Kant Et Obéissance

société et à l’Église. Arendt n’a pas raison de dire ‘’qu’un adulte n’obéit pas, mais il soutient car ‘’parce que bien que Gerstein devient plus haut dans la hiérarchie, il le fait pour avoir plus d’autorité et de contrôle sur la direction. Le mot ‘’obéissance’’ est revient constamment dans le film Amen de Costa Gavras. Dois-je obéir aux ordres des supérieurs même si elles sont contres mes convictions? Comment arriver à convaincre la société de désobéir au régime totalitaire? Gerstein n’a pas réussi à

genetique) quis'exerce sur nous et nous oblige t-I' pas a remettre en cause l'exitance de liberte?   y-a til de liberte dans le connaissance et dans l'acceptance dans ce determinisme de meme qu'au niveau politique et sociale. Il n'y a de liberte qu'au obeissance de loi (rousseua)   a.   La liberte ne peut pas etre l'absence de contrainteparce que l'homme vit en societe et qu'il est soumis au loi et limiter par autrui. Il n'ya pas de pire esclavage que d'etre exclave de soi meme. De meme les

dans ses actes. Loin que la morale soit réductible à une contrainte les devoirs qu'elle affirme n'ont de sens et de valeurs que pour un être libre. Tout acte moral est l'expression d'un liberté en acte. Un être moral affirme son pouvoir d'autonomie. Kant, Critique de la raison pure, morale est l'expression la plus haute de notre liberté et de notre dignité humaine. L'homme affirme sa liberté dans la mesure où il n'est pas simplement un être sensible mais aussi et essentiellement un être intelligible

garante des relations de confiance (dimension humaine de la vérité comme traditionnellement associée à des relations humaines saines) - « faut-il » : idée d’un devoir, d’une exigence moral voire une contrainte (deux définitions du devoir : l’un est obéissance à la morale, l’autre à ce que m’impose une loi ou une autorité) - la question « faut-il toujours dire la vérité ? » pose deux problématiques : l’acte de vérité est-il un devoir ? et le fait de ne pas dire la vérité peut-il être légitime, cela peut-il

peuvent pas faire ce qu'il veulent, ils sont prisonniers, ils sont esclaves, esclaves de leurs désirs. La liberté est assimilé à l'indépendance conçu comme le fait de n'être soumis à aucune autorité, aucune loi. La liberté semble alors de toute obeissance car obéir c'est se soumettre à la volonté d'un autre. On fait consister la liberté dans la capacité de faire ce que l'on veut au sens où aucun obstacles extérieurs ne vient nous empécher . Faculté d'agir sans contrainte extérieure. Cette définition

forces. De manière plus simple, les néoplatonistes ont repris le mythe de la caverne en expliquant que deux mondes coexistent : le monde sensible (intérieur) et le monde intelligible (extérieur). Les rationalistes et les idéalistes (Platon, Descartes, Kant…) estiment que la pensée a nécessairement plus d'existence que ce que nous percevons. Les empiristes, sophistes et matérialistes (Hume, Locke, Marx, Épicure…) estiment quant à eux qu'il n'y a pas de vérité absolue : nos sens prédominent sur notre pensée

« S'ils pouvaient être plus heureux sans elle, la loi s'évanouirait comme une chose inutile. » La liberté, donc, suppose une obéissance interne à la raison, elle est autonomie. L'homme est libre lorsqu'il agit suivant sa volonté, guidé par la raison. D'un point de vue moral, plus que l'indépendance, c'est l'autonomie qui caractérise la liberté. Etre autonome, explique Kant, c'est obéir à la raison, aux lois morales. On n'est libre qu'en passant de l'hétéronomie à l'autonomie, en devenant responsable

oppposée en général au causalité, au fatalisme et à toute opinion qui soutient la thèse de la necessité du devenir. Le concept de liberté divisent les philosophes en deux camps, d’une part, ceux qui ont la base de l’action et de la morale humaine comme Kant, Descartes et d’autre part ceux qui démentent une quelconque supériorité par rapport à des fatalisme tels que le courant philosophique mené par Spinoza ou Démocrite. La définition de la liberté serait de pouvoir faire ce que l’on veut quand on le

d'autrui à la nôtre. Il affirme aussi que une des conditions de la liberté politique est de donner la souveraineté au peuple afin d'éviter le conflit d'intérêt avec le souverain. De ce fait, peut-t-il y avoir une coexistence entre déterminisme et obéissance aux lois ? Premièrement nous verrons donc quelles sont les lois différentes lois. Deuxièmement nous verrons leurs lien avec la liberté et le déterminisme et finalement si ces loi sont un obstacle ou une condition à la liberté individuelle.

montrer que les 2 concepts ont pour conditions une libre projection de valeurs mais on pourra cependant se demander si l'essentiel n'est pas plutôt de vivre sa liberté. I- Première partie - Sens commun de la liberté faire ce que l'on veut respect,obéissance (= sentiment de ne pas faire ce que l'on veut). La liberté c'est pouvoir dire non, refuser.Dire non manifeste notre indépendance,c'est à dire un mouvement interne. - Idée qui peut être fondée sur la déclaration des droits de l'homme. Droits naturels