Le Miroir des âmes simples

L’INDIVISIBLE […] Oui, par les mots, Quelques mots. (Et d’une main, Certes, lever le fouet, injurier le sens, Précipiter Tout le charroi d’images dans les pierres - De l’autre, plus profonde, retenir. Car celui qui ne sait Le droit d’un rêve simple qui demande À relever le sens, à apaiser Le visage sanglant, à colorer La parole blessée d’une lumière, Celui-là, serait-il Presque un dieu à créer presque une terre, Manque de compassion, n’accède pas Au vrai, qui n’est qu’une confiance, ne

Tout cela se passe lors du déclin, de la tombée du «jour» qui «s'exténue» et meurt aprés une longue marche. Le statisme du portrair nous évoque aussi le temps mort. Elle mire —méme étymologie que miroir— contemple et regarde son corps. Or le miroir refléte et rend une image froide, de glace, car le miroir est fait d'eau stagnante, dormante, eau nocturne, l'eau de la mort de l'étang. 2. Cf. Gilben Durand, Les structures anthropologiques de l'imaginaire, Paris, Bordas, 1969, p. 341. 266 LECTURE

Pourtant, dans quelques uns de ses poèmes, Verlaine privilégie l’unité des rimes. Dans Simples Fresques I, on ne remarque que des rimes féminines : «La fuite est verdâtre et rose/Des collines et des rampes, /Dans un demi-jour de lampes/Qui vient brouiller toute chose/ ». Alors que dans Child Wife, ce ne sont que des rimes masculines : « Vos yeux qui ne devaient refléter que douceur, / Pauvre cher bleu miroir, /Ont pris un ton de fiel, ô lamentable sœur, / Qui nous fait mal à voir/ ». Dans ce poème

p.221 à 262 4ème partie p.265 à 339 Epilogue p.341 à 343 Résumé : Une nuit, une douleur aiguë à l’oreille réveillera brutalement Claude Pinault. Bien que soigné pour une otite, très vite d’autres symptômes vont apparaître. Au début, de simples fourmillements ankylosent ses mains puis ses membres inférieurs. Une consultation en urgence à l’hôpital d’Orléans confirmera le terrible diagnostic, Claude Pinault est atteint d’une maladie appelée le syndrome de « Guillain-Barré ». Il s’agit d’une

confiance dans un avenir Républicain et sa foi dans l'égalité. Le Roman Le personnage et la société www.portalopen.xl.cx La seule fonction du personnage est-elle de refléter la société dans laquelle il vit ? Introduction : « Le roman, c'est un miroir que l'on promène le long d'un chemin » écrit Stendhal dans le Rouge et le noir. I. Le personnage de roman reflète la société 1. Il s'inscrit dans un milieu social précis Contexte réaliste et historique : L'univers social est clairement défini : Les

trépignements dans le vide ? À sa famille de pensées Une femme nous présenta ; Ravi, nous avons dit, en phrases nuancées, Vers quel bonheur tendaient nos pas. Un soir de clair de lune, Un moment de tendresse et de rêve charnel, Où le monde paraît simple et presque irréel, Cette femme devient la grisante fortune Oue notre désir appelait. Le songe autour de nous danse un pas de ballet. Tout à coup transparaît en l'aimée une tache Qui nous hallucine, grandit, Éclipse ses vertus et cache Son

condamnés à espérer toujours » -Personnification : « que des démons maléfiques glissent » - Allitération en « f » : « farine, fourniment, fantassin » - Métaphore : « un bain de ténèbres » - Anaphore : répétition de l'adverbe « enfin », « âmes de ceux (…) âmes de ceux » - Personnification : « tyrannie de la face humaine a disparu » - Gradation : « fortifiez-moi, soutenez-moi », « c 'est le plus lourd, le plus sot et le plus célèbre » - Double effet de chiasme : «  nuit / jour / pleine lumière

dans l'appartement de la Torre Galatea, attenant au théâtre-musée de Figueras, et meurt à l'hôpital de Figueras le 23 janvier 1989. Conformément à sa volonté, il se fera embaumer puis exposer dans son « Teatre-Museu », où il repose désormais. Une simple pierre indique le lieu de sa sépulture. Par testament, il lègue une grande partie de ses biens et de son œuvre au gouvernement espagnol. Les oeuvres de Salvador Dali... Durant toute sa carrière, Salvador Dali n'a pas cessé de chercher, d'évoluer

nœud cornélien ：choisir entre l’amour et l’honneur, lutte péniblement entre deux sentiments fondamental. L'honneur du père, du sang de la race, l’individu n’existe que pour et par la famille dont il est issu. Dans le milieu de la haute noblesse, un simple soufflet est une insulte à honneur qui est la valeur supérieur de tout. Pour l’honneur ainsi que pour être digne de Chimène, Rodrigue doit défendre, il s’oppose à son amour. De la même façon que Chimène, le devoir de venger la mort de son père et

moderne, celui de ne rien pouvoir saisir ou retenir. Nous verrons d’abord comment est caractérisée cette femme, comment elle apparait dans le poème puis nous verrons son caractère mystérieux qui fait d’elle un personnage clé unique. Mystérieuse simple passante, ou bourreau des cœurs ? a) L’image ambivalente de la Femme (étude du portrait de la passante) : pour Baudelaire, il semble que la femme soit à la fois attirante et effrayante. · Le portrait physique : élégance aristocratique