Kant Et Obéissance

Donc, être libre ce n’est pas être sans lois mais ne pas vivre sous la loi d’autrui. Donc la liberté, c’est l’autonomie, c’est-à-dire la capacité à se donner à soi-même des lois en n’étant pas soumis à celle d’autrui. Le philosophe allemand Emmanuel Kant souligne qu’à l’inverse exact du dressage d’un animal, le but de l’éducation d’un être humain est de le rendre libre, c’est-à-dire autonome. II/ Etat de droit et autonomie Le souverain, c’est celui qui détient l’autorité politique légitime. Dans

extraite la citation précédente. Rousseau traite de force et de droits, d’obéissance et de devoirs. Or, les droits sont attribués lorsque une forme de pouvoir est mise en place par une force et impliquent des devoirs qui impliquent eux-mêmes une obéissance envers la force. Par exemple dans un régime politique actuel, la démocratie, dans laquelle les citoyens sont considérés comme libres et égaux en droits, les hommes ne peuvent pas toujours faire des choix volontaires, ce que l’on peut considérer

par devoir) * Morale : discours hypocrite des faibles ? chacun doit agir par conscience * Agir non par égoïsme mais par principe (indépendamment de toute récompense ou toute sanction) * Morale = obéissance par crainte et espoir ? Dieu n’est pas la seule base de moralité d’après Kant * « Nous ne tiendrons jamais nos actions pour obligatoires par la seule raison qu’elles soient de ordres de Dieu : mais elles nous paraissent au contraire des ordres de Dieu parce que nous y sommes tenus

liberticide : «  il est interdit d’interdire » Ce n’est pas parce que tout est permis que tout devient possible. En effet, lorsque tout est permis, des rapports de forces s’établissent entre les individus ce qui conduit à nier la liberté. 2. Pouvoir et obéissance : pourquoi acceptons nous d’obéir ? Ici il est question du « pouvoir sur », exercé sur les autres alors que le «  pouvoir de » est exercé sur les choses. L’obéissance semble restrictive de ma liberté puisqu’obéir, c’est toujours se soumettre

Spinoza ? Expliquez-la en vous servant des exemples du texte. 3. Est-on d’autant plus libre que les lois auxquelles on obéit s’appuient sur la raison ? Le corrigé Les notions au programme : la liberté Références possibles : Rousseau, Kant. 1. Dégagez la thèse de ce texte et montrez comment elle est établie. Thèse : Spinoza montre que pour que les sujets d’une communauté politique soient libres, ils doivent obéir à des lois raisonnables, c’est-à-dire qui visent l’intérêt général

Rapidité de l’obéissance au commandement de Dieu. 2ème : contraste : avant il y avait une relation traditionnelle entre Abraham et Dieu : une relation d’échange : rites et prières contre un don des Dieux (prospérité sous toutes ses formes). Ici obéissance sans contrepartie attendue ! L’obéissance pour l’obéissance, pas de l’ordre du calcul. En plus, le sacrifice porte sur ce que Dieu lui a donné. Abraham annule tout ce pourquoi il avait fait alliance caractère absurde, incompréhensible. Pour

et veut son bien. Intersubjectivité : ce qu’il y a entre deux sujets, relation. Contrainte : pression morale ou physique exercée sur quelqu’un ou quelque chose. Obligation crée par les règles en usage dans un milieu, par une nécessité. Obéissance : action de celui qui obéit, se soumet à la volonté de quelqu’un. Liberté : état d’une personne qui n’est pas soumise à la servitude. Indépendance : attitude d’une personne qui refuse les contraintes, les influences, les règles établies.

personnalité à part. l’art va permettre de réconcilier les empiristes et les rationalistes. Finalement dans l’esthétique on va pourvoir mener une reconsidération sur le beau mais a condition de redéfinir le jugement. B/ Les antinomie du goût. KANT : Critique de la faculté de jugement  1791 Universelle sans concept. Plaisir désintéressé. Finalité sans fin. - inverse du jugement réfléchissant. Dans le jugement réfléchissant. L’universelle c’est le fait d’utiliser un terme qui est générale

raison à autrui ou en faire un instrument de pouvoir sur autrui. Texte : « A la liberté de penser s'oppose, en premier lieu, la contrainte civile. … » Emmanuel Kant, Qu'est-ce que s'orienter dans la pensée ? 1786. Y a-t-il des conditions nécessaires, externes et internes à la liberté de penser ? Ou bien sont-elles contingentes ? Kant dégage les conditions de la liberté de penser à partir d'un examen, des conséquences désastreuses de leur négation. Premier paragraphe : La négation de l'usage

Avec Heidegger, même en apprenant le lexique, on a pas l'impression d'avancer, de comprendre. IL le fait exprès: écriture très difficile pour la préserver. Dimension ésotérique. Mystère autour de l'œuvre. Ce n'est pas une simple difficulté comme Kant, qui disparaît quand on connait les termes. Avec Heidegger, pas de recherche rationnelle. Frontière entre initiés et non initiés. Mais, d'un autre côté, c'est une telle révolution que le langage est consécutivement difficile. Il crée un nouveau