Jürgen Habermas

peut être un despotisme. C’est devenu la religion de notre soté, tout semble pouvoir se résoudre avec de la rationalité. Or les philosophes du 18 voulaient allier la morale et la raison. Nos sotés sont plus technocratiques que démocratiques. - Jürgen Habermas La science et la technique comme idéologie (1968). Gouvernements de technocrates expliquent le désintérêt de la population pour la po, car il n’y a plus de projets de Soté. L’excès de rationalité a mené à une perte de conscience morale. - Que

2001, p. 27-36. 11 Duret, Pascal: « Penser les outils de la sociologie du sport : à propos du système des sports et de sa logique de la preuve » dans 38-39 Science et motricité 1999, 5-11, p. 6. 12 Reprenant la classification d’Habermas : Habermas, Jürgen: La technique et la science comme idéologie. Paris 1968, [1973]. 13 Berthelot, Jean-Michel: L’intelligence du social. Paris 1990. 14 Weber, Max: Essais sur la théorie de la science. Paris 1951, [1992], p. 303. 15 Wieviorka, Michel: La violence

their own experiences and fears about their image. Although most of the submissions to the blog begin in the first-person, focusing on personal stories and experiences, many submissions are written in response to previous ones. In contrast to Jürgen Habermas’ concept of the liberal-individualistic public sphere, Fraser argues a civic-republican view of the public sphere serves a greater purpose for subaltern groups. In this view, private individuals are Canadian Journal of Media Studies, Vol.

Foucault, le réel est produit : la grammaire, les discours, la conversation, le langage, le jeu de rôles sont des pratiques de pouvoir (ou de désir, au sens de Deleuze et Guattari) et non des universaux communicationnels du rapport humain (comme chez Habermas). Et ces pratiques renvoient à des « dispositifs de pouvoir » (l'enseignement – la relation maître-élève – à l'école, la clinique – la relation médecin-patient – à l'hôpital, le châtiment – la relation juge-condamné – à la prison, etc.) qui ne sont

formalisme (tel Perelman), a bien des difficultés à s'établir. On ne saurait supposer l'existence d'une théorie générale de l'argumentation qu'il suffirait d'appliquer à des domaines particuliers, et qui se spécifierait par des « formes d'argumentation » (Habermas, 1987, p. 39) en rapport avec des « types d'action2 ». L'expression « argumentation politique » ne renvoie pas non plus à une notion évidente par elle-même, ou alors, son extension est telle qu'elle relève du truisme, à coups d'idées vagues : en

John Rawls et est fondée sur le pluralisme. Rawls affirme qu’on[Qui ?] ne peut plus se baser sur une seule notion commune, le bien. Cela implique alors l’établissement de règles plutôt abstraites afin d’admettre une généralité de différences. Jürgen Habermas considère qu’une solution à un conflit est légitime si et seulement si ceux qui sont concernés par ce conflit sont d’accord sur cette solution dans des conditions de paroles et de communication satisfaisantes. C’est pourquoi il est question d’éthique

stipulée des institutions de l’UE suit l’organisation du gouvernement d’un Etat fédéral et c’est pourquoi il est nécessaire que le Traité constitutionnel de 2004 se transforme en Constitution européenne. De cette façon, selon le philosophe allemand Jürgen Habermas, se créerait plus rapidement un peuple 57 58 Pierre Moskovici, L’Europe, la seule utopie politique, Cité 13/23, 2003, p. 115 Lesek Kolakovski, L’Europe unifiée?, NIN, 5.12.2002, p. 46 (publié en serbe) 59 Michel Foucher, Quelles frontières

former pour penser la démocratie radicale. » Celle-ci serait définie et inspirée par des pratiques d’auto-organisation de la société aux modalités multiples selon les circonstances et à la manière d’un mode d’action de la société sur elle-même (Habermas 1997; Laclau et Mouffe 1985; Mouffe 1994 et 2000); et cette société serait animée par une culture démocratique qui conjugue pluralisme et participation. Un tel projet est assurément bien servi par une perspective artistique qui autorise à saisir

international et intègrent dans le champ des relations internationales des facteurs tels que les classes sociales. Ils interrogent par ailleurs la notion d’État. Principaux auteurs : Robert Cox, André Gunder Frank, Stephen Gill, Antonio Gramsci, Jurgen Habermas, Andrew Linklater Les divers sous-champs [modifier] Le champ des relations internationales se divise en cinq sous-champs : • Théorie des relations internationales. Ce champ étudie les différents courants théoriques qui façonnent le

condition a été réalisée historiquement avec l’invention de l’imprimé qui permettra au discours politique de dépasser l’horizon étroit de la communication face-à-face. Ainsi grâce à l’imprimerie, l’espace public, pour reprendre une expression de Jurgen Habermas, peut largement déborder les frontières du groupe immédiat et constituer une communauté de citoyens qui ne se connaissent pas et n’entretiennent pas de liens directs entre eux, mais qui peuvent partager la même pensée en lisant le même livre