Jurisprudence Et Responsabilité Des Dirigeants Sociaux

et la sécurité des transactions. b- La coutume Il s’agit d’une règle juridique non écrite qui s’impose aux contractants au même titre que la loi. 3- La jurisprudence et la doctrine a- La jurisprudence Elle interprète la loi et le règlement en les précisant. La jurisprudence tient une place classique en droit des affaires. En Côte d’Ivoire, les Tribunaux de Première Instance et leurs Sections détachées connaissent des conflits commerciaux en premier ressort

comporte peut d’associés qui se sont associé en considération de la personnalité des autres. Chapitre 4 : Les sociétés par intérêt et les sociétés par actions Les sociétés par intérêt ce sont des sociétés ou le capital social est divisé en parts sociales. Les parts sociales pour être cédées appliquent une procédure d’agrément et la cession est soumise a un certain formalisme (écrit et publiée au RCS). C’est le cas des SNC, des sociétés civiles, pour les SARL, pour les Sociétés en Commandite Simple

Impasse de cette théorie avec le développement de certains groupement qui voient en réalité la réunion non pas de plusieurs personnes mais d’une seule personne : les EURL (Entreprise Universelle à Responsabilité Limitée). 2 - Les solutions du droit positif En réalité, le droit positif (la jurisprudence) a douté de la reconnaissance de la personnalité juridique. Il a fallu attendre la décision de la 2ème chambre civile de la Cour de cassation du 28 janvier 1954 pour admettre cette théorie : la

I Rapport de la problématique Propositions d’intitulés : la responsabilité de l’émetteur de la lettre d’intention en phase de formation et d’exécution de celle-ci. Les articulations du droit de la lettre d’intention et les autres disciplines du droit civil. La lettre d’intention à l’épreuve du droit des sociétés et du droit des entreprises en difficulté. L’impact de la qualification de la lettre d’intention à l’égard de l’opposabilité de celle-ci à la société mère : cas d’ouverture des

RECOMMANDATIONS AUX CANDIDATS En préalable de l’épreuve, les candidats sont invités à vérifier la pagination et la bonne impression du sujet de la page 1 à la page 6 avant le décompte du temps alloué. Cette vérification est placée sous leur responsabilité. En cas d’anomalie, ils sont priés de la signaler à un surveillant en levant la main. Dans le délai de 2 h 00 qui leur est imparti, ils procéderont ensuite au travail demandé. Pendant la durée de l’épreuve, les candidats ne peuvent pas communiquer

l’origine soit par un contrat soit par un accord de volonté unilatérale où la société décide d’affecter une partie de son patrimoine à une entreprise déterminée, dans ce type de société, il est nécessaire que l’associé unique se comporte comme le réel dirigeant de la société. En principe, il ne devrait pas y avoir de difficultés pour constituer une société. Il faut remplir un certain nombre de formalités, donc la création d’une société ne laisse aucun doute sur les intentions des associés. Le problème est

en préparation), et le droit des obligations également en préparation. Le droit des affaires peut alors se définir comme l’ensemble des règles juridiques régissant les activités économiques. Le droit des affaires tire sa source dans la loi, la jurisprudence, et la doctrine. à ces sources classiques il faut ajouter les sources propres au droit commercial que sont les usages commerciaux. Les usages sont des comportements professionnels constants, notoires et généralement anciens. On distingue ainsi

garantir la sécurité du créancier, bref la situation du créancier chirographaire reste précaire, d’où l’intérêt de souscrire à une sureté. II) notion de sureté : A) définition des suretés : Aucune définition générale des suretés ! La jurisprudence est alors intervenue. C’est pourquoi la doctrine s’oppose sur la notion de sureté. On a deux tendances, certains retiennent une définition large, d’autre une définition restreinte. Pour ceux qui retiennent une définition restreinte on devrait distinguer

MASTER 2 DROIT ET GESTION MME DESBARATS LA RESPONSABILITE SOCIALE ET CIVILE Fonctionnement des sociétés : « Droits et Obligations des associés » Page 1 SOMMAIRE Introduction I) Les droits et obligations communs à l’ensemble des sociétés A) Les obligations des associés 1) Des obligations pécuniaires L’obligation de réaliser un apport L'obligation de se conformer aux statuts L’obligation de contribuer aux pertes L’obligation de répondre au passif social ou de participer au paiement des dettes 2)

d’insaisissabilité. 7  La fiducie. 8  Statut de l’entrepreneur individuel à responsabilité limitée (EIRL). 8 2. Les sociétés commerciales. 8 A. Les avantages de l’exploitation collective de l’entreprise. 9 a. Au regard du financement de l’entreprise. 9 b. Au regard de l’organisation de la gestion. 9 c. Au regard de la responsabilité des associés ou les risques par eux encourus. 9 B. Le statut du dirigeant de société. 10 II. Les acteurs indirects. 10 1. Les salariés. 10 A