La Réécriture

mythologique (v.24) «tous les détours» périphrase labyrinthe (v.30.35) «labyrinthe» anaphore répétition du lieu du mythe (v.36) «retrouvée, ou perdue» antithèse= principes d’un labyrinthe A) réécriture du mythe -concordance des temps (v.24) «aurait péri» (v.27) «aurais devancée» conditionnel passé= irréel et réécriture du passé, recomposition du mythe, bascule vers la folie de PH (v.26) «eût armé» (v.28) « eût inspiré» (v.31) «eût coûtés» (v.32) «eût point» subjonctif plus-que-parfait irréel du passé

Orphée : « Et tout se tut. Mais ce silence était lui-même un renouveau : signes, métamorphose. » Le poème tout entier est donc sémantiquement une réécriture du mythe d’Orphée, mais avec une connotation religieuse apportée par les termes « Chantre » et « trompettes marines ». Or, Apollinaire écrit dans Zone que le pape est l’homme le plus moderne d’Europe. Cette réécriture du mythe d’Orphée est donc une collision volontaire entre le classique et le moderne. On retrouve cette dualité des époques dans la

estime pour sa part que "cet objet est un peu délicat à traiter, car on retombe toujours sur les mêmes auteurs des Lumières, notamment Voltaire, Rousseau, Diderot et Montesquieu." Objet d’étude particulièrement adapté aux littéraires : les réécritures. "Ce thème invite à jouer avec les références, à faire un travail d’invention ; on est vraiment dans la littérature", indique Alice Fauchon. Le théâtre, qui est sorti en 2009, ne doit pas pour autant être négligé. Quelques sujets sont des références

Introduction : Problématique : Comment l'amour et la religion sont-ils liés dans ce poème baroque ? éléments à faire figurer dans l'intro : _ Claude Hopil, "Cantique des Montagnes", 1627, Baroque. _ Une femme cherche son bien-aimé, réécriture du texte biblique "Le Cantique des Cantiques". Accroche : _ Spécificités du baroque. _ Suit l’Humanisme --> lecture de la bible. _guerres de religion et mise en place du protestantisme au début du XVIIe siècle. Proposition d'introduction :

> Les réécritures : des Fables de La Fontaine aux fables modernes Objet d’étude : Les réécritures. Séquence 8-FR10 387 © Cned – Académie en ligne Introduction à l’objet d’étude ............................................................................................................................ 391 Chapitre 1 > L’apport de La Fontaine à la fable A B C ................................................. 395 Place de La Fontaine Succès et universalité de l’apologue

repentant ? Non il est impénitent , toujours dans sa quête . ENJEUX DE CETTE REECRITURE 1- On n’écrit pas dans le vide culturel (fort syncrétisme ici) 2- Pourquoi Dom Juan ? Ici l’impénitent nous rappelle le dandysme de Barbey mais aussi le Baudelaire de « La Mort » : « Plonger au fond du gouffre Enfer ou Ciel, qu’importe ? / Au fond de l’Inconnu pour trouver du nouveau ! » 3- Nouveautés dans la chaîne des réécritures : - l’Enfer - les autres semblent plus condamnés que lui - cohérence avec

texte littéraire signé et historiquement daté mais ayant fait l objet de multiples réécritures, qui au final font oublier le texte d’origine. Ex : Don Juan, robinson Crusoé. Mythe : ensemble des variantes sur une même histoire qui traverse les siècles par les questions universelles et intemporelles qu’elles soulèvent 3) définition de Jean Paul Engelibert 2 notions théoriques associées aux mythes et à la réécriture : -dialogisme : inventé dans les 60s par le théoricien Bakhtine c’est l’idée que

Sujet de réflexion : Le retour aux mythes, réécriture des tragédies dans l'histoire du théâtre et réflexion sur le genre tragique Introduction Le retour des mythes constitue un fait majeur dans l’histoire du théâtre français du XXème siècle. On assiste en effet, entre les deux guerres mondiales et au début de la seconde, à la réécriture des tragédies héritées de l’âge d’or antique. Avec ce retour au mythe s’engage une réflexion sur le genre tragique en plein renouvellement. Jean Anouilh

Plan détaillé de la dissertation n°2 La réécriture éclipse-t-elle ou glorifie-t-elle son modèle? Lorsque la réécriture dépasse l'écrit initial A) La parodie / pastiche → Le pastiche consiste à contrefaire la manière, le style d’un écrivain pour en accentuer les défauts ou les qualités en les déplaçant dans un autre code. → Maupassant & Vian → « para » : à côté & « ôdé » : le chant →« contre-chant » par lequel on transforme, dans une intention plaisante voire

prophétie du roseau qui se réalise « tout comme la première fois » ; puis, dans une seconde partie, la nouvelle morale proposée par Jean Anouilh qui réinterprète le récit ; enfin, dans un dernier temps, nous nous interrogerons sur le processus de réécriture originale dans ce texte Jean Anouilh a plusieurs fois réécrit les fables de Jean de la Fontaine. Dans « Le Chêne et le Roseau » il parodie la célèbre fable du même nom écrite près de trois siècles plus tôt par son prédécesseur. La forme de la