Jurisprudence Et Responsabilité Des Dirigeants Sociaux

de l’activité économique. Il est juste de pouvoir rompre des activités économiques et commerciales lorsqu’il y a des vices économiques importants. Cette relation est parfois néanmoins un peu plus éloignée. Ce principe est conforté par la jurisprudence. Par exemple, on peut acquérir un bien avec plus ou moins d’irrégularité, on peut cependant en vertu du code civil l’acquérir de manière légale au bout de 30 ans. C’est là l’une des premières distinction. Sur le fond, il est parfois fréquent que

coopératives qui associent le personnel au capital et à la prise de décision III> Quels sont les critères distinctifs de l’entreprise ? Les critères sont multiples (entreprise privée / publique, taille, individuelle / sociétaire…). La jurisprudence française et communautaire retient certains critères pour caractériser l’entreprise : • La nature économique de l’activité (échange de biens et services sur un marché) • Une organisation propre : moyens mis en œuvre groupés

Cas fortuit ou cause majeure  Faits qui permettent Trois caractères : - imprévisibilité - Irrésistibilité - Extériorité Imprévisible : Jurisprudence ne fait pas preuve de constance D’abord preuve d’un fait d’un évènement absolument imprévisible  Notion très étroite et application sévère Années 2000 : Arrêt de principe de la 2ème chambre civile : semble exiger un évènement normalement imprévisible : Comportement d’un homme raisonnable / Bon père de famille Irrésistible : impossibilité d’éviter

catégorie, on y distingue la société qui a un but lucratif, et l’association qui n’a pas de but lucratif. Un associé (société de personne) reçoit des parts sociales. L’actionnaire se trouve dans les sociétés de capitaux (SA, SAS), et reçoivent des actions. I – Les sources du droit des sociétés °° Source interne  Le code de commerce, la Jurisprudence (ensemble des décisions des tribunaux), le code civil, la Constitution. Le code civil régit les contrats. Pourquoi le code civil ? : Car c’est un contrat

/ !\ Interrogation à chaque début et fin de cours + exposé = partiel / !\ Cours : 21/12 – 11/01 - 1ère partie : réfléchir sur le statut social et fiscal du chef d’entreprise en comparant entre la société et l’entreprise individuelle. 2ème partie : création d’une société étape après étape (SA avec conseil d’administration) 3ème partie : faire fonctionner cette société en mettant en place ses organes essentiels (Conseil Admin, AG) 4ème partie : établir tous les documents financiers et juridiques

d’entreprises facilitent par exemple la croissance, la discrétion ou la transmission de l’entreprise.D’autres faciliteront la séparation du patrimoine de l’entreprise et de l ‘entrepreneur ou encore imposent un statut fiscal plus ou moins favorable aux dirigeants et aux associés. A. En fonction des objectifs de l’entreprise : a. La croissance : En schématisant, on peut distinguer entre les entreprises de subsistance et les entreprises de croissance : Les premières, de modèle précapitaliste

capacité juridique, une autonomie patrimoniale ainsi qu’une responsabilité. L’identité se caractérise par une dénomination sociale, un siège social, la nationalité de la personnalité morale, une autonomie patrimoniale. Par conséquent que les associés n'ont aucun droit sur les biens sociaux, c'est-à-dire que les associés ne sont pas copropriétaires des biens sociaux mais ils sont titulaires de droits sociaux c'est-à-dire parts sociales ou actions. Par capacité, il faut entendre l'aptitude à

en matière de SA : 9 Section 3 : conformité à l’objet social 9 28 janvier 1930, C. Cass ; droit de non-ingérence : interdiction faite à une personne, notamment le banquier, de se mêler des affaires d’autrui sans y être invitée. Cette interdiction induit aussi à une interdiction d’apprécier l’intérêt du client. Le banquier n’est pas responsable des opérations de son client. Finalement ce principe de non-ingérence, conduit à une non responsabilité. Comment by Yannick WILSON: Le fondement de ce principe

connexes qui vont saisir le fonctionnement de l'entreprise dans toutes ses dimensions. On trouve par exemple le droit social (droit des relations entre employeur et salariés), le droit de la concurrence (relations entre les entreprises elles mêmes dans le cadre d'un marché), le droit fiscal (affaires, entreprise), droit pénal des affaires (infraction comme abus de biens sociaux par exemple). On peut rajouter à cette matière le droit public économique qui envisage la place de l'État et des collectivités

à l’ordre public et aux bonnes mœurs ,il s’agit d’une condition négative de la formation du contrat : le contrat est nul s’il est contraire à l’ordre public et aux bonnes mœurs .Ces 2 notions sont la manifestations la plus directe du volontarisme social qui constitue le fondement du contrat .Elles assignent , en effet , à la liberté contractuelle dont jouit tout sujet de droit ,des limites dont nul ne peut s’affranchir. Quant aux conditions de forme la règle est qu’il n’y en a pas .C’est le