John Locke La Souveraineté

1) L’élément territorial : -L ’état et son territoire -Les différents territoires 2) L’élément démographique : -La définition du mot population -Le lien entre l’individu et l’état : La nationalité 3)L’élément politique : -La souveraineté interne -La souveraineté internationale de l’état ( externe ) 1 Droit Constitutionnel Droit : Ensemble de règles qui régissent un groupe, et évitent l’anarchie. Les règles de droit se différencient des règles morales par la sanction judiciaire. Cette

gouvernement par la vertu - oligarchie), ou au pouvoir de tous (politie, gouvernement de la majorité dans l’honneur - démocratie, gouvernement des pauvres contre les riches). Aristote prône un gouvernement des classes moyennes dans l’intérêt général, avec souveraineté du peuple et de la loi. 2. LA PENSEE CHRETIENNE Même s’il n’a pas prétention à ériger une nouvelle doctrine politique, le christianisme touche aux relations entre État et société. La formule de saint Paul « il n’est de pouvoir que de Dieu

économique, donc domination économique d'un groupe. 2. Les theses contractualistes. Ces thèses disent que les États ne se forment pas naturellement mais après qu'un contrat ait été passé entre les hommes. Ces trois théories (Hobbes : Le Léviathan , Locke : Traité sur le gouvernement civil , Rousseau : Du Contrat Social) du contrat social ont de fortes similitudes méthodologiques. Avant la formation de l'État les hommes vient dans l'État de nature. Dans les trois cas, il ne s'agit pas de raconter l'histoire

fondée et légitimée le pouvoir du souverain en Europe dans des modèles de monarchie absolue de droit divin ou de théocratie. Sous l’influence des Lumières, elle a été contestée et renversée par l’émergence du libéralisme où la légitimité et la souveraineté émanent du peuple. Si la religion désigne un ensemble de croyances et pratiques qui définit le rapport de l’homme à une transcendance sacrée, et la démocratie un système politique où le peuple se définit et se gouverne lui-même, les deux termes

glaives au roi car le pouvoir spirituel est déclaré supérieur au pouvoir temporel. Saint Thomas d’Aquin (1224-1274) : ses œuvres principales sont « Du royaume »  et « Somme Théologique ». Pour Saint Thomas D’Aquin le but du pouvoir vient de Dieu, la souveraineté appartient au pape et les Hommes sont liés aux gouvernants agissant vertueusement et pour l’intérêt général par un contrat. Saint Thomas d’Aquin est favorable à un régime mixte si le pouvoir, qui est la monarchie, respecte le cadre naturel de l’autorité

politique de manière à ce que tous les citoyens participent au pouvoir. Si tous sont affectés par les lois, personne ne voudra les faire pénibles pour ne pas se charger soi-même de fardeaux inutiles. On retrouve cette idée dans Pensées politiques de John Rawls quand il parle du « voile d’ignorance » : il imagine une situation hypothétique dans laquelle un ensemble de personnes devrait voter les lois et choisir des principes pour établir la société à venir. Afin que chacun y contribue de manière juste

Le libéralisme politique naît à la fin du XVIIe siècle au Royaume-Uni avec John Locke. Les théories de Locke seront largement reprises et popularisées par certains philosophes des Lumières français comme Montesquieu (1748 : "L'Esprit des lois"), Condorcet ou Turgot en France, par Kant en Allemagne, et par Jefferson aux Etats-Unis. Elles reposent sur cinq principes fondamentaux : la séparation des pouvoirs ; la souveraineté du peuple (qui l'exerce par l'intermédiaire de ses représentants) ; le refus

du 15ème siècle, comme forme d’organisation politique particulière, caractérisée par la souveraineté. Le premier auteur que l’on va étudier, est Nicolas Machiavel (1469-1527). Un certains nombre de commentateurs considèrent que Machiavel est le premier auteur a utilisé le terme Etat dans son sens moderne, on verra ensuite Jean Godin (1529-1596) qui est considéré comme l’inventeur de la notion de souveraineté, ce qui est curieux et paradoxal, c’est que Godin n’utilise pas le terme d’Etat dans son

de 1789. Face aux pressions du roi de France Louis XVI, ils firent serment de ne pas se séparer avant l’élaboration d’une Constitution. Si ce serment n’a pas de portée juridique, son impact symbolique est très fort puisqu'il fut le prélude de la souveraineté nationale et de la séparation des pouvoirs.   Vote par tête ou vote par ordre : Le vote par ordre est ce qui était d’application jusqu’en 1789 , c'est-à-dire que aux Etats généraux de 1789 , chaque ordre avait une voie . Ce qui n’était absolument

la sécurité et la justice. En revenant sur la théorie de machiavel, les sujets, doivent offrir sans condition leur souveraineté au prince. Grotius et Bufendorf, avancent quand à eux l'idée d'un contrat bi-lateral entre l’État et le peuple. En échangé de sa souveraineté, le peuple se voit offrir la protection de leur bien et de leurs bonheur. 4.La théorie de John Locke Il publie dans son ouvrage, Second traité du gouvernement civil une réponse à la théorie de Hobbes. Pour cela il assoit