La Figure Du Monstre

arborant chacun un masque et leur habit de circonstance (tenue blanche, chapeau melon et canne). Masque : ils se cachent derrière (pour ne pas être reconnus, pour leur crime) mais cela apporte surtout une esthétique du monstrueux, du grotesque. Figures de clown / paradoxe ; le clown ici ne fait pas rire mais tout l’inverse. « Bouffon monstrueux », aspect animal, difformités volontaires. Théâtralité de la scène : de par le déguisement, les acteurs, les cadrages caméras. La caméra tourne et alterne

dans son oeuvre pour lui la femme incarne le mal et il l’exprime avec talent et donne du caractère a ses poèmes on le perçoit par “La femme au corps divin, promettant le bonheur, Par le haut se termine en monstre bicéphale !”extrait du poème le masque, il représente ainsi la femme tel un monstre. Contrairement à Charles Baudelaire, Léopold Sédar Senghor lui admire et magnifie la femme, il fait ses éloges en particulier la femme noire par “femme nue, femme noir, femme africaine…’’ Senghor le précurseur

déjà rencontrée dans Tombéza, l'un des premiers romans de Rachid Mimouni, la métaphore du monstre. Cette monstruosité est présente dans deux personnages différents qui incarnent, en quelque sorte, des degrés dans la malformation physique et morale, dans l’ écart par rapport à une norme humaine. Un premier personnage personnifie la monstruosité physique à l’ pur, état une de ces erreurs de la nature, figure du grotesque, dont l’ incongruité provoque des réactions diverses dans l’ entourage. Kader

apparition… prenait l’apparence d’une chambre de chauffe géante où l’on voyait passer les ombres noires des chauffeurs, sur le feu rouge des chaudières. » Tout ici vit de manière fantastique et la modernité liée au mythe de la machine réactualise celui du monstre prêt à engloutir la concurrence. Pour accentuer l’effet, Zola resserre dans le temps l’essor du grand magasin qui ne devient un fait commercial dominant qu’après 1880, à l’attention de la petite bourgeoisie. Il retient surtout quelques moments forts

montrerait cependant que la toile achevée serait reliée dès ses premières esquisses aux travaux précédents de Picasso sur la Minautoromachie (1930-1937)[1] : le taureau présent sur le tableau n'étant plus que l'avatar du Minotaure et son regard celui du monstre mythique qui a joui de son forfait, le viol d'une jument qui représente symboliquement d'après Picasso lui-même, le peuple espagnol. Quand il aura connaissance au cours de la journée du premier mai 1937 des photographies de Guernica en flammes publiées

l’hospitalité) 2) LES FIGURES FEMININES - Les nymphes (Calypso, Ino, Chant V) - Circé la magicienne (X) Noter que ces femmes sont éprises d’Ulysse 3) LES MONSTRES - Les géants/les ogres : Lestrygons, Cyclopes - Les Sirènes (créatures qui charment par la voix mais féroces et cruelles) (XII) - Charybde et Scylla ( le gouffre et le rocher, terreurs des marins) (XII) Noter que le danger majeur que représentent ces monstres est la dévoration  III

transforma donc en cheval ou en oiseau pour la suivre jusque dans un temple consacré à Athéna et s’unir à elle ou la violer. Pour se venger de l’affront que représentait cette intrusion dans son temple, la déesse Athéna changea Méduse et ses deux sœurs en monstres, les gorgones. De rage, Méduse et ses soeurs se mirent à dévaster la contrée. Plus tard, le héros Persée reçut l’ordre de tuer la gorgone Méduse, la seule mortelle des trois. Ses deux enfants, Pégase et Chrysaor, étaient en elle et furent libérés

la vie. Cette idée de monstre inquiétant est déjà présente au vers 7 avec « dévore ». L’horloge est pour Baudelaire un monstre qui nous dévore, nous aspire peu à peu. Cf Cronos dans la mythologie grecque. Les allégories du temps (« Maintenant », « Autrefois », « le Temps ») et celles de la Vertu, du Hasard, et du Repentir, mettent en scène des éléments abstraits qui se liguent tous ensemble contre l’être humain . L’ensemble du poème est donc une prosopopée : figure par laquelle on fait parler

l'an mille. Dans les églises italiennes de la première moitié du 11ème siècle est repris le modèle corinthien, plus ou moins stylisé. D'autres lieux expérimentent les chapiteaux à entrelacs et à feuilles d'acanthe. Mais bientôt, les animaux et les figures anthropomorphiques apparaissent, même s'ils restent rares avant 1050. Les rois et les empereurs ont tenu donc une place importante dans la diffusion de cet art. À l’époque romane (du XI° au XIII°siècle), les chapiteaux d’église, de cloître ou de monastère

visent à accroître l’impression de force et de puissance qui se dégage des chevaliers. Pour aller plus loin 19. Recherchez les différents monstres que vous connaissez et choisissez-en un dont vous présenterez les caractéristiques précises à la classe. Vous pourrez lire un texte ou présenter une image où le monstre en question apparaît. On pourra penser aux monstres suivants : géant, dragon, colosse, cyclope, mastodonte, titan, chimère, hydre, guivre, tarasque… On pourra par exemple choisir des passages