Le Cauchemar Fusil

et pensait que la guerre l'avait transformé lui et tous ceux qui y avait participé en démon , Otto Dix était contre le nazisme. Il souffrait de traumatisme mental due a la guerre et pour faire sortir ses souffrances de lui , il peignait des ses cauchemars , il se auto psychanalysé . Un jour Otto Dix a dit : « L'art peut être exorcisme » Description : Cette œuvre est très grande , c'est un triptyque .(c'est un tableau en 3 parties : une grosse partie centrale , 2 tableaux latérales et quelques

Aragon considère les Allemands et les collaborateurs comme déjà perdus et, tels de sinistres statues de cire, bons pour le Musée Grévin. Dans la dernière partie, abandonnant les «fantômes», il revient à ce «pays dévasté par la peste / qui semble un cauchemar attardé de Goya…») et où arrivent les nouvelles des camps de la mort : «Auschwitz Auschwitz ô syllabes sanglantes.» Il évoque les femmes patriotes déportées à Auschwitz : Maïe (Politzer), Danièle (Casanova), qui y moururent, Marie-Claude (Vaillant-Couturier)

vivants et part reposer en paix. Aragon aura inspiré toute une génération d'artistes, et ses œuvres, en inspire encore. Quelque uns de ces poèmes: J’écris dans un pays dévasté par la peste J’écris dans un pays dévasté par la peste
 Qui semble un cauchemar attardé de Goya
 Où les chiens n’ont d’espoir que la manne céleste
 Et des squelettes blancs cultivent le soya J’écris dans ce pays où l’on parque les hommes Dans l’ordure et la soif le silence et la faim
 Où la mère se voit arracher son fils comme


clairement le SS Wagner : «C'était un bel homme, grand et blond, un pur aryen […] Sa soif de tuer n'avait pas de limite. J'ai assisté à des scènes terribles que j'en ai des cauchemars jusqu'à aujourd'hui. Il arrachait des bébés de leur mère et les écartelait de ses mains nues. Je l'ai vu battre deux hommes à mort avec son fusil, parce qu'ils n'avaient pas exécuté ses ordres convenablement, car en fait ils ne comprenaient pas l'allemand». Dans cet extrait, nous voyons apparaître un vocabulaire fort

ces massacrés, ces torturés, ces piéti­nés, ces offensés sont notre affaire à nous. Qui en parlerait si nous n'en parlions pas ? Qui même y penserait ? Dans l'universelle amnistie morale depuis longtemps accordée aux assassins, les déportés, les fusillés, les massacrés n'ont plus que nous pour penser à eux. Si nous cessions d'y penser, nous achèverions de les exterminer, et ils seraient anéantis définitive­ment. Les morts dépendent entièrement de notre fidélité… Tel est le cas du passé en général

armée humaine sans visage et sans identité. La composition de ce panneau est assez tranquille : les lignes sont à dominante horizontale avec les bandes de brouillard; l'énergie et le dynamisme des troupes en marche se fait avec les corps et les fusils légèrement inclinés, mais bien ordonné. Sur le panneau central, on observe que l’arrière plan est occupé par la représentation de ruines, aucune trace de présence humaine ne subsiste. La composition de l'arrière-plan est horizontale, cela symbolise

et radical pour s’opposer aux dirigeants. Qui a été nommé pour gouverner la Roumanie après la Révolution de 1989 ? 11.3 Les auteurs se permettent parfois d’utiliser des rêves ou des cauchemars pour décrire des scènes qui, autrement, ne pourraient faire partie d’un roman. Que représente la masse difforme dans le cauchemar d’Anca ? 11.4 Le passage à la frontière est un autre moment dramatique. Relève trois extraits qui servent à amplifier le suspense. 11.5 Il neigeait des tristesses en noir et gris ;

Situation de souffrance de la France. En effet Joseph Kessel écrit « La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse ». Vers 11 : La France qui est personnifiée est en cauchemar pendant que les autres pays rêvent. 2ème axe : L’armée de l’ombre : Vers 6/7 : on a le champ lexical des armes. En effet on relève dans ce texte « fusils, mitraille, grenades, couteau ». Vers 5 : les verbes sont à l’impératif, on invite le peuple à entrer en résistance, à rejoindre ceux qui sont déjà prêts. Vers 12 : On

soldats en armes portant un sac a dos. Ils tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité. Les lignes sont a dominantes horizontales (bandes de brouillard). Cette armée de fusils qui avance rappelle également “la bataille de San Romano” de Paolo Uccello de 1456. Sur le panneau central, on observe que l’arrière plan est occupe par des ruines, il n’y a aucune trace de presence humaine: restes de maison ecroules,paysage désertique

mains un fusil. Son visage porte des écritures laissant libre un bandeau au niveau des yeux. A l'arrière plan, très pâle, une simple ligne située à un peu plus du tiers inférieur de l'image donne un semblant de profondeur. Le format utilisé est un format portrait classique. Figure 1 Les contrastes sont très marqués : le voile noir se détache très nettement sur le fond gris-blanc et délimite de façon également très marquée l'ovale du visage, barré de noir par le canon du fusil. La lumière