Le Cauchemar Fusil

redoutables. Il sourit: — Oh! nô, le plus mauvais c'été l'homme. Il se mit à rire tout à fait, d'un bon rire de gros Anglais content: — J'avé beaucoup chassé l'homme aussi. Puis il parla d'armes, et il m'offrit d'entrer chez lui pour me montrer des fusils de divers systèmes. Son salon était tendu de noir, de soie noire brodée d'or. De grandes fleurs jaunes couraient sur l'étoffe sombre, brillaient comme du feu. Il annonça: — C'été une drap japonaise. Mais, au milieu du plus large panneau, une chose

redoutables. Il sourit : — Oh ! nô, le plus mauvais c'été l'homme. Il se mit à rire tout à fait, d'un bon rire de gros Anglais content : — J'avé beaucoup chassé l'homme aussi. Puis il parla d'armes, et il m'offrit d'entrer chez lui pour me montrer des fusils de divers systèmes. Son salon était tendu de noir, de soie noire brodée d'or. De grandes fleurs jaunes couraient sur l'étoffe sombre, brillaient comme du feu. Il annonça : — C'été une drap japonaise. Mais, au milieu du plus large panneau, une

tête. Jusqu'au jour où, pour une réponse dur prononcée avec toute l'assurance de ses huit ans, il la roue de coups. Quand arrive le médecin du village, appelé à son chevet, elle est convaincue que cet homme éduqué et bienveillant va mettre fin au cauchemar : mais il fait comme si de rien n'était, comme si elle avait été victime d'une simple chute. Dès lors, son dégoût face à tant de lâcheté, et aussi son désir d'échapper à la terreur quotidienne vont servir de viatique à Jeanne

une armée humaine sans visage et sans identité. La composition de ce panneau est assez tranquille : les lignes sont à dominante horizontale avec les bandes de brouillard; l'énergie et le dynamisme des troupes en marche se fait avec les corps et les fusils légèrement inclinés, mais bien ordonné. Sur le panneau central, on observe que l’arrière plan est occupé par la représentation de ruines, aucune trace de présence humaine ne subsiste. La composition de l'arrière-plan est horizontale, cela symbolise

colline du Principe Pio dominant Madrid dont les cochers et toits se détachent sur un ciel d’un bleu sombre, les condamnés du tribunal militaire ne vont cesser de défiler et de s’abattre devant les pelotons d’exécution qui tirent et rechargent leurs fusils avec l’automatisme et la froideur des gestes usuels. En opposition à ces soldats qui obéissent sans chercher à bien comprendre, Goya nous détaille les sentiments qui s’exhalent de ceux qui vont mourir et résument tous ceux des hommes qui suivront

M. Lepic le frappe avec son journal, Poil de carotte va voir ce qui se passe, il voit par la porte un chemineau, après il rentre, chacun c'était calmé et repris sa place Poil de carotte dit tout de même: "C'est le chien qui rêvait". 4ème [le cauchemar]: Poil de carotte n'aime pas les amis de la maison, parce-qu'ils le dérangent, lui prennent son lit et l'obligent à dormir avec sa mère, or il a un défaut celui de ronfler, il ronfle exprès sans aucun doute, avant de s'endormir il toussote sous le

pas eu lieu. Les plaies sont toujours là, les cauchemars recommencent. Et l'on en veut à l'autre de ce qu'on n'ait pas été refait à neuf ; de ce que l'amour n'ait pas résolu tous les problèmes de l'existence ; de ce que l'on ne se trouve pas, en fin de compte, au Paradis, mais bel et bien, comme d'habitude, sur Terre.» (p. 193-194) «- Tu aides à faire la guerre, alors ? dit Saffie en reculant. Ces mains elles touchent des clarinettes...et des fusils ? Elles tuent, ces mains ?Je te déteste ! -

aussi ; enterrement de BdJ (narr n’y est pas : pas le cœur) – pr Clémence, 6 à l’enterrement – cauchemar la nuit suivante – saoulerie ; tentation de suicide ; puis l’enfant est amené par 1 sœur (mais cela sera raconté + tard) XX / (212-220) : narr va visiter 6 sem + tard le pt Brt ds sa cellule (ancien couvent) – 1ère fois que narr voit pt Brt (213) – 1 mois et demie + tard, pt Brt reconnu coupable et fusillé = Affaire close – les règles d’un monde (Mierck a-t-il protégé le Proc ?) ; un billet de 5

n’a que 14 ans lorsque les troupes allemandes entrent en Pologne. Très vite, la population juive est enfermée dans le ghetto. Commence alors la persécution, la misère, la peur et la mort. Luna voit disparaitre tous les siens peu à peu et dans le cauchemar de la guerre, elle décide de participer à la résistance du ghetto de Varsovie avec pour seules forces, sa voix hors du commun et sa volonté de vivre et d’aimer. 3eme diapo – 1ere comparaison (p.146 + film

lors de la première guerre mondiale, il est appelé pour servir comme matelot dans la marine de Toulon. L’amiral vient en visite d’inspection sur le bateau où il est affecté. Il fait chaud et il avait soif. Sous l’emprise de l’alcool, appuyé sur son fusil il somnole. Tout à coup branle-bas de combat, coups de sifflet… voici l’amiral. Arrivé à sa hauteur, étonné il le secoue. Se croyant attaqué notre Léon réagit et le frappe avec la crosse de son arme. Qu’avait-il fait là ! …Il s’échappe mais est