Le Cauchemar Fusil

avec son père, militaire de carrière. Il a été élevé dans un environnement ou tout avait un rapport avec la guerre. Sa grand-mère lui racontait les visions d'horreur et les atrocités que son grand-père avait connues durent la guerre, faisait des cauchemars étant petit.Cela explique ce qu'il appelle ≪ son obsession effarée ≫ pour la guerre de 1914-1918. Tardi fait des études à l’école des Beaux Arts de Lyon puis aux Arts décoratifs à Paris. A vingt-six ans, il débute dans la bande dessinée. En

contrer l’initiative venue de la droite (PS) La tradition Suisse qu’un soldat doive garder son fusil a la maison a été remis en cause Ca fait depuis 300 ans que la relation entre les soldats et leur fusil militaire existe. Au début du XVIIIe siècle les armées françaises de Louis XIV menacent la Suisse et les Bernois pour répliquer arment leur peuple. Pour se marier il fallait également détenir un fusil. « La Constitution, en 1874, rend l’équipement du soldat gratuit. Après la Première Guerre mondiale

n’ont rien. Les conditions des tranchées sont abominables : la pluie, la boue, le rat, les poux, le froid, les cafards font partis de leur quotidien. P22 : La peur et l’angoisse envahissent les tranchées. L’un des personnages : BINET, fait un cauchemar. Il rêve de sa propre mort, de sa tombe. Le décor est très apeurant. On a l’impression d’étouffer. Un « fantôme » apparait derrière binet. Le curé, sans doute mort lui aussi, fait une « messe » en l’honneur de sa mort. P85 : Les allemands et

pris d'accès de hurlements en pleine ville, lorsqu'il est en permission. C'est à ce moment-là qu'il est réformé, et qu'il quitte l'armée. L'auteur fait de Bardamu un personnage qui pourrait devenir un héros, puisqu'il part se battre « la fleur au fusil », mais qui déchante vite: le soir même de son départ, alors qu'il n'y a plus aucun patriote pour l’acclamer, et que la troupe marche toujours, sous la pluie, dans le froid et l'obscurité, Ferdinand a le pressentiment que lui et ses compagnons sont

concernés. L'origine sociale, l'opinion politique ne compte plus. Ils veulent défendre leur patrie face aux adversaires. On assiste alors à un réflexe patriotique du peuple. Certains portent en eux un « enthousiasme patriotique ». Ils portent la fleur au fusil. Ils sont convaincus que cette guerre sera très courte et victorieuse. Elle devait être la « der des der ». Les « poilus » sont animés par un sentiment patriotique qui les aveugle face aux danger de la guerre. En 1914, suite à l'échec de la guerre

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les révoltés espagnols comme des héros. 1. Tres de Mayo est une huile sur toile de 266 x 345 cm qui fut peinte en 1814 par Francisco de Goya. Sur cette toile, on observe sur la droite les Français qui sont en train de viser les Espagnols avec des fusils. À gauche, des Madrilènes morts sont au premier plan. En blanc, un Madrilène lève les mains. Ce tableau dénonce la férocité de la répression française du soulèvement des Madrilènes du 2 mai 1808 contre l'occupation de Madrid par l'armée napoléonienne

le plus important de la photo. De la deuxième pomme grenade, représentée en plus gros jaillit une rascasse, d’où sort un tigre qui lui-même fait sortir un autre tigre. C’est un crescendo de la menace. Ce second tigre pointe un fusil sur Gala, le pic de ce fusil est semblable au dard d’une abeille. C’est aussi un clin d’œil à la guerre civile espagnole, et à l’Europe tout autant en guerre. La couleur des deux félins rappelle celle de l’abeille. (jaune/noir) Les crocs et les griffes rappellent

que Belge, accusé par les Prussiens d'avoir tiré des coups de fusils sur eux (il avait combattu à côté des soldats du détachement français et avait été fait prisonnieR), considéré par ceux-ci comme «franc-tireur», n'appartenant donc pas à l'armée régulière, est condamné à être fusillé. «C'était une règle posée par l'état-major allemand: tout Français n'appartenant pas à l'armée régulière et pris les armes à la main, devait être fusillé. Les compagnies franches elles-mêmes n'étaient pas reconnues

siècle. Il s’exprime dans la littérature, la peinture, la sculpture, la musique et la politique. Le romantisme est caractérisé par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer ses états d'âme : les sentiments, le rêve, le cauchemar, le mystère, le fantastique, la mélancolie et la passion. II. Contexte historique. En 1808, les troupes françaises entrent en Espagne pour renforcer le blocus continental contre l'Angleterre afin, de l’empêcher de trouver des alliés contre