Le Cauchemar Fusil

croyant sa dernière heure venue, l’exclamation de Ronsard devant la vision de son corps décharné = deux manifestations de lyrisme personnel devant la mort. Mais le lyrisme peut aussi se passer du JE. Quand R.G.Cadou décrit la dernière image des « fusillés de Chateaubriand », son sentiment est lisible, évident, mais, par pudeur ou hommage, laisse la place au ILS. La première phrase et vers : « Ils sont appuyés contre le ciel » suffit à formuler la détresse, et l’effarement de Cadou, mais en même temps

ses capacités, sa puissance. La révolte ne passe pas seulement par la parole, ou par les gestes mais aussi par les objets. Sophie tient sa revanche : elle a volé les fusils de Monsieur Lelièvre et s’apprête à s’en servir. Le fusil, symbole de la rébellion, lui permettra de mettre fin à ceux qui représentent son opposé, son cauchemar, ce qu’elle ne pourra jamais atteindre. Par cette révolte le trou béant établi entre les classes sociales est mis en évidence. En effet, les "premiers seront derniers

précédente, il a été dans un parc d’attractions. Son père a raconté un récit où un garçon avait été kidnappé. Plus tard, il a été retrouvé, on lui avait enlevé un rein. Ça s’appelle du trafic d’organes. Depuis cette histoire, Nicolas avait plusieurs cauchemars. Il découvrit qu’il avait peur de dormir. 7. On raconte du père de Nicolas. Quand il était à la maison, il passait presque tout son temps au lit. Parfois il disait à Nicolas qu’il l’aime. Parfois il était tres distrait, il posait des questions

l’effet « cauchemar » et un aspect historique. Au début, les flammes des bougies sont en couleur lors d’une fête juive. La bougie est symbole de vie et d’espoir. A la fin, Schindler rappelle que c’est le jour du Shabbat à un ouvrier juif. Ils célèbrent ce jour ensemble avec des bougies (représentés en couleur), symbole d’espoir mais surtout de victoire. Lorsque les juifs vont vers le cimetière dans la dernière scène, celle-ci est en couleur car, maintenant, la vie a triomphé du cauchemar. Tout au

l’effet « cauchemar » et un aspect historique. Au début, les flammes des bougies sont en couleur lors d’une fête juive. La bougie est symbole de vie et d’espoir. A la fin, Schindler rappelle que c’est le jour du Shabbat à un ouvrier juif. Ils célèbrent ce jour ensemble avec des bougies (représentés en couleur), symbole d’espoir mais surtout de victoire. Lorsque les juifs vont vers le cimetière dans la dernière scène, celle-ci est en couleur car, maintenant, la vie a triomphé du cauchemar. Tout au

me contentait de fixer mon opposant dans les yeux. Son visage était lisse, froid. Je n'y voyais que de la lassitude. Mon regard, on me l'avait souvent dit, était déstabilisant. Toute la haine du monde se reflétait dans mes yeux, braqués tels deux fusils d'un noir profond sur mon adversaire. Mais était-il réellement un ennemi ? -Combien de temps est ce que tu comptes me fixer comme ça, dis ? Un silence acerbe lui répondit. Je me demandais pourquoi ils ne m'avaient pas bâillonnée. -Réponds

s'avéraient toujours vains, je ne pouvais leur échapper, ni dans ce monde, ni dans aucun autre. Il leur était donné de me choyer ou de me tourmenter selon leur bon plaisir. Plus tard je me défendrai. Maintenant, je n'étais qu'un enfant, couché en chien de fusil qui ronflait discrètement alors que tous les hommes étaient déjà partis au travail, alors que toutes les voisines avaient déjà procédé à leur toilette. Ma mère me réveilla. Sidi Mohammed, tu es mal couché, tu vas attraper le torticolis.

disaient tous Ma France ou la France éternelle Moi je t'aimais et je ne disais rien, Je n'avais pas seize ans, France, tu t'en souviens Ils disaient tous ma France ou la France éternelle Je n'ai rien dit, moi, j'étais trop enfant J'ai pris le fusil de la sentinelle Et puis c'est fini maintenant France, pardonne-moi si je te le rappelle Je me sens si seul par moment. Louis Aragon La Rose et le Réséda Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Tous deux adoraient la belle

Dossier art : La peinture romantique Travail des élèves - Le promeneur au-dessus de la mer de Nuages, de G. Friedrich Le cauchemar, de Fussli La mort d’Ophélie, de Delacroix Le colosse ou la panique, de F. Goya La liberté guidant le peuple, de Delacroix La mort de Sardanapale, de Delacroix Lecture de l’image 1 Boutin-Lucien Alexis Jenoudet Pierre-Maximilien DOSSIER ART : LE ROMANTISME 2NDE4 LE PROMENEUR AU-DESSUS DE LA MER DE NUAGES Caspar David Friedrich 2 Introduction

redoutables. Il sourit: - Oh! nô, le plus mauvais c'été l'homme. Il se mit à rire tout à fait, d'un bon rire de gros Anglais content: - J'avé beaucoup chassé l'homme aussi. Puis il parla d'armes, et il m'offrit d'entrer chez lui pour me montrer des fusils de divers systèmes. Son salon était tendu de noir, de soie noire brodée d'or. De grandes fleurs jaunes couraient sur l'étoffe sombre, brillaient comme du feu. Il annonça: - C'été une drap japonaise. Mais, au milieu du plus large panneau, une chose