Le Cauchemar Fusil

tous les marins et vacanciers de l'Océan Indien, sachez qu'un groupe très important de requin blanc mangeurs d'hommes et particulièrement agressif a été localisé dans la région. Interdiction formelle de voyager dans la zone » II:le début d'un cauchemar Je fonçais vers la cabine du commandant et lui ordonna :« Vite virez vers l'îlot ! -Oui -Mais nous n'avons pas assez de fond ! -Criez leur de revenir  ! -Ils sont trop loin. -Vous avez un téléphone 

agenouillé m’a pris les épaules, il m’a fixé de ses yeux verts que nous avons en commun. _Tu ne sais pas de quoi ils sont capables. Puis il murmure. Et je ne veux pas que tu le sache. A ce moment-là mon père sorti de la maison par la baie vitrée un fusil à la main, il tira sur un des soldats qui s’écroula parterre dans une flaque de sang et ma mère me vit, elle me fit signe de retourner sous l’eau, mais je ne peux pas m’arracher à ce spectacle, le dernier soldat attrapa violement Carine poussa la

Val Arthur Rimbaud 1854-1891 Waterloo avant la bataille J.Cl. Brinette Waterloo après la bataille J.Cl. Brinette Poème sur la guerre Brandon McGee 7e année, St. Pius X London (Ontario) La Lettre Didier Venturini Le cauchemar Jules Delavigne Le jeu Esther Granek Les fusillés Victor Hugo Poème sur la guerre 1914-1918 Maurice de Vlaminck Après la bataille Victor Hugo Mon père, ce héros au sourire si doux, Suivi d'un seul housard qu'il aimait entre tous Pour sa grande bravoure et

apprentissages auxquels conduisent les activités qui exploitent la littérature de jeunesse à l'école maternelle. GRAMMAIRE (4 points) L’extrait suivant transcrit l’énoncé oral de l’élève Benjamin dans le cadre d’un rappel de récit : Alors le cauchemar i, le cauchemar il sortit du placard et le petit garçon l’entenda glisser vers, vers son lit. Après, il se mettoua au coin du lit, sur le pied du lit et le le petit garçon : "Va t’en, va...". Et le petit garçon disa : "Va t’en, va t’en ! car maintenant je

soulèvent contre les soldats français, ils se font fusillés. Après le départ des français en 1814, Goya illustre le soulèvement des madrilènes pour le conseil de régence (avant le futur roi ferdinand VII). Il dénonce l'horreur de l’oppression exerce par les français sur les espagnols. Description formelle, analyse plastique : J’observe sur le tableau un jeu de lumière ; les soldats français sont dans l’obscurité, la personne près à se faire fusillé est mis en évidence par la lumière et on peut apercevoir

que le provençal va franchir et la rencontre mystérieuse qu’il fera dans cette caverne. C’est une expérience humaine profonde, verra-t-on, et non pas seulement la rencontre d’une bête féroce. I. Les Seuils a) Du jour à la nuit Armé d’un fusil et d’un cimeterre le soldat provençal devra franchir les seuils de d’une expérience ontologique. Une expérience qui se vit par étapes, une aventure psychologique. La première frontière transgressée est celle de la nuit. En effet, la nuit ne tombe pas

d’une histoire vécue par Nicolas, un jeune garçon. Son enfance est perturbée par des relations difficiles à la maison et à l’école. Nicolas est un enfant solitaire, sans amis, surprotégé par ses parents. Une banale sortie de classe tourne au vrai cauchemar pour le jeune garçon. Les événements qui s’y passent les bouleversent. Nicolas devient vulnérable et incapable de surmonter ses angoisses. Toute au longue de l’histoire, Carrère dessine deux portraits de deux hommes contrastantes de qui le jeune

tranchée, couvert et tirant à la mitrailleuse. Les chances de survie sont infimes, tout retour dans son camp est considérée comme désertion et donc passible d’être fusillé. Si un soldat refuse d’y aller, il est fusillé pour refus d’ordre et est fusillé. Le choix est simple pour un soldat, mourir fusillé par l’ennemi ou mourir fusillé par son propre camp. Ce choix qui n’est pas un, provoque chez le soldat une incompréhension du combat, que ce soit dans le camp français comme dans le camp allemand

sans identité. La composition de ce panneau est assez tranquille : les lignes sont à dominante horizontale avec les bandes de brouillard; l'énergie et le dynamisme des troupes en marche se fait avec les corps et les fusils légèrement inclinés, mais bien ordonné. Cette armée de fusils qui avance rappelle également « La bataille de San Romano » de Paolo Uccello de 1456 (voir ci-dessous). Fiche Histoire des Arts- Collège « Les Allobroges »- 2011-2012 Paolo UCCELLO La bataille de San Romano, 1450

Lord of War / The Constant Gardener : L’Afrique entre la seringue et le fusil Dans le thriller The Constant Gardener de Fernando Meirelles (La cité de Dieu), un des personnages compare les agissements de l’industrie pharmaceutique en Afrique au trafic d’armes. On pourra se faire sa propre idée sur le sujet puisque sort aujourd’hui, coïncidence ou signe des temps (Télérama y voit un mouvement de fond : la redécouverte de l’Afrique par Hollywood), Lord of war d’Andrew Niccol, film retraçant précisément