Kant époque éclairée

voyait dans son projet de Musée imaginaire l’opportunité de montrer l’universalité de l’humain par la force d’expression d’œuvres culturellement hétérogènes. 4 Cicéron, Tusculanes,1 ,13 cité par R. Amirou, Imaginaire du tourisme culturel 5 Kant, Qu’est-ce que les Lumières ? cité par R. Amirou, Imaginaire du tourisme culturel 14 3.1.1 Les critiques de la notion de culture Les plus virulentes critiques quant à l’acceptation du terme « culture » sont à rapprocher d’une certaine idéologie

la naissance de la Ière République. Cette image a toujours fait l'unanimité depuis son apparition en France. Elle a ainsi été adoptée par les pouvoirs successifs durant tout le XIXème siècle. • La légion d'honneur : Ce symbole date du 18 mai 1802, époque à laquelle Napoléon Bonaparte est Consul. Il créé alors cette distinction, convaincu qu'il s'agit d'un hochet, et que les hommes ne veulent vraiment que les hochets. Cette distinction sera complétée par un décret du 3 décembre 1963 qui crée l'Ordre

s’est chargé de montrer les potentialités destructrices. Voir lectures centrées sur le 19e. C’est au 19e que sont élaborées des mises au point des différents concepts, doctrines du nationalisme. Il n’y a pas eu d’innovation particulière depuis cette époque-là. Quel est l’intérêt d’interroger le concept de nation ? Nous assistons peut-être à une résurgence du nationalisme. En tout cas, nous constatons une vitalité du nationalisme, qui ne prend pas d’office des formes radicales ou mortifères, mais qui

la fin des années 1990 par Jean-Pierre Torrell, dans son Initiation à saint Thomas d'Aquin et, à la suite de son enseignement, par l'École théologique de Fribourg. En effet, comme tout penseur, Thomas d'Aquin est pris dans les problématiques de son époque, toutes d'ordre théologico-philosophique. Ainsi il est impossible d'étudier la pensée de Thomas sans considérer qu'il travaillait dans un contexte entièrement chrétien, avec sa propre foi dans le Dieu chrétien, et avec les méthodes et les limites

l'issue d'un procès. En l'absence d'un procès, ou dans les cas où celui-ci n'est pas réalisé par une institution reconnue, on parle d'exécution sommaire, d'acte de vengeance ou de justice privée. La peine de mort est diversement considérée selon les époques et les régions géographiques. À l'origine peine très fortement développée à travers le monde, elle a été déconsidérée à l'époque des Lumières. Fortement en recul dans la deuxième moitié du XXe siècle, elle est actuellement dans une situation incertaine

remonte dans le temps pour en chercher des manifestations le plus loin possible. On trouve du droit dans l’Antiquité, dans des textes très très anciens (le code Hammourabi par exemple). Il recense les règles du Droit pratiqué à l’époque. A la même époque, les juifs commençaient à rédiger l’Ancien Testament qui contient beaucoup de règles qui fixe les comportements, les responsabilités, la résolution des conflits… = des prescriptions juridiques ou presque. Encore au-delà : traces de prescriptions sur

des recueils d’arrêts qui étaient connus aux quatre points cardinaux de l’Europe. Car les universités à l’époque moderne sont, sauf exceptions, en décadence. Par contre, les tribunaux ont partout affirmé leur indépendance et ce sont eux qui, à cette époque, affinent le jus commune essentiellement au travers d’une pratique casuistique. Au terme de ces cinq siècles de jus commune, les codifications modernes apparaissent à bien des égards comme les héritières d’une longue incubation plutôt que comme l’origine

celle de voir que les oppositions — « nous » et « eux », unité et diversité, technologie et sciences humaines — sont souvent complémentaires et non contradictoires. Historiquement, c'était justement à l'université de proposer cet équilibre. Mais à une époque où les tâches sont de plus en plus complexes et divisées, l'université elle-même a été profondément touchée par la fragmentation, presque au point où l'énorme succès de l'innovation technologique et scientifique a amoindri sa contribution à la philosophie

que cette idée est très ancienne. En tout temps et en toute époque, intellectuelles et hommes politiques ont rêvés d’unir de manière pacifique les différents Etats européens tel qu’Henri IV et son ministre Sully (maintenir la paix entre les peuples et favoriser le commerce), en 1728 l’Abbé Charles de Saint Pierre (propose la formation d’une ligue européenne), en 1782 Jean Jacques Rousseau (imagine une fédération de princes), Emmanuel Kant (dans son ouvrage ‘’vers la Paix éternelle’’ de 1795). Au

que cette idée est très ancienne. En tout temps et en toute époque, intellectuelles et hommes politiques ont rêvés d’unir de manière pacifique les différents Etats européens tel qu’Henri IV et son ministre Sully (maintenir la paix entre les peuples et favoriser le commerce), en 1728 l’Abbé Charles de Saint Pierre (propose la formation d’une ligue européenne), en 1782 Jean Jacques Rousseau (imagine une fédération de princes), Emmanuel Kant (dans son ouvrage ‘’vers la Paix éternelle’’ de 1795). Au siècle