Ijtihad

commercial, j’ai choisi ce thème qui se caractérise d’actualité de secteur bancaire marocain qui est en pleine évolution. La Charia est un ensemble de règles provenant du Coran, des traditions du Prophète (la Sunna) et d’opinions de savants musulmans (Ijtihad). 3 La loi n° 34-03 relatives aux établissements de crédit et organismes assimilés et promulguée par dahir du 14 février 2006. 4 Voir Annexe1 5 Le classement de 2008 de 50 banques en Afrique fait par la Banque Extérieur d’Algérie (BEA). 2 Les

absolutely independent reasoning to create a contemporary “version” of the Sharia, as he sees the positive rules of applied fiqh which the ‘ulamā’ of the past have established, as an immortal heritage to the umma.96 Moreover he contends that unbridled ijtihād (the exercise of individual reason for the derivation of new laws within the framework of Islamic Law) leads to complete arbitrariness, since people who claim that nothing but Book and Sunna have 93 94 another indication of Yassine’s salafiyy

l‟islam tels que les ventes, les garanties, les procurations …. ; Alors que le Riba (l‟intérêt est prohibée). Nous l‟avons dit, les contrats dans l‟islam sont souvent régis par les Hadiths, le consensus (Ijmaa), l‟analogie et dans un dernier lieu (ijtihad), Alors que dans le Coran, nous avons bien constaté l‟exigence sur la justification des transactions via la documentation ou le gage pour éviter le cas de litige en l‟absence de cette documentation. Selon l‟islam, le droit des affaires est régis

Halal. Et ce conformément au texte coranique: «Ne qualifiez pas les principes que vous inventez de Halal ou Haram pour mentir au nom d’Allah. Ceux qui mentent au nom d’Allah ne réussiront jamais». Si le principe émane de la jurisprudence religieuse (Ijtihad), il peut changer mais sans nuire aux doctrines de bases prescrites dans le Coran et la sunna. La modification part du principe que les résultats de l’Ijtihad dépendent du contexte qui change perpétuellement. Ceci dit, l’usure ne peut en aucun cas

conduite applicables aux musulmans. Pour le courant orthodoxe, ce sont là les seules sources légitimes de connaissance. Et encore la jurisprudence islamique doit procéder par « imitation » du Coran (« taqlid ») et pas par interprétation de celui-ci (« Ijtihad ») Mais cette position ne s’est pas imposée immédiatement dans l’islam. Au milieu du VIII° siècle, se crée à Bassorah une école de théologie musulmane qui se pose en tierce position entre la tradition et le chiisme en cours de constitution, le motazilisme

(savants) de la première époque. La détermination des principes généraux est un fait avéré dans les modalités de lectures juridiques du Coran et des traditions et que confirment, s'il en était besoin, l'exigence de "l'effort de réflexion personnelle" (ijtihâd) dans des situations dont ne parlent ni le Coran ni la Sunna. L'ijtihâd : entre l'absolu des sources et la relativité de l'histoire Quand il devait prononcer un jugement, le premier calife Abou Bakr revenait d'abord au Coran en cherchant s'il s'y

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analyser l’oeuvre de Chraïbi et d’autres écrivains Maghrébins, Lang positionne le musulman premièrement par rapport à la “djihad” conçue comme une lutte intérieure recommandée à tous les croyants pour un salut personnel et deuxièmement par rapport à l’“ijtihad” traduite comme la libre interprétation des sources et des commentaires coraniques. Le Berbère Aswaw maintenant Imam Filani ré-interprète alors le Coran non en fonction des diktats religieux des hommes mais en fonction d’un salut à acquérir par sa

prévues aux dahirs visés à l'Article 397 ci-dessus. Article 400 Pour tout ce qui n'a pas été expressément énoncé dans le présent Code, il y a lieu de se référer aux prescriptions du Rite Malékite et/ou aux conclusions de l'effort jurisprudentiel (Ijtihad), aux fins de donner leur expression concrète aux valeurs de justice, d'égalité et de coexistence harmonieuse dans la vie commune, que prône l'Islam. 0123071203 Table des matières Dahir n° 1-04-22 du 12 hija 1424 (3 février 2004) portant

dans les solutions FINTECH dans la finance islamique. Autrement dit, il est impératif pour les chercheurs d'étudier les questions émergentes dans les solutions FINTECH et les applications qui nécessitent une approbation chariatique des conseils par Ijtihad, tout comme ils l’ont fait au cours de la phase initiale de l'industrie de la finance islamique. Par exemple, les juristes doivent décider dans quelle mesure l'utilisation de la technologie blockchain dans cryptocurrencies et d' autres solutions de