Le Dilettante

Le jeune homme ne s’y plait pas, la considérant comme une “vieille douairière dont la robe sent la naphtaline” [...] Après la rupture du père Goemaere avec la Revue Générale, celui-ci crée en 1924 la Revue Belge [...] Bien vite, le fils un peu dilettante assumera la fonction de directeur littéraire. Au fil des ans, il s’affirmera comme locomotive de la revue, comme la cheville ouvrière œuvrant en coulisse." [Reine Meylaerts "Bruxelles - Paris anno 1925: chronique d’un voyage aller-retour"] "Lorsqu’il

installé près de Saint-Malo. Il est, depuis sa création en 1999, membre de l'équipe de programmation du festival littéraire « Les correspondances de Manosque». En 2000, il publie son premier roman, Je vais bien, ne t'en fais pas, aux éditions du Dilettante. Suivent aux Éditions de l'Olivier : A l'ouest, Poids léger, Passer l'hiver (Goncourt de la nouvelle 2004) et Falaises, salué par le public et la critique en 2005. Plusieurs de ses livres ont été adaptés au cinéma, dont Poids léger (mis en scène

Déon et de faire un « tour de l’histoire littéraire et mondaine des années cinquante ». Je pourrais appliquer les mêmes remarques à Madame Rose » (1998) : cette «  vieille dame indigne » raconte sa vie à un jeune cousin très désargenté et très dilettante, Gaston. C’est là l’occasion de faire connaissance du demi-monde : Madame Rose a épousé des vieillards assez riches pour lui offrir la vie qu’elle souhaitait. A la fin de sa vie, les apparences sont sauves : elle a un valet dévoué, un majordome

spécimen de développement intellectuel unilatéral, et de bien employer à cet effet les douze jours de voyage qui nous séparaient de Rio."( p.21) Le narrateur définit ainsi son rôle : observer Czentovic en qualité de joueur d'échecs.     Joueur dilettante et peu expérimenté, le narrateur considère le jeu d'échecs comme une distraction : "(...) je ne joue à ce jeu que pour mon plaisir, je ne m'assieds et ne passe une heure devant un échiquier que pour me détendre l'esprit... Je joue au sens strict

| | | |(1) L’échappée belle, Anna Galvada, éd. Le Dilettante, 165 p. 10 €. | |(2) Frères et sœurs, une maladie d’amour, Marcel Rufo avec la collaboration de Christine Schilte, éd. Fayard, 306 p., 19,50 €. | |

curieux, protecteurs, calmes, grands travailleurs sans en avoir l’air, tenaces, ils possèdent une mémoire fabuleuse. · Les défauts du Cancer Les cancers sont imprévisibles, lunatiques, indolents, irréalistes, susceptibles, secrets, bohêmes, dilettantes, influençables, mythomanes, timides, introvertis. · Les prédispositions professionnelles du Cancer En contact direct avec son imaginaire, le cancer est doué pour tout ce qui a trait à l’image : dessin, photographie, peinture, couture . Plein

le quatrième enfant d'une famille nombreuse, né à Madagascar, ayant vécu à Chambon-sur-Lignon. Au lendemain de Mai 68[Quand ?], il fait la route vers Katmandou et, au retour, travaille en usine et exerce différents métiers de façon militante ou dilettante avant de monter à Paris. En 1976, il commence à travailler pour le quotidien Libération. D'abord au service des sports qu'il contribue à créer en compagnie, notamment, de Jean-François Fogel, Serge Daney, Jean-Pierre Delacroix ou Homéric. Puis

bilieux 4. condescendant 5. crédule 6. fruste 7. pudibond 8. affecté 9. belliqueux 10. velléitaire 11. guindé 12. mièvre 13. mythomane 14. versatile 15. prude 16. timoré 17. rustaud 18. gourmé 19. cabotin 20. casanier 1. candide 2. dilettante 3. facétieux 4. farfelu 5. madré 6. narquois 7. grivois 8. goguenard 9. martial 10. pétulant 11. pudique 12. réaliste 13. circonspect 14. égrillard 15. fantasque 16. placide 17. éclectique 18. perspicace 19. rassis 20. flegmatique

beaucoup de revirement de situation dès l’entame de la seconde mi-temps. A la base, il est joueur de Volley-ball. Le numéro huit est un cas à part. Jake Martin, « Wild Base », joue au Base-ball. Son air nonchalant et sa façon de jouer en dilettante surprennent toujours de premier abord mais il finit toujours par devenir sérieux. Vous ne rêvez pas, Bruno Ménard est bel et bien le joueur vedette de l’USC, l’équipe de rugby à quinze de Carcassonne. Il porte le numéro neuf pour le FHT

les interminables coups de Czentovic; il a en tête une partie différente de celle qu’il joue. Pressé par le narrateur, il se retire, encore une fois contrit et penaud. « Dommage, dit Czentovic, magnanime. L’offensive n’allait pas si mal. Pour un dilettante, ce monsieur est en fait remarquablement doué. » ------------------------------------------------- Le livre et l'auteur[modifier] Ce livre posthume paraît à Stockholm en 1943, alors que Stefan Zweig, désespéré par la montée et les victoires du