La Solidarité Des époux Envers Les Tiers

réciproques entre les époux, ou qu’il s’agisse des relations des époux avec les tiers. En effet, l’union conjugale ne crée pas seulement des effets personnels (devoir de fidélité, cohabitation), elle produit aussi des effets patrimoniaux. La communauté de vie qui découle du mariage implique des charges économiques (charges du mariage), dont il convient d’organiser la répartition entre les époux. De la même manière, il faut se préoccuper du sort des biens dont chacun des époux avait la propriété avant

l’enfance, AJ F, N°3, 2007 Document 13 : Tableau des règles de compétence juridictionnelle et législative applicables en matière de contentieux familial international, AJ Famille N° 7-8, 2008, p.290 Document 14 : L’autorité parentale et les droits des tiers, Pierre Murat, JCP Famille Avril 2009, p.1 Document 15 : 4 ans après …Réforme à l’occasion de la ratification de l’ordonnance sur la filiation, JCP Famille Février 2009 Document 16 : Le droit des mineurs en première ligne, actualité, JCP Famille 2009

pacs: article 515 du code civil ⇨ Généralités ( Obligation solidaire aux dettes, et même pour les achats à tempéraments. ( Les partenaires ont une présomption de pouvoir à l’égard des tiers, donc le tiers n’a pas besoin de vérifier si le bien lui appartient vraiment. Donc, si le tiers est de bonne foi, mais si le bien n’appartient pas au partenaire, la vente est valable. ( Pas de protection du logement de famille. ( Pas d’intervention du juge en cas de crise. ( Il n’existe pas

d’obligation conjointe. Cependant, même si ce principe de l’obligation conjointe trouve son application en matière de dettes contractées par les époux ou de dettes pesant sur des héritiers, il supporte des exceptions qui ont une application si fréquente que la règle se trouve presque vidée de l’essentiel. En pratique, la règle est dominée par la solidarité présente aux articles 1197 et suivants du Code civil. Celle-ci peut être active ou passive. Lorsqu’elle est active, c’est à dire entre les mains

existe d’autres critères qui permettent de distinguer des catégories de droit (Section II). Section I : L’objet de l’obligation Le mot objet peut avoir en droit des significations très différentes. Il peut désigné ce à quoi le débiteur est tenu envers le créancier. Partant de là, la notion d’objet peut être : ← la nature de la prestation (§1) ← la détermination de la prestation (§2) ← le contenu de l’obligation (§3) §1. La nature de la prestation Selon l’article 1101 du

Chapitre 1) La formation du mariage: Section 1 - les conditions de formation du mariage: Art 144 et suivant du C.civ §1) Les conditions de fond: A) Les conditions d'ordre physiologique (physique) : 1- Le sexe des époux: le code civil ne dit pas expressément que les époux doivent être de sexe différent. Il dit implicitement, elle est suggérée dans l'Art 144 notamment qui précise l'âge de l'H et de la femme. Art 75 ; 108 précisent également de marie et femme. Le mariage a aux yeux du code civil

égalité entre les enfants peu importe que les parents soient mariés ou non, depuis 2001 égalité entre les enfants dit adultérins = CEDH a supprimé cette inégalité. Forte influence de la volonté individuelle = droit au divorce = la liberté des époux de travailler, de gérer leur B, de choisir un régime matrimonial, le nom de ses enfants : part plus importante de la volonté auj qu’hier. Aujourd’hui on est même libre de faire des enfants ou pas, ou même faire des enfants alors qu’on est médicalement

psychologiques tenant compte du consentement des époux qui doit être libre, éclairé et exempte de toute vice. Toute fois, pour les mineurs, la lois consacre une dérogation qui pourra être accordée par le Procureur de la République pour >. Il s’agit en général de l’état de la grossesse de la mineure, mais le choix est laissez au Procureur . Procédure : Le mariage est célébré par un officier d’état civil de la commune de résidence de l’un des deux époux. Les époux doivent faire publier les bans, qui consistent

L’instauration d’une égalité à tous les niveaux :  Egalité des époux : Avant 65, la femme mariée était une personne incapable. Elle était placée sous la puissance de son mari. Ce système contestable de l’autorité maritale mis en place par le Code Civil de 1804 accordait notamment au mari les pleins pouvoirs sur les revenus de sa femme. La loi du 13 juillet 1965 a pris le contre-pied de cette situation. Elle pose le principe selon lequel chaque époux garde la libre disposition de ses biens propres. Mais un

• Caractère non potestatif de la condition Classification du code civil - Condition casuelle (hasard) - Condition potestative (volonté d’une des parties) - Condition mixte (volonté d’une des parties et de la volonté d’un tiers) Hésitation en condition potestative et mixte Solution : distinction à faire -> condition purement potestative déclarée nulle car porte sur la manifestation de la volonté -> condition simplement potestative contient de la volonté + accomplissement