La Réforme De Maupeou

restreint : pauvres, non instruits, jeunes et femmes sont exclus. Le monarque (Louis XVIII revient au XIX siècle (1814). En 1848, la monarchie est chassée. ( Pourquoi seules les révolutions violentes ont amenés le plus de modifications, ruptures, réformes. La réforme est difficile. Le chemin est long jusqu'à la synthèse républicaine (1870). Au cours du XVIII siècle, les révolutions sont nombreuses et violentes. ⇨ La France est le pays en Europe qui a changé le plus de constitution, de régime politique

aussi : Histoire économique Histoire militaire Liste d'articles en rapport Chronologie de la France Sommaire [masquer] 1 La France dans les années 1780 1.1 La société française 1.2 La contestation de la monarchie absolue 1.3 L'échec des réformes politiques 2 L'année 1789 marque la fin de la monarchie absolue et de l’Ancien Régime 2.1 La révolution juridique (mai-début juillet 1789) 2.1.1 La campagne électorale pour l'élection des députés aux États-généraux 2.1.2 Les députés du tiers

proche du roi. Cette administration est importante auprès du pouvoir central mais aussi dans les provinces. Il y a une soumission réelle de l’administration au roi dans certains cas mais dans d’autres elle est plus indépendante. Les tentatives de réforme sont relativement importantes durant cette période. Paragraphe 1 : une haute administration liée au roi Il y a un lien entre le roi et la haute administration car c’est ce que souhaite le roi, il tient à avoir une autorité sur l’administration

prince ne va pas réussir à exercer son pouvoir sur tout le territoire, il va être obliger de déléguer le pouvoir de ban à des comtes et des ducs qui vont eux même s’émanciper de la tutelle princière et agir de façon indépendante. Section 3 => les réformes carolingiennes a)l’administration On conserve le palais de la même manière que les mérovingiens, les rois carolingiens seront cependant itinérants. L’administration carolingienne est décomposée entre une administration centrale et une administration

mais début verification le 25/02/1599 → txt enregistré est DIFFERENT de celui du 30/04/1598 : 17/93 art sont changés : → ville d'(arche)evêché qui sont lieu de bailliage ou de sénéchaussée ne peuvent pas être choisies comme lieux de culte réformé (changé à la demande du clergé) → chambre de l'édit = pas 6 conseillers prot mais 1 (les 5 sont dans les chambres des enquêtes) / 17 membres (PARIS) └> assemblée po de CHATELLERAUT : est =( mais HIV dit rien -edit modifié soumis est soumis

de Pompadour. 4 juin Le Conseil privé du roi casse la condamnation de Jean Calas. 1765 9 mars Jean Calas est innocenté par le Conseil d'État. 19 mars Le dictionnaire philosophique de Voltaire est condamné à être lacéré et brûlé. 25 mars Réforme militaire de Gribeauval. 22 mai Démission du parlement de Bretagne. 1 octobre Arrestation du chevalier de La Barre soupçonné de blasphème. 11 novembre Arrestation de La Chalotais. 20 décembre Mort du dauphin. 1766 23 février Mort de Stanislas

à certaines règles. Parfois le roi forçait les décisions, ceci ayant comme effet de rendre les institutions méfiantes à son égard, et de ne pas l'écouter. Certains auteurs voulaient un contrôle de l'activité gouvernementale, mais savaient que les réformes étaient très difficiles à faire passer. Les Parlement auraient, à travers leur droit de refuser d'enregistrer les édits, un rôle de juge de constitutionnalité de la loi. Ils invoquaient souvent dans leur refus la Constitution du Royaume, et pas seulement

1749 à 1755, la paix est revenue en France ; la dernière guerre, celle de la succession d’Autriche a mis en lumière la crise financière du royaume qui fragilise le pouvoir. Pour rétablir une situation plus stable, le roi et ses ministres tentent des réformes mais ils ont besoin de l’appui du clergé mais également du Parlement. Ces deux puissances sont en opposition avec la monarchie menant une vraie guerre d’usure pour défendre leurs intérêts et leurs acquis. Le pouvoir royal est affaibli intérieurement

sachant que ces privilèges varient d'une province à l'autre) Les privilèges sont en principe des garanties de liberté contre les abus du pouvoir mais dans la pratique, ils gênent l'établissement d'une politique générale, entravent les volontés de réforme du gouvernement, (notamment sous Louis XV), ralentissent les échanges (il y a des péages d'une province à l'autre, voire d'une ville à l'autre). Ils figent la société. Au xviiie siècle, l'essor de nouvelles catégories sociales dans les villes et

façon d'affirmer sa capacité normative. Ce qui doit permettre de faire rentrer les autres sources sous l'autorité normative du roi. Le roi est le gardien du droit, pas son maître. Par ces lois, le roi va réformer ces normes existantes plutôt que d'en créer à partir de rien. Cette capacité de reformer est toujours contrebalancée par le fait que le roi ne peut abuser de son pouvoir. On utilise quod principi... mais avec certaines limites, on (légistes) va alors se demander si le roi est lié au droit