La Réécriture

jour, ses sept voyages. C’est un marchand qui par nécessité économique doit partir pour s’enrichir. Il retourne chez lui à chaque voyage et le désir d’aventure le pousse à repartir. Plusieurs éditions jeunesse en proposent des adaptations, des réécritures ou des abrégés parfois éloignés du texte original, notamment la version de Bernard Noël et Alain Le Foll dans laquelle le découpage initial en sept voyages a disparu. Le texte source comprend un incipit, puis les sept voyages qui, dans la traduction

situation et que l’un n’est pas si mal par rapport à l’autre Lecture Dans un 1er temps nous regarderons la réécriture que La Fontaine a faite par rapport au texte de Esope puis nous étudieront les personnages et finiront sur les différents aspects de cette morale bien compliquer Entre en matiere Pour écrire son texte la fontaine s’inspire ou se differencie d’autre texte pour se poeme I Une réécriture 1) Une morale voile * morale moins explicite que les autre texte de la fontaine *

soleil commence à paraître Tout doucement. C’est une belle perspective, De grand matin, Que des gens qui font la lessive Dans le lointain. Pour se distraire, si l’on bâille, On aperçoit D’abord une longue muraille, Puis un long toit. Le roman réécritures L’autobiographie 10 15 20 © Hatier 2007 Convaincre… On dit : « Triste comme la porte D’une prison. » Et je crois, le diable m’emporte ! Qu’on a raison. Le théâtre 1. Magny est un de ses amis, poète comme lui. La poésie

également en détruisant le fruit de son amour pour lui, ò savoir ses enfants. C’est une double vengeance de la part de Médée , qui rend le personnage davantage pervers , et intéressant. Réécritures du Mythe de médée : Écho de la réception théâtrale au XVIIIe siècle, les parodies dramatiques accompagnent les réécritures successives du mythe de Médée. Ainsi, inscrit pendant près d’un siècle au répertoire de l’Académie Royale de Musique. l’opéra de Lully et Quinault (Thésée, 1675) fait l’objet de deux

n’y trouve aucune satisfaction. En revanche, dans la réécriture de Thomas Corneille, sa dernière réplique « Malheur à qui le voit, et n’en profite pas ! » montre que la mort de son maître ne l’a pas affecté, et qu’au contraire, il valait mieux qu’il jouisse de cette situation. En conclusion, nous pouvons affirmer que la pièce « Dom Juan » de Molière est constituée d’un dénouement ouvert, et donc susceptible d’interprétations et de réécritures diverses. La plupart des éléments de ce dénouement

s’accorder sur ce sujet. Pour la semaine suivante : -Interpréter les réponses du sondage. Le 11 janvier : Groupe : -Mise en place d’un début de plan. -Réécriture sur la présentation des déchets et leur recyclage. Pour la semaine suivante : -Finir la présentation des déchets et leur recyclage. Le 18 janvier : Groupe : -Réécriture de l’aspect historique ainsi que légère documentation sur ce sujet car il y avait un léger manque de précision sur certain point. -Il y a aussi un début de

réponse en vous appuyant sur l’ensemble du texte. (1 point) 12.a- Quelles expressions préparent la fin du texte ? (1 point) b- Définissez la tonalité du passage. (1 point) REECRITURE (4 points) Réécrivez le texte au passé à partir de « j’écoute » (l.22) jusqu’à la fin. Faites attention aux temps que vous employez et n’utilisez pas le passé composé. REDACTION (15 points) Comme Rousseau se prenant pour Christophe

spectateurs à l'exclusion des autres personnages. Le théâtre et la littérature semblent en effet être deux genres assez contrastés. Les réécritures de la pièce de théâtre au roman nous montrent ces antagonismes et la façon de narrer est différente voire absente au théâtre. En effet, la réécriture est un exemple typique comme celui des nombreuses réécritures du texte Antigone de Sophocle. La transposition formelle qu'effectue Henri Bauchau dans son Antigone lors du chapitre "Le tribunal" est à

d’individus. Ce genre existait déjà dans l’Antiquité, il n’est donc point surprenant d’en retrouver un certain nombre de réécriture, notamment chez La Fontaine. Par ailleurs, Le Chêne est le Roseau n’est autre qu’une réécriture du Roseau et de l’Olivier d’Esope voire même de La Fable du Chêne et du Roseau d’Aphtonius. Problématique : - Comment La Fontaine, par la réécriture d’un poème antique et une morale surprenante, parvient-il à critiquer la société de son époque ? Plan : Vers 1 à 17

Ce préambule peut être découpé en 4 mouvements : le premier de la ligne 1 à 2 s’ouvre sur un intitulé qui reprend les références de la DDHC, quant au deuxième mouvement, qui s’inscrit de la ligne 5 à 7, il montre le caractère indispensable de la réécriture car la DDHC est inaboutie. Le troisième mouvement au ton polémique de la ligne 7 à 16 soutient l’équilibre des droits et des devoirs pour les hommes et les femmes. Le dernier mouvement ligne17 à 20 est une revendication des droits concrets pour