La Conscience vengeresse

Quel mouvement Otto Dix crée-t-il avec ses amis ? La Nouvelle Objectivité est un mouvement créé par les dadaïstes berlinois Otto Dix, Georg Scholz, George Grosz, et Max Beckmann, notamment. Ces artistes de l'entre-deux guerres ont fortement pris conscience de leur responsabilité politique et de leur « devoir contestataire »Leurs œuvres se caractérisent par un style caricatural agressif et par des modes de composition d’influence dadaïste et expressionniste. A ces deux mouvements ils empruntent la

principalement sur son expérience clinique avec Richard, un petit garçon de 10 ans présentant des troubles psychotiques. Cela lui permet de repérer le clivage entre l’objet maternel idéalisé et la mauvaise image maternelle, qui était devenue une figure vengeresse et hostile car il craignait ses représailles pour avoir ressenti de la haine à son égard. Les angoisses précoces de Richard étaient dues à ses pulsions précoces, au caractère terrifiant de l’image d’une mère intérieure dévorante et à la peur de

Dieu est juste : Il est « l’Etre souverainement bon parce qu’il est souverainement puissant doit être souverainement juste » : 1- il a crée des limites au mal : - la conscience : « nous sommes tentés par les passions et retenus par la conscience »p75 - la mort : « la mort est le remède aux maux que vous vous faites ; la nature a voulu que vous ne souffrissiez pas toujours »p76.

dans le sentiment de l'être qui souffre ; et ce sentiment, l'homme ne l'a pas reçu de la nature, il se l'est donné p76 *C'est dans vos cœurs insatiables, rongés d'envie, d'avarice et d'am bition, qu'au sein de vos fausses prospérités les passions vengeresses punissent vos forfaits. Qu'est-il besoin d'aller chercher l'enfer dans l'autre vie ? il est dès celle-ci dans le cœur des méchants. P80 * Si la bonté morale est conforme à notre nature, l'homme ne saurait être sain d'esprit ni bien constitué qu'autant

Il s’agit là de la peur constante chez les croyants de l’immédiateté de la réaction de Dieu en cas de péché, le tout enrobé dans une peur omniprésente de la fin des temps causée par ce même Dieu. Mais cette crainte absolue d’une quelconque action vengeresse d’une divinité perçue comme toute-puissance, se retrouve également sous des formes dévoyées chez les mouvances sectaires actuelles. En instrumentalisant la peur, l’Eglise conserve sa position de privilégiée dans la société. Avec l’arrivée de la

bourgeois, elle venge socialement les déclassés OU par sa réussite sociale, elle fait mentir le déterminisme social + rappel de ses origines avec « dont elle était le produit ». Idée de croissance avec des hyperboles et l’image d’une divinité vengeresse géante. • Métaphore de son ascension sociale avec l’opération de fermentation qui arrive à contaminer les couches les plus hautes + périphrases qui insistent sur sa puissance à nuire et à détruire  : « force de la nature », « ferment de destruction »

l'affirmation et la négation 'non' x2 et hormis -v 213 : l'auteur souligne que le criminel ne dispose plus d'assurance = plus de protection divine, contrairement aux persécutés qui ont toujours Dieu pour eux. Rappel de l'exil de Caïn -v 214 : 'conscience' : elle va aussi le pourchasser durant toute son existence -v215-216 : sonne comme le châtiment ultime : afin de s'assurer que le criminel soit rongé de ses maux toute sa vie, l'Eternel le marque au front pour éviter les attaques contre Caïn D'Aubigné

d’abord comme délibératif, puisqu’il a pour fonction de déboucher sur une prise de décision. Ainsi au cours de sa tirade, Lyse passe par trois phases différentes alors qu’elle envisage les différentes possibilités qui s’offrent à elle : l’indignation vengeresse que provoque le cynisme de Clindor (v.815 à 836), les circonstances atténuantes que son amour lui accorde (v.837 à 848), et enfin un regain d’orgueil qui la fait revenir à son désir premier de vengeance (v.849 à 852). Cette composition de la scène

la rend d'autant plus dangereuse et cela se voit dans un vocabulaire très agressif : « morte », « frapper », « cruel », « crimes » ou encore « briser » ou « détruire »... Sa fureur semble incontrôlable et on peut se demander si elle a réellement conscience de ses désirs, ses souhaits. Médée apparaît comme une folle, au sens, où elle se laisse complètement absorbée par ses pulsions, sa rage et son désir de tuer. Elle n'a plus de raison seulement de la douleur « Je suis morte. », par cette phrase, elle

est devenu presque fou. Il a fallu envoyer au pilon les 5 000 exemplaires déjà imprimés ! J’ai dû inventer un autre nom, Fricassa Santos… Cela pour dire que les Togolais ont terriblement peur de Eyadéma. Il a agi de façon effroyable sur leur conscience, avec une telle fureur qu’ils ont peur de tout ce qui ressemble à une petite provocation à son égard. Eyadéma règne dans son pays par la terreur. C’est incroyable ! Vos personnages sont des dictateurs sanguinaires qui s’adonnent à des sacrifices