La Culture Limite Nos Pulsions

Texte de Platon Thème : les différentes sortes de désirs Thèse : Platon dit qu’il existe en chaque homme inné une part bestiale, violente sans limite, réprimés par les lois de la société et la raison .Ces désirs déréglés se manifestent dans les rêves (réalité psychique des hommes), il faut éduquer son âme pour apprendre à en devenir maitre et sinon l’homme ne peut pas être capable de les maitriser. Il existerait selon Platon trois espèces de désirs : Les désirs nécessaires Les désirs superflus

sans limite et pourtant toujours à la limite. Loin d'une relation aseptisée, ces enfants nous apprennent ce dont ils souffrent. Quand la psychose s'infiltre et s'empare de l'Institution, chacun de nous se trouve face à la souffrance de l'autre et face à la sienne. Il se révèle différent, presque étranger à ce qu'il était avant. Pour eux comme pour nous définir la vie et ces mouvements impliquent de prendre en compte la dialectique amour / haine ; l'intrication de la pulsion de vie

semblent ne pas nous appartenir. En effet ils existent sans intervention de la conscience. On pourrait considérer cela comme une forme d’ »animalité de l’homme, car ces pulsions, ces désirs, sont inhabituels et primitifs. Or, l’homme est un être se distinguant de l’animal, capable de se représenter une fin, possédant une culture et une histoire. Egalement, le sujet est par définition responsable de ses actes. Dans ses Eléments de Philosophie, Alain réduit l’inconscient à la partie animale et instinctive

monde des singes et le monde de l’humain S’il n’y a pas de césure entre l’animal et l’homme se réfère, se compare au singe. Conception Levy strauss : La culture commence avec l’humain. Elle a une histoire et évolue. Les singes ne font pas évoluer leur culture à la différence de l’homme pour expliquer ce refus de continuum. Le « trib » est la pulsion et non pas l’instinct. Attention à la traduction. Pour aborder l’humain, d’autres théories que les dites sciences demandent à être convoquées pour

La culture n’est elle qu’une seconde nature ? La notion de culture quand elle s’applique à l’homme, renvoie couramment à ce qu’on appelle la « culture générale ». On songe d’abord à des savoirs et savoir-faire désintéressés qui élèvent l’esprit de l’individu: la littérature, la gastronomie ou encore la musique sont des connaissances acquises au cours du temps et par l’intermédiaire de voyage ou de société qui nous étaient au paravent inconnue. La culture est l’opposé de l’approximatif

nous-mêmes, et présupposons à bon droit chez l'autre, est le facteur qui perturbe notre rapport au prochain et oblige la culture à la dépense qui est la sienne. Par suite de cette hostilité primaire des hommes les uns envers les autres, la société de la culture est constamment menacée de désagrégation [...]. Il faut que la culture mette tout en oeuvre pour assigner des limites aux pulsions d'agression des hommes [...]. De là la restriction de la vie sexuelle et de là aussi ce commandement de l'idéal: aimer

comme le chômage, la pauvreté, ou bien le manque de culture, la violence, le rejet, ou bien encore les difficultés scolaires, peuvent générer le comportement agressif chez l'enfant. En tout état de cause un environnement familial instable, conflictuel et violent ainsi que la génétique sont les éléments qui favorisent le comportement agressif de l'enfant. Les théoriciens Selon Freud l'origine de l'agressivité serait liée à la pulsion du Moi, dans sa première topique (inconscient, pré-conscient

s’éviter des déplaisirs * Oblative : pousse l’individu à faire du bien, à donner quelque chose aux autres * Auto-expression : besoin d’exprimer ce qu’il est ou ce qu’il voudrait paraître Toutes ces motivations peuvent être freinées par des pulsions négatives causées par certaines motivations d’achat (sentiment de culpabilité), ou par un sentiment de peur. Envie : forme particulière de consommation pour satisfaire un besoin 1- L’approche homéostatique veut que cet état désagréable d’excitation

de la morale. * Ich : Moi, qui répond au principe de réalité. Toujours pris à l’intersection de deux contradictions, d’une part le rejet venant du sur moi. D’autre part le plaisir procurer par les pulsions. * Es : Pulsions Eros : Thanatos : La libido. (l’agressivité, la compétitivité). Pulsion toujours satisfaite. Ce conflit entre le uberich et le Es quand il est reporté par le sur moi il provoque frustration ! Or ces frustrations pour être comblée sont fantasmées dans le rêve. Lorsque c’est

que nous le sachions, et détermine ce que nous sommes.   2 - les pulsions Les pulsions sont ce qui nous anime depuis notre naissance, le moteur de notre existence. Elles donnent naissance à nos émotions, nos espoirs, nos craintes, nos conflits, nos comportements, nos actes. (3)   Elles sont l’expression concrète et psychologique des intérêts profonds de l’être humain. - Pulsion de vie (eros) : La Libido est l’énergie de la pulsion de vie. Son but, c’est le nouage des liens entre notre psychisme