Jacques Lendrevie Denis Lindon

qui est du service, on pourrait le définir comme étant « une activité ou une prestation soumise à un échange, essentiellement intangible et qui ne donne lieu à aucun transfert de propriété. » Selon LENDREVIE Jacques, LEVY Julien et LINDON Denis, il existe un continu entre le bien et le service en ce sens que les offres de produits sont généralement des associations de biens et de services : primo, les biens sont de plus en plus souvent accompagnés de

important. L’approche par les scénarios permet en outre de mieux préparer les conditions internes de la réactivité face à des environnements changeants et parfois chaotiques. On consultera avec grand profit sur ce point H. Mintzberg2. 1. J. Lendrevie, D. Lindon, R. Laufer, Le Mercator, Dalloz 1983, p. 346 à 349. © Éditions d’Organisation L’ORGANISATION DU TRAVAIL 23 C. L’exposé de la solution Il ne saurait exister en gestion de solution unique à un problème. L’interprétation des faits

les médias créent,volontairement ou non,des leaders d'opinion (hommes politique,acteurs, penseurs,etc .) dont les actes,les idées ,les modes de pensées et les choix serviront de modèle, de référence à certaines catégories de personnes. Par ailleurs,Denis Benoît considère que les médias « n'imposent peut-être mas ce qu'il faut penser mais certainement ce à quoi il faut penser …». Sur le plan commercial, cette opinion est incontestable puisque c'est le rôle premier de la publicité, omniprésent,désormais

évaluation positive ou négative (ou attitude). Cette attitude influencera par la suite son comportement. « L’attitude est fondamentalement une dimension de mesure qui permet de situer la position d’un individu par rapport à un objet ». Selon Lindon et Lendrevie, « l’attitude est l’état mental d’un individu, constitué par l’expérience et les informations acquises lui permettant de structurer ses perceptions de l’environnement et ses préférences, et d’orienter la manière d’y répondre ». L’attitude

Systems Success: A Ten-Year Update, Journal of Management Information Systems, 2003. 22p. LENDREVIE Jacques, LEVY Julien, LINDON Denis. Mercator, Théories et pratiques du Marketing, Dunod, Septembre 2009. 1200p. Roh T. H, Ahn C. K, Han I. The priority factor model for customer relationship management system success, Expert Systems with Applications, 2005. 7p. (via www.sciencedirect.com) LENDREVIE Jacques, DE BAYNAST Arnaud, EMPRIN Catherine, La communication au service de la relation et de la fidélisation

important. L’approche par les scénarios permet en outre de mieux préparer les conditions internes de la réactivité face à des environnements changeants et parfois chaotiques. On consultera avec grand profit sur ce point H. Mintzberg2. 1. J. Lendrevie, D. Lindon, R. Laufer, Le Mercator, Dalloz 1983, p. 346 à 349. © Éditions d’Organisation L’ORGANISATION DU TRAVAIL C. 23 L’exposé de la solution Il ne saurait exister en gestion de solution unique à un problème. L’interprétation des faits, l’utilisation

marché …) On peut donc retenir les structures suivantes pour organiser la force de vente autour du territoire de vente de l’entreprise : affectation par secteurs géographiques, par produit ou par marché et par type de clientèle. LENDREVIE Jacques et LINDON Denis, op.cit., p.392 Ou : N : La taille de la force de vente ; V : Le nombre de visites nécessaires pour une classe de clients donnée ; R : Le nombre des visites qu’un vendeur peut faire dans une classe donnée ;

Selon Kotler et Dubois « Le marketing est le mécanisme économique et social par lequel individus et groupe satisfont leurs besoins et désirs au moyen de la création et de l’échange avec autrui de produit et service de valeur »(1). LENDREVIE, LEVY et LINDON ont dit : « Le marketing est l’ensemble de méthodes et de moyens dont dispose une organisation pour promouvoir, dans les publics auxquels elle s’intéresse, des comportements favorable à la réalisation des ses propres objectifs »(2). Comme

durable pour quelqu’un, pour quelque chose. » . On dit qu’une marque, une entreprise bénéficie d’une grande fidélité quand une bonne proportion de ses clients refuse de l’abandonner au bénéfice d’une autre. C’est dans cette perspective que Lindon et Jallat soulignent que « la fidélisation à une offre, à une entreprise, est un engagement profond pour acheter ou fréquenter à nouveau cette offre, cette entreprise, en dépit des facteurs situationnels et des efforts maximums susceptibles de provoquer

les pays émergents et des diversifications toujours plus hasardeuses. Bibliographie Les ouvrages : • Danielle Allérès. Luxe… Stratégies-marketing. • Marie-Claude Sicard. LUXE mensonges et marketing. • Jacques Lendrevie, Julien Levy et Denis Lindon. Mercator : Théories et nouvelles pratiques du marketing • Philippe Kolter, Kevin Lane Keller, Deplhine Manceau et Bernard Dubois. Marketing Management. Les sites Internet : • Le marketing du luxe http://www.ipsos