Le Cauchemar Fusil

déjà mort. Être femme et avoir été républicaine, donnait un droit de concession naturelle à tout phalangiste ou fidèle du régime pour violer autant de fois qu’il le désirait, surtout lorsque le mari ou le compagnon était mort au front ou en prison, fusillé « légalement » ou exécuté extrajudiciairement. À la fin, certaines, « celles qui avaient ce privilège », se mariaient avec l’un d'eux et ainsi elles parvenaient à n’avoir qu’un seul violeur. La IIème République avait légiféré pour obtenir l'égalité

pétard, pillard, placard, poignard, poissard, puisard, regard, renard, retard, richard, riflard, ringard, soudard, soûlard, tard, têtard, traquenard, vantard, vieillard, etc. 2) Voici ceux qui se terminent par ar : bar, bazar, calamar, car, casoar, cauchemar, caviar, char, czar, dollar, hangar, instar, jaguar, nectar, par, tsar. 3) Seuls les termes suivants se terminent par are: are, avare, barbare, cigare, cithare, escare, fanfare, gabare, gare, guitare, hectare, ignare, mare, ovipare, phare, rare

La gâchetteCette famille est glorieusement et sans vergogne munie de pistolets, de fusils, d’armes à tout va, multiples, rudimentaires ou technologiques. Le militaire, évacué de la galerie héroïque dans la vie réelle, après le traumatisme de la guerre mondiale, trouve ici des remplaçants à sa mesure. Le champ est libre pour la lutte et la ruse, le suspense, l’adrénaline… et le grand spectacle de cinéma de divertissement. Ce héros de fiction s’exprime dans les combats et les coups de feu échangés

brume, ainsi ils n'ont ni visages, ni identités. La composition de ce panneau est assez tranquille : les lignes sont à dominante horizontale avec les bandes de brouillard; l'énergie et le dynamisme des troupes en marche se fait avec les corps et les fusils légèrement inclinés, mais bien ordonné. Sur le panneau central, l’arrière plan est occupé par la représentation de ruines, aucune trace de présence humaine ne subsiste. La composition de l'arrière-plan est horizontale, cela symbolise le calme. Le

~ 8 décembre 1915) Beaucoup de monde. Enterrement Clémence : peu de monde. Rêve (cauchemar) du narrateur. Arrivée du bébé. 20 Retour à Yann le Floc. Il est enfermé à la prison de V depuis 6 semaines. Le narrateur va le voir. Portrait ; c’est encore un gosse. Le narrateur demande s’il est vraiment le tueur. Yann le Floc est devenu fou et il répète que c’est lui sans s’arrêter. Yann le Floc est fusillé un mois et demi plus tard après avoir été reconnu coupable. L’affaire est close. Le

pendant la guerre civile en 1949, ou au cours de sa lutte au moment de la décolonisation. En mars 1954, il demande au président Coty la grâce de sept tunisiens accusés d’avoir tué trois policiers. Il apprendra par la presse que trois condamnés ont été fusillés, mais quatre épargnés. En décembre 1954, Camus proteste contre les exécutions sommaires commises par le régime du Chah. En 1955, il écrit dans L’Express pour prévenir l’exécution d’un jeune Chypriote insurgé contre l’occupation britannique. En vain :

de Jour ( ~ 8 décembre 1915) Beaucoup de monde. Enterrement Clémence : peu de monde. Rêve (cauchemar) du narrateur. Arrivée du bébé. Retour à Yann le Floc. Il est enfermé à la prison de V depuis 6 semaines. Le narrateur va le voir. Portrait ; c’est encore un gosse. Le narrateur demande s’il est vraiment le tueur. Yann le Floc est devenu fou et il répète que c’est lui sans s’arrêter. Yann le Floc est fusillé un mois et demi plus tard après avoir été reconnu coupable. L’affaire est close. Le procureur

devient le centre de la bataille. Les soldats français tentent de résister mais ils meurent les uns après les autres. Dominique souhaite venger sa femme qui a reçu une balle mais se heurte face aux nombreux soldats ennemis et il est condamné à être fusillé. Il peut, tout de même, être sauvé s’il accepte de servir de guide à l’armée prussienne. Mais il refuse. Enfermé dans une pièce du moulin juste au-dessus de la chambre de Dominique, Françoise aide son fiancé à s’échapper dans la nuit, mais, le lendemain

n’aimerais pas beaucoup que tu barbouilles de glu le toit de la maison ! » - 50 - Compère Gredin s’approcha de son épouse et lui chuchota à l’oreille, afin que ni oiseaux ni singes n’entendent : « J’ai une excellente idée. Allons en ville acheter des fusils. Qu’en penses-tu ? - 51 - — Génial ! s’écria Commère Gredin avec un sourire qui découvrit ses longues dents jaunes. Nous achèterons même des mitraillettes. — D’accord, approuva Compère Gredin. Ferme bien la maison. Moi, je jette un coup d’œil sur

Français, eux, regardent les Anglais comme des égoïstes qui s’économisent dès qu’il faut faire des efforts. Les Russes passent pour des incapables, mais personne à l’Ouest ne veut se demander ce que c’est qu’un moujik en uniforme qui n’a pas toujours de fusil (1/5 de l’effectif… sinon un bâton !) peut faire… Les rapports entre Autriche et Allemagne ne sont pas sains non plus. Les Allemands suspectent les Autrichiens de trahison : les troupes austro-hongroises sont en effet composées de minorités slaves