Furie

|Résisté sans courber le dos ; |Mais attendons la fin. " Comme il disait ces mots, |Du bout de l’horizon accourt avec furie |Le plus terrible des enfants |Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. |L’Arbre tient bon ;

inflexible ainsi que son attitude obstinée, la menant à croire qu'elle est libre de faire ce qu'elle veut même si cette liberté peut lui attirer les pires ennuis. De la terre se trouve sur sa robe, sur ses mains et un peu sur son visage pour montrer sa furie et sa détermination. * : photos explicatives dans la copie double.

tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Vaincu, pleure

souci. Les vents me sont moins qu’à vous redoutables. Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu’ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. " Comme il disait ces mots, Du bout de l’horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L’Arbre tient bon ; le Roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu’il déracine Celui de qui la tête au Ciel était voisine Et dont les pieds touchaient

secouée.On peut voir ici une allégorie de la vie et surtout de sa vie qui a été tourmenté et dans laquelle les décisions importantes ont été prise par son entourage et jamais par elle. Le lexique du vent ici, « tourbillonnement »et « tourbillonnait » « furie » « souffle de vent » « volaient » rappelle la tempête mais aussi la valse. En effet comme dans une tempête elle est « prises, jetées, et reprises » dans un courant « tumultueux ». Mais ici ce n’est pas le courant de la mer mais celui de la « valse

propre sang. Au cours de l'affrontement qui clôt la première partie de la nouvelle, Claudine Perreault sera piétinée à mort par Perceval, un cheval indomptable qu'admirait François pour sa résistance aux efforts de dressage de sa mère. La furie irrépressible de Perceval, sa "fureur jamais démentie" à l'image même de la puissance du torrent, nous est donnée à lire comme le symbole de la violence suscitée par Claudine chez son fils, violence qui en retour la tuera. Sa mort libère enfin François

continuer ma route. Dès que j’arrivais sur les lieux, j’ouvris la porte avec frénésie, avant de la claquer fermement. Je vis ma femme, sur son fauteuil, dos à moi. Je me mis à lui crier tout ce qui me venait à l’esprit, en espérant que cela puisse ôter ma furie de l’esprit. Subitement, je me rendis compte que la situation était anormale : Delphi ne bougeait pas ! Je me mis face à elle et découvrit avec effroi sa tête sanglante. Paniqué et déstabilisé, je me rendis compte que ma crise de colère a pu attirer

ces moments qui va créer de la beauté -fonction sémantique (ou métaphorique): créer une association d'idées en cours de séquence grâce à un fondu enchaîné sémantique (associer 2 idées pour en faire qu'une). Ex: les poules dans Furie les moutons dans Les temps modernes -Lev Koulechov est connu pour être l'un des plus grand théoricien du montage. Il faisait des expériences avec les plus mauvais étudiants: mettre 2 images côte à côte (toujours le même visage + une activité):

mauvais caractère. Une nuit, revenant chez moi, très soûl, de l’un de mes repaires en ville, j’imaginai que le chat évitait ma présence. Je l’attrapai, lorsque, effrayé poar ma violence, il m’infligea une légère blessure sur la main avec ses dents. La furie d’un démon s’empara aussitôt de moi. Je ne me contrôlai plus. Mon âme originelle sembla, tout d’un coup, s’envoler de mon corps; et une cruauté diabolique et imbibée de gin fit trembler chaque fibre de mon corps. Je sortis mon canif de la poche de

| | | | |Ainsi que des esprits errants et sans patrie |Des cloches tout à coup sautent avec furie | | | |[…] et lancent vers le ciel un affreux | | | |hurlement