Le Cauchemar Fusil

l’humanité. L’homme est David Olère, on le remarque par les traits du visage et par le numéro de matricule qu’il y’a sur la veste. Il porte le triangle rouge avec un « F » à l’intérieure qui signifie « juif opposant politique français ». Il est armé d’un fusil et d’une fourche, qui servait à déplacer les corps des déportés mort. Pourtant il n’a pas participé à cette révolte il n’a été qu’un témoin. La femme est représenté entièrement nu mais et asexué, c’est pour montrer que les nazis leurs enlevaient leurs

une place. Vide d’apparence. Je fis attention. Des caisses métalliques étaient disposaient partout… Comme une sorte d’arène. Je vis un pistolet posait au sol. Je le pris, il était chargé ; coup de chance. Seulement, la chance tourne souvent au cauchemar ! Des hommes, une vingtaine, ils étaient là, sortants d’une sorte de tour radio. Ils me virent, l’un d’eux s’écriant en jetant en l’air une fusée de détresse :

Anaphore « il neigeait » Répétitions (« blanc » / « immense »/ « neige ») exagère la présence et la force de cet élément qui en devient presque fantastique. Les accumulations « boulets mitrailles, obus » ainsi que le lexique guerrier « fusils »  « boulets » « canons » « assauts »  « escadrons » qui appuie sur le sentiment meurtrier que provoque cette guerre Le vocabulaire hyperbolique « partout, épouvantable » → Hugo utilise tout ces procédés pour impressionner le lecteur

quelque sorte et peut-être de moins en moins plus le temps avance. Par contre, leur histoire est un mythe et ils sont des légendes. Ils véhiculent une sorte de message à travers leur histoire. Le Texas et les États-Unis sont alors un territoire de cauchemar, où il règne la violence et l’injustice. Les communautés explosent et la pauvreté, le chômage, la violence et le chaos sont mis de l’avant. En effet, nous pouvons d’ailleurs voir dans le début du film lorsque Clyde décide de voler sa première banque

devant cette table tranquille, Écoutant la mort de la ville, Écoutant le monde mourir en moi Et mourant cette agonie du monde. T.2 : « J’écris dans un pays dévasté par la peste » J’écris dans un pays dévasté par la peste Qui semble un cauchemar attardé de Goya Où les chiens n’ont d’espoir que la manne céleste Et des squelettes blancs cultivent le soya Un pays en tous sens parcouru d’escogriffes À coups de fouet chassant le bétail devant eux Un pays disputé par l’ongle et par la griffe

apprécié de tous. Il part dans les montagnes et fait la rencontre de personnages vêtus étrangement qui jouent aux quilles. Ils acceptent de boire avec eux une liqueur et peu de temps après il s’endort au pied d'un arbre. Quand il se réveille, son fusil tombe en poussière de bois et de rouille, ses vêtements sont en lambeaux et une épaisse barbe blanche couvre le bas de son visage. L’extrait que nous allons étudier est une apostille, c’est à dire une note ajoutée à une édition plus tardive que

par cet événement qui allait peut-être changer le cours de sa vie. Le malheureux n’avait pas choisi ce jour là pour rien, le Lundi, la police ne patrouillait pas dans le quartier. Pour ne pas éveiller les soupçons, il n’allait pas le tuer avec un fusil, cela ferait trop de bruit ! Mais avec un poignard tranchant tel les dents d’un requin blanc. Après cet événement là, il pourrait enfin se libérer de cette sorte de domination dont il n’était pas le responsable. Pour ne pas se faire remarquer, il mettrait

« l’Automne » Victor Hugo, Les Contemplations, livre 4, « Pauca meae », 14 (1856) William Cliff, Atobiographie, « Enfance » (1993) Louise Labé, Sonnets, 14 (1555) Elie Ehrenbourg, Madrid Anonyme, (xx), le Chant des marais Anne- Marie Bauer, Fusillé Robert Desnos, Le Legs Edith Thomas, Terre Eugène Guillevic, Le Goût de la paix Paul Verlaine, Jadis et naguère, « Jadis » (1884) Art poétique A Charles Morice De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l’Impair Plus vague

pour tuer. Trop jeunes pour participer à la vie politique, trop jeunes pour se marier, mais déjà assez vieux pour mourir. D’année en année, le nombre d’enfants soldats ne cesse d’augmenter et leurs conditions d’existence tiennent souvent du cauchemar. Les documents et les témoignages recueillis prouvent notamment que certaines jeunes recrues sont délibérément violentées et soumises à des cérémonies initiatiques d’une rare cruauté. Des scènes d’horreur destinées à les endurcir à la violence

                                                                    Malheureusement, certains n’ont pas le droit de rêver. Pourtant dans la plus belle époque de leur vie, les enfants de Mélancholia, de Victor Hugo auteur français du XIX, vivent un vrai cauchemar. Les enfants de ce poème sont comme prisonniers de leur destin et condamnés à vivre dans la tristesse, l’épuisement, la douleur et encore bien d’autres maux : « Ils vont, de l’aube au soir, faire éternellement, Dans la même prison le même mouvement