Le Cauchemar Fusil

inoubliable composée pas un écrivain de 26ans. Dans cette oeuvre d'une modérnité insolante, livre culte depuis plus de cinquante ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionette burlesque, la mort prend la forme d'un nénuphare, le cauchemar va jusqu'au bout du désespoire. Dans son roman le plus connu, Boris Vian dépeint l’histoire d’amour tragique entre Colin et Chloé. Le bonheur initial des deux amoureux est interrompu par la maladie de Chloé qui voit un nénuphar se développer

mort LE FILM NOIR (1941-1958) : -Il défie les valeurs hollywoodiennes, -Il montre la face obscure de la nature humaine Les thèmes du film noir : -Tout film noir comporte un crime crapuleux, -Le film noir est un film de mort (violente) • Le cauchemar fataliste :Un engrenage se met en branle, Tt est fixé d'avance pr un destin inexorable, Déterminisme • La femme fatale :Elle est menaçante et séduisante, Elle ensorcèle l'homme et l'amène à sa destruction, Elle est énigmatique • Le passé hanté :Les

Paul Eluard en 1942 puis illustré par Fernand Léger en 1953. Fernand Léger est un peintre français, ayant participé à la première guerre mondiale dont il revient gravement blessé. Lors de la Seconde Guerre Mondiale afin de ne pas revivre le même cauchemar, il décide de s’exiler à New York. Après la guerre de retour en France il rencontre Eluard, qui tous les deux deviennent amis. En 1947 il peint le portrait de Paul Eluard qui meurt en 1953. Afin de lui rendre hommage il décide d’illustrer son poème

aux enfers, apocalyptique et magnifique. Il réussit avec peu de moyens à transformer Copenhague en une ville totalement méconnaissable, hors du temps et de l'espace. Il fabrique une atmosphère poisseuse, insère des touches de surréalisme, crée un cauchemar éveillé. Il s'est inspiré pour l'esthétisme de son film de Nostalgia de Tarkovski. Et que dire du scénario ? Pour les fous de polars, un film immanquable, une manipulation mentale avec un retournement de situation imparable, un coup de théâtre qui

deviendra général, commandant de la place de Paris. Baudelaire lui vouera une aversion tenace : il suggéra même à ses compagnons d’armes de le fusiller lors de la révolution de 1848; révolution à laquelle il participe plus par exaltation que par conviction. Dans la soirée du 24 février, un compagnon le rencontre, un fusil à la main, criant « Il faut aller fusiller le Général Aupick ». D’un point de vue sentimental, sa vie fut mouvementée. Il eut beaucoup de maîtresses, dont Jeanne Duval, une actrice

soldats pendant la PremièreGuerre Mondiale: « faire la guerre est une grave erreur »; il veut nous faire partager son point de vue; il essaie de nous faire comprendre la folie de la guerre. Ferdinand est lâche mais il découvre que la guerre est un cauchemar. Le romancier recourt à des hyperboles comme “croisade apocalyptique”. Grâce aux pensées et au vécu du personnage, nous devenons témoin de l'histoire ; nous arrivons à comprendre pourquoi il critique la guerre. Par ailleurs, Céline nous montre que

traverse le ciel dans son char, cede a son fils (le jour) En grèce : Nyx (ailée, a la fin du jour, s’ envole en deployant son voile sur la terre. Halloween : Les defunts franchissent les portes qui mene au monde vivant. Les peuples de l’enfer : le cauchemar, demon qui tourmente les humains dans leur sommeil. Les chasses infernales : pays du nord et centre de l’europe, la nuit par temps d’orage, dans la foret, les esprits revenant traverse le ciel en hurlant et epouvante les vivants. Les succubes

livres, cette société détruit ses souvenir et son histoire : « Chaque homme doit être l’image de l’autre, comme ça, tout le monde est content ; plus de montagnes pour les intimider, leur donner un point de comparaison. Conclusion : un livre est un fusil chargé dans la maison d’à côté. Brulons-le. Déchargeons l’arme. 1» Par conséquent, la société de Fahrenheit 451 repose sur un puissant effet de peur qui amené les gens à la délation. On n’hésite pas à dénoncer son voisin ou un proche de crainte

suscite effectivement l'indignation de Rimbaud. Il est cependant peu probable que celui-ci ait réellement assisté à ce qu'il décrit. On repère un champ lexical de la nature. L'idée que ce soldat est mort n'apparait vraiment qu'au dernier vers. Le cauchemar des deux mères (1871) J’ai vu, dans un rêve attristé, Deux chaumières presque pareilles, Et deux voix dans l’obscurité, Plaintives, qui frappaient mes oreilles. Chaque maison était cachée Dans un de ces vallons prospère D’où la guerre

En trois pas il fut devant elle, sauta, allongea la jambe qui balaya les assaillants et retomba sur ses pieds. Il lui tendit une main elle la saisit et elle le guida dans ce labyrinthe vers ce qu’elle pensait être la sortie. Un homme armé d’un fusil se dressa devant eux et le sauveur s’avança, la main tendue devant lui et le coup partit. Avec un bruit mat la balle s’écrasa contre sa paume, son poing se referma et sans la lâcher il écrasa comme une enclume le crane de son adversaire. Il jeta la