John Locke La Souveraineté

affirment que de ces droits naturels découlent des droits politiques. John Locke (1632-1704) Second traité du gouvernement civil (1690). Voltaire (1694-1778) dénonce l’intolérance religieuse. 3) La demande de séparation des pouvoirs. Charles de Montesquieu (1689-1755) L’esprit des Lois (1748). Seule la séparation des pouvoirs assure à la fois : -la souveraineté populaire, -la garantie des libertés individuelles. 4) La souveraineté populaire. J.-J. Rousseau (1712-1778) Le Contrat social (1762)

2002 où la Constitution d’un régime parlementaire revint à ses sources. C’est donc un régime parlementaire à tendance semi-présidentielle. Ce sujet et donc toujours d’actualité et est ancré dans le temps puisque de grands auteurs tel que Locke et Montesquieu c’étaient penchés sur la théorie du régime parlementaire et de la séparation des pouvoirs au XVII ème et au XVIII ème siècle. Nous avons donc pu constater brièvement que plusieurs variantes du régime parlementaire existent. Dans

protégerait les droits fondamentaux. Pour le penseur anglais John Locke, il est important de comprendre que la connaissance vient de la réflexion. Il défend les libertés et l’idée qu’aucun gouvernement ne peut exister sans avoir passé un contrat avec le peuple. Quelles sont leurs idées ? Les philosophes pensent que les gouvernements doivent respecter les droits et les libertés fondamentales, comme celle de s’exprimer. Pour les penseurs, la souveraineté appartient au peuple. Pour Montesquieu, les pouvoirs

séparation des pouvoirs vise à séparer les différentes fonctions de l’Etat afin de protéger les individus de l’arbitraire et d’empêcher aux abus liés à l’exercice des missions souveraines. La séparation des pouvoirs trouve son origine dans le travail de John Locke lui même inspiré par des écrits aristotéliciens, mais c’est Montesquieu qui reprend cette notion et la développe. La séparation des pouvoirs repose sur l’énonciation de l’exercice des trois pouvoirs, législatif, exécutif et judiciaire. La nécessité

L’ABSLUTISME Effectivement le XVIIe siècle a été marqué par le triomphe de l’absolutisme dont les bases avaient été posées au cours du siècle précédent avec l’idée majeure de la dissociation du pouvoir et de la morale que l’on a conjointe au concept de souveraineté de l’état (Machiavel). L’absolutisme c’est l’idée que le pouvoir suprême ne peut pas être limité et doit se fonder sur l’obéissance absolue. Il faudra alors attendre les penseurs des Lumières comme Spinoza ou Descartes pour amener le thème de la

fonction, on peut leur retirer. Les décisions des dirigents ne sont pas personnelles mais elles sont prises au nom de l'Etat. Le patrimoine français est séparé du patrimoine des représentants français. b. la souveraineté ( critère le plus important pour définir l'Etat ) · la doctrine de la souveraineté. Cette notion a été inventée par Jean Bodin au 16ème siècle. Un Etat est souverain lorsqu'il détermine lui même ses propres règles et ses propres compétences. L'Etat peut faire faire ce qu'il veut, quand

lumières : liberté, égalité, nécessité du consentement au pouvoir, et dans la déclaration d’indépendance de 1776 : L’homme a le droit à la recherche du bonheur. Ces déclarations américaines sont très directement influencées par la pensée Européenne : John Locke, Montesquieu, Rousseau. Les déclarations américaines ont un rayonnement plus général que les textes anglais. Elles veulent avoir une portée universelle. B- La DDHC de 1789. En France, ce sont les cahiers de doléances qui ont demandé la rédaction

approches sociales et conceptuelles gagnent à être croisées et être perçues commecomplémentaires, sans pour autant être confondues.Emergence et affermissement des idées démocratiquesPerspective qu’on associe à la notion d’égalité, à la notion de souveraineté du peuple : égalité quiprime.Autre perspective : notion de liberté qui va défendre les droits de l’homme, les droits humainsfondamentaux, un système politique représentatif mais réservé à certaines élites.Egalité et liberté traversent le moment

le professeur n’est pas d’accord). Concernant la forme de gouvernement , il part de l’idée que la société politique est de pur droit humain , il fait la synthèse entre l’apport d’Aristote et le principe romain de la lex. régia (transfert de souveraineté du peuple vers l’empereur). Marsile de Padoue pense que seul un « législateur humain » a compétence pour régir la société. La question se pose de savoir qui est ce « législateur humain » : Est- ce le peuple ? est- ce l’empereur ? Marsile de

différends des particuliers ». Cette phrase est tirée de l'esprit des lois de Montesquieu grand auteur Français du XVIII ème siècle. Cet auteur de la philosophie des Lumières reprend en partie la théorie de John Locke qui analyse la situation politique de la Grande- Bretagne du XVII ème siècle. Pour Locke, il est dangereux qu’une seule personne ait entre les mains le pouvoir législatif et exécutif. Cet individu pourrait être tenté d'appliquer un régime spécial à son avantage. Ainsi afin d'éviter cette situation