergent – : le coupable est le cavalier sans tête disent les uns, le coupable est un homme objecte l’autre. Et tous d’être dans l’erreur, puisque

était composée par des familles élargies. Chacune de ces familles avaient contracté des habitudes et des traditions. C’est dans ces familles qu’était exercé le pouvoir. Rome était gouvernée par un roi désigné par les chefs de ces familles (les paters familias). C’est la réunion de ces chefs qui formait le pouvoir politique. Ils avaient le pouvoir dominant sur les dominés regroupant les autres membres des familles et ceux qui étaient exclus de ces familles. Donc la coutume reprise par les pontifes est

de générosité, ni de faute, ce que l’on appelle en droit "l’animus donandi". Toutes ces catégories sont des causes. - Concernant l’animus donandi, un acte généreux ne peut pas être cause. - En allant au-delà de ce qu’on demande en tant que "Pater Familias", il y aura indemnité, le dévouement de base étant normal. Section 2 : Les effets de l’enrichissement sans cause L’enrichissement sans cause aboutit à une action qui porte un nom particulier : "l’action de in rem verso". Cette action à une

premier : Eléments d’analyse historique du droit de propriété. A.- Le droit de propriété en droit romain. Fondé sur la loi des XII Tables (451 av. J.C.), le droit romain voit le passage de la propriété collective à la propriété individuelle du pater familias. Deux notions importantes : - le dominium ou droit exclusif et perpétuel conférant à son titulaire un droit d’usage, de jouissance et de libre disposition ; - la proprietas, qui apparaît à l’époque de Justinien. Elle exprime la plénitude des prérogatives

définition du politique est son excessive compréhension. Si la sociologie politique doit analyser tous les phénomènes du pouvoir, elle se confond, à la limite, avec la sociologie générale. Quel groupe social ignore le phénomène du pouvoir ? Le pater familias, le chef d'entreprise, le chef de train ou le professeur détiennent une parcelle de pouvoir, d'autant plus précieuse qu'elle est plus réduite. Est-ce à dire que leurs rapports respectifs avec leurs enfants, leurs ouvriers, leurs voyageurs ou leurs

sœur Louise a été insultée par Julien Salviati, l'un des fidèles du duc Alexandre de Médicis. Ils décident, malgré l'opposition de leur père, de la venger. Les Strozzi sont présentés avec une individualité propre : Philippe est le penseur et le pater familias ; Léon, le prêtre ; Pierre, l’homme d’action.   Scène 2 : Le portail d'une église Lorenzo est en compagnie du cardinal Valori. Un jeune peintre enthousiaste, Tebaldeo, montre aux deux hommes une toile représentant le portrait de ses rêves

choisit d'agir monstrueusement, allant à l'encontre de ce que lui dictent la raison et la nature. Mais, lorsqu'il refuse le mariage d'amour entre Valère et Mariane, et par là-même entre Damis et la sœur de Valère, il agit en père de son temps, en pater familias tout-puissant qui n'admet aucune opposition. Être chef de famille au XVIIe siècle, c'est posséder l'autorité suprême au sein de la famille, sur son épouse et les enfants dont il a encore la charge. Au sommet d'une certaine hiérarchie, le père