Jankelevitch

valeur intrinsèque. III : Finalement, on peut se demander s'il est vraiment souhaitable de rechercher la vérité : n'est-ce pas dangereux ou vain ? A : La vérité est dangereuse Tout comme l'ignorance est dangereuse, la vérité peut l'être aussi. Jankélévitch dit bien que « toute vérité n'est pas bonne à dire ». Dire la vérité, toujours et à tout le monde, peut avoir des conséquences très graves car elle peut blesser. Ainsi, Benjamin Constant s'oppose à Kant et défend un « prétendu droit de mentir par

champ de l’intuition ce qu’on trouve dans le champ du jugement. HUSSERL 76 Ton savoir n’est rien si les autres ignorent que tu sais. Vladimir JANKÉLÉVITCH 77 Si l’intelligence, recomposant après coup ce qu’elle décomposa, s’entortille dans la complication, l’intellection épouse le mouvement même par lequel la simplicité rayonne en complexité. Vladimir JANKÉLÉVITCH © Éditions d'Organisation, 2003 31 78 Enseigner, c’est apprendre deux fois. JOUBERT 79 Si toutes nos connaissances commencent avec l’expérience

“comme” : « Ecrire “Les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles, comme le dit Jankélévitch”, c’est assumer la responsabilité de l’assertion, en s’aidant d’une référence à Jankélévitch, ce n’est pas formuler purement et simplement sa thèse. » En d’autres termes  vous affirmez ici un point de vue personnel, le vôtre, “les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles”, et vous évoquez une autorité - ici Jankélévitch- pour soutenir ce point de vue. Enfin on constate parfois une nette incohérence

responsabilités qu'impliquent une relation soignant-soigné. Ainsi, il s'agit plus d'être dans un éthique du « care », du « prendre soin », que d'une éthique du « cure », du « faire des soins ». --------------------------------- [ 1 ]. Vladimir Jankelevitch, Le pur et l'inpur, Paris, Flammarion, Coll, Champs, 1960, p.116. [ 2 ]. Philippe Svandra, Le soignant et la démarche éthique, Edition ESTEM De Boeck , Clamecy, 2009, p.7 [ 3 ]. Philippe Svandra, Le soignant et la démarche éthique, Edition ESTEM

Ce texte extrait de Le sérieux de l’intention, a été écrit par Vladimir un philosophe et musicologue français. Jankélévitch s’intéresse au thème, la liberté et le déterminisme. Il démontre ensuite sa thèse, l’homme ne peut pas ne pas être libre. On conçoit habituellement la liberté comme la capacité d’agir sans contrainte, ou encore la faculté d’effectuer des choix sans y être obligé ni forcé. Dans son sens le plus courant la liberté tendrait donc à se confondre vers le libre arbitre. C’est-à-dire

pourraient être des aventuriers qui sont toujours à la recherche d’un nouveau défi. Ils veulent s’enrichir avec des nouveaux expériences et ils ont l’intêrét de s’épanouir et de réailser leurs idées. P. Trétiack cite dans le document trois Vladimir Jankélévitch qui a mis en evidence que « le véritable aventurier est toujours au commencement ». Avec ses mots il veut exprimer que l’homme veut toujours enrichir son savoir et ses connaissances et pour y arriver il commence toujours à nouveau à faire des recherches

traducteur » in Œuvres ( en 3 volumes, Folio) ; Troisième période contemporaine (La seconde guerre mondiale et après) K. Popper (1902-1994) Conjectures et Réfutations (1963) ; V. Jankélévitch (1903-1985) Le je-ne-sais-quoi et le presque rien (1957) ; H. Jonas (1903-1995) Le principe responsabilité (1979) ; R. Aron (1905-1983) Les étapes de la pensée sociologique (1967) ;

valeur intrinsèque. III. Finalement, on peut se demander s'il est vraiment souhaitable de rechercher la vérité : n'est-ce pas dangereux ou vain ? A. La vérité est dangereuse Tout comme l'ignorance est dangereuse, la vérité peut l'être aussi. Jankélévitch dit bien que « toute vérité n'est pas bonne à dire ». Dire la vérité, toujours et à tout le monde, peut avoir des conséquences très graves car elle peut blesser. Ainsi, Benjamin Constant s'oppose à Kant et défend un « prétendu droit de mentir par

bonne à dire , faire preuve de sincérité et ainsi aider l'autre à accepter sa vérité puisque la sincérité nous engagent à se que nos paroles reflètent nos pensées et donc cela nécessite une réflexion au préalable , ainsi comme le présente Vladimie Jankélévitch dans L'ironie : « l'articulation de la vérité veut être graduée ; on l’administre comme un élixir puissant et qui peut être mortel , en augmentant la dose chaque jour , pou laisser à l'esprit le temps de s'habituer » où il présente la vérité comme

En effet, on ne peut pas « prévoir » d’aimer. La spéculation sur ce qui peut advenir de la relation ne laisse pas de place aux sentiments : l’amour advient avant tout par un saisissement imprévisible et une passion qui nous prend par surprise.  Jankélévitch, prime ultime. De plus la stratégie suppose un point de vue en surplomb pour élaborer des stratagèmes. Ce point de vue de tiers semble être en trop dans une relation. Aussi, lorsque Benjamin Constant affirme qu’il se sent « de la meilleure foi