La Réécriture

Brevet blanc: Français MAI 2013 1ère Partie: De 9H00 à 10H30 9H00: Les questions et la réécriture: Consignes: Durée de l’épreuve: 1H00 Distribuer le texte et les questions. Les élèves n'ont pas droit au dictionnaire 10H00: Dictée Consignes: Durée de l’épreuve : 30 minutes. Préciser aux élèves d’écrire une ligne sur deux. Lire le texte une première fois en entier. Écrire au tableau les noms propres «Thèbes» et «Créon» Dicter le texte avec la ponctuation. Écrire le titre et l'auteur au tableau:

| | | |Objet d'étude : Les réécritures du XVIIe siècle jusqu'à nos jours |OI : Molière, Dom Juan, 1665 | | |

(impersonnalité, absence du « je »), réécriture à la mode parnassienne du topos poétique de l’amant soumis à sa belle cruelle, qui semble raconter autre chose qu’une domination sadique : comme une difficulté –mimée par l’écriture en acte- du poème à s’écrire, car l’inspiration s’est tarie. Cf. Mièvrerie des pièces qui encadrent ce texte ?Problématique  : En quoi la réécriture du topos de l’amant soumis à la cruauté de sa belle - réécriture dysphorique en forme d’hypotypose parnassienne

utilise t-il la réécriture ? Quels sont les registres présent dans la fable ? Pour y répondre, nous rédigerons cette fiche en plusieurs parties, à savoir, en premier lieu la parodie, et deuxièmement, la critique. 1) Les deux coqs : une parodie A) Une réécriture de la guerre de Troie. En rapprochant les deux textes, on peut clairement comprendre que Les deux coqs est une réécriture de la guerre de Troie, raconté par Homère, dans l'Iliade. En effet, au XVII siècle la réécriture est courante, depuis

peut retrouver ce dernier titre dans plus de huit réécritures différentes, sous des genres différents. Nous retrouvons ainsi cigale et fourmi dans le texte d’Esope, dans celui évidement de Jean de La Fontaine, dans une réécriture en patois en 1869, en 1975, puis avec un accent d’Afrique du nord en 1948, dans une réécriture de Jean Anouilh paru en 1962, puis par Pierre Perret, par Raymond Queneau en 1973 et enfin par Pierre Ferran. Toutes ces réécritures montrent bien que cette fable a un caractère universel

seront construites comme suit : 1. Lecture de l’extrait d’auteur en fonction de la forme choisie 2. Texte produit individuellement avec une consigne neutre : « Réécrire le texte du « Petit chaperon rouge » dans cette forme 3. Lecture à la classe 4. Réécriture personnelle en fonction des remarques (pas systématiquement). Un préalable : Avant de démarrer l’écriture, s’assurer de l’état de connaissance de la forme textuelle que l’on veut faire produire aux élèves. Déroulement : 1ERE SEQUENCE (1 ou 2 séances

Comment La Fontaine et Voltaire s'inspirent-ils de Pétrone tout en le renouvelant et quels vers pourraient illustrer l'illustration de Gustave Doré ? | Ce corpus réunit trois réécritures etune illustration, portant sur un thème commun ; « L'anecdote de la jeune veuve ». Mais comment La Fontaine et Voltaire s'inspirent-ils de Pétrone tout en le renouvelant et quels vers pourraientillustrer parfaitement la gravure de Gustave Doré ? Tout d'abord, le titre de Pétrone La Matrone d'Ephèse a un double

littérature du 19e siècleIntroduction contextuelleLocks, roman. penser le phénomène sur le titre dune oeuvre critique Shlanger penser la bouche pleine, réécriture de séquence narrative. motif et thème en analyse littéraire. Le Motif renvoyer un objet concrètes. Le thème est abstrait. réécriture est toujours réfléchir et modifier. Une de fonction est de réécriture. Northrop Frye, the great code '' conditionnement mythologique ''. c'est la littérature du 19e siècle, une chimère, c'est une créature antique,

Gustave Doré. Tous trois s'inspirent du Sattiricon de Pétrone. Bien que différentes époques séparent les deux auteurs et le dessinateur, il semblerait qu'ils aient été fasciné par l'oeuvre de Pétrone. Notre but sera de démontré qu'en utilisant la réécriture, ils renouvèlent à la fois le texte de Pétrone. La Fontaine, Voltaire et Gustave Doré s'inspirent tous trois du texte de Pétrone puisque le thème est le même dans ces 2 textes ainsi que l'illustration. En effet, nous voyons très clairement dans

(Pb : En quoi ce poème est il une réécriture moderne du mythe d’Orphée?) LE CORTEGE D’ORPHEE Le texte soumis à notre étude s’intitule « Le bestiaire ou cortège d’Orphée » en 1911 de Guillaume Apollinaire. Dans ce poème, Apollinaire nous livre une conception original du travail poétique. Nous, nous demanderons donc en quoi ce poème est il une réécriture moderne du mythe d’Orphée. Nous verrons que ce poème est épris de tradition ce qui n’empêche pas le poète de revendiquer une certaine modernité