Jürgen Habermas

de leur rôle et de leur contrôle) et celui de la compétence politique des électeurs ,plus souvent séduits qu’instruits parce qu’ils n’ont pas de réelle formation politique et économique.(Voir cours Technique : thème de la dérive technocratique Jurgen Habermas) .On terminera ce cours avec la conception très particulière et très controversée de Vilfredo Pareto (1848-1923) qui fut à la fois économiste et sociologue. Dans son Traité de sociologie générale (1916), Pareto distinguait des actions logiques

démocratie libérale, Paris, PUF, 1998 * CASTELLAN, Georges. Histoire des Balkans, Paris, Fayard, 1999 * GUÉRY, Louis. Visages de la presse, Paris, Editions du Centre de formation et de perfectionnement des journalistes (CFPJ), 1997 * HABERMAS, Jürgen. L’espace public, Paris, Éditions Payot et Rivages, 1997 * MACEK, Josef et MANDROU, Robert. Histoire de la Bohème, Paris, Fayard, 1984 * MORRIS, Peter. Histoire du Royaume-Uni, Paris, Hatier, 1992 * MUHLMANN, Géraldine. Une histoire

humaine est de se référer au modèle de l’éthique de la discussion, dont les fondements ont été discutés par Jürgen Habermas. Celui-ci propose une éthique procédurale, basée sur l’exercice du langage dans le respect de règles de discussion strictes. Cette discussion est amenée à se dérouler dans un espace public où de nombreuses parties prenantes peuvent avoir accès à la parole. Si Habermas prédit que son modèle est inapplicable au monde des organisations, d’autres auteurs ont démontré la possibilité

humaine est-elle celle de l’Homo œconomicus parfaitement rationnel et maximisateur ? Est-elle le résultat d’un conditionnement social, dont rend compte l’homo habitus de Bourdieu (1980) ? Est-elle plutôt englobée par les quatre catégories de l’agir de Habermas (1987)2 ? Est-ce enfin l’action de l’homo sociologicus cognitif de Padioleau (1986) ? Comme on le voit, les réponses sont diverses et notoirement différentes. Elles échappent largement aux prétentions de notre recherche. Nous ne nous intéresserons

de la décision politique produit des effets de démocratisation des régimes existants. Pourquoi ? « Parce que cela produit de meilleures décisions : c’est en tout cas l’une des conclusions que l’on peut tirer des travaux du philosophe allemand Jürgen Habermas. Selon ce dernier, la confrontation publique des opinions crée les conditions d’un débat rationnel, en obligeant les intervenants à « se tourner vers l’intérêt général ou du moins à tenter de montrer en quoi leurs arguments sont compatibles avec

d’une part mais également plus de mérite à préférer l’un à l’autre. La notion d’espace public peut se définir comme la « Sphère de la participation des individus autonomes au débat sur « les affaires publiques » [4]». C’est un concept forgé par Habermas dans Strukturwandel der Öffentlichkeit[5]. Cette sphère naît dans la bourgeoisie des Lumières en tant qu’espace de confrontation des opinions individuelles. Il émerge grâce à trois pratiques sociales : le développement d’un Public (grâce aux spectacles)

Que dire ensuite de la discussion rationnelle ? Il existe des théories "dialogiques" qui se veulent aussi bien des éthiques que des théories de la société, comme celle du philosophe allemand Jurgën Habermas avec sa "théorie de l'agir communicationnel" – rien d'autre qu'une éthique de la discussion. Habermas défend l'idée d'une "raison communicationnelle" qu'il oppose à la raison purement "instrumentale". La première vise d'abord l"'intercompréhension" entre les humains, notamment par le dialogue

de famílias judias, todos fugindo da perseguição nazista. Alguns dos antigos fundadores voltam para à Alemanha após a queda do regime nazista, retomando as atividades do Instituto em 1950. Entre os mais recentes membros da “escola” encontra-se Jürgen Habermas. As idéias da Escola de Frankfurt giravam em torno de uma reavaliação e análise do marxismo que permaneceu no pensamento de quase todos como dominante na interpretação dos fatos sociais sem, no entanto, converter-se em posição dogmática. A “escola”

surface d’annonces par abonnement. De cette sorte, leur pouvoir financier est tel qu’ils prennent le contrôle d’une part non négligeable de la Presse. Dès cette époque –et c’est encore plus vrai aujourd’hui- s’est produite une certaine confusion -J. Habermas parle même de collusion- entre fonctions journalistiques et impératifs publicitaires, la publicité de grande envergure ne se contentant plus d’être « commerciale » pour la seule raison qu’elle représente une part décisive du budget des journaux.

universitaire, le refus de payer l'impôt, etc. Au delà de la « praxis », la désobéissance civile trouve son expression théorique dans la doctrine juridique contemporaine chez des auteurs comme Franz Neumann, Ronald Dworkin, John Rawls, Joseph Raz, Jürgen Habermas, Ralf Dreier, E. Rostow, Richard A. Wasserstron et Giovanni Cosi. Les apports de ces différents auteurs ont fait l’objet d’une excellente étude de Ramón Soriano à l'exposé duquel nous nous référons ici. Abondamment traitée par les auteurs anglo-saxons