Frère Giroflée

dessein10); chacun se mit à exercer ses talents. La petite terre rapporta11) beaucoup. Cunégonde était à la vérité bien laide ; mais elle devint une excellente pâtissière12); Paquette broda13); la vieille eut soin du linge14). Il n'y eut pas jusqu'à frère Giroflée qui ne rendît service ; il fut un très bon menuisier15), et même devint honnête homme; et Pangloss disait quelquefois à Candide: « Tous les événements sont enchaînés16) dans le meilleur des mondes possibles; car enfin, si vous n'aviez pas été

siècle le pourboire de la noblesse est peu à peu supplanté par celui de la bourgeoisie enrichit par le travail. Le travail transforme les individus, notamment Cunégonde belle et inutile est devenue laide mais excellente pâtissière utile, même le frère giroflée ne sera pas sauvée par la religion mais par le travail. Pangloss ne fait rien, il continu à parler. Son raisonnement est toujours le même s’il n’avait pas connu tout leur malheur auparavant, il ne serait pas heureux ici. Voltaire dénonce une dernière

tard dans l’histoire, au chapitre dix-neuf. La vieille est la fille du Pape Urbain X et de la princesse de Palestrine. Elle a connu un nombre inimaginables de malheurs et est devenue la servante de Cunégonde. Les personnages secondaires sont : Frère Giroflée, un moine théatin ; le Grand Inquisiteur, le chef suprême de l’Inquisition à Lisbonne ; Jacques l’anabaptiste, un négociant hollandais qui emmène Candide et Pangloss au Portugal ; Paquette, la femme de chambre de la baronne et maîtresse de Pangloss ;

Candide est identifié comme l’assassin présumé du Grand Inquisiteur. Il faut fuir et à nouveau se séparer. Chapitre 14 : Candide accompagné de Cacambo, se réfugie chez les Jésuites du Paraguay. Là, il découvre que le révérend père n’est autre que le frère du Cunégonde, qu’il avait cru mort dans l’attaque du château par les Bulgares. Chapitre 15 : Le jeune baron raconte son histoire. Puis lorsqu’il apprend que Candide prétend à la main de sa soeur Cunégonde, il frappe l’impudent. Candide pour se défendre

bonheur ne vient pas toujours avec la luxure. Ils croyaient avoir trouvé le bonheur avec toute la richesse dont ils avaient en leur possession. La métaphore «[…] ils avaient bien vite mangé leurs trois mille piastres[…]» insinue que Paquette et frère Giroflée ont tout dépensés ce qu'ils possédaient. Tandis que Candide et Cacambo, pour eux, Hyperbole «Vous avez regorgé de million de piastres[…]» démontre qu'ils ont une somme d’argent très élevée et qu’elle peut déborder de leurs poches. Finalement

Candide est identifié comme l’assassin présumé du Grand Inquisiteur. Il faut fuir et à nouveau se séparer. Chapitre 14 Candide accompagné de Cacambo, se réfugie chez les Jésuites du Paraguay. Là, il découvre que le révérend père n’est autre que le frère du Cunégonde, qu’il avit cru mort dans l’attaque du château par les Bulgares. Chapitre 15 Le jeune baron raconte son histoire. Puis lorsqu’il apprend que Candide prétend à la main de sa soeur Cunégonde, il frappe l’impudent. Candide pour se défendre

de la religion. → La religion est avide de biens matériels : Tous les personnages religieux sont liés à l'argent. Les "professionnels de la foi" sont le plus souvent des hypocrites et des voleurs : L'inquisiteur et le juif avec Cunégonde et frere Giroflee avec Paquette, qui sont des profiteurs; et L'abbé périgourdin et le cordelier du chapitre 10 sont des voleurs. → Voltaire condamne donc grâce à cet apologue les institutions et les pratiques religieuses. Pourquoi considère t-on Candide

hésiter plus que jamais Candide, et d'embarrasser Pangloss. C'est qu'ils virent un jour aborder dans leur métairie Paquette et le frère Giroflée, qui étaient dans la plus extrême misère ; ils avaient bien vite mangé leurs trois mille piastres, s'étaient quittés, s'étaient raccommodés, s'étaient brouillés, avaient été mis en prison, s'étaient enfuis, et enfin frère Giroflée s'était fait turc. Paquette continuait son métier partout, et n'y gagnait plus rien. « Je l'avais bien prévu, dit Martin à Candide

Candide, fils de la soeur du baron Thunder-ten-tronck, est un jeune homme naïf qui vit dans " le plus beau des châteaux ". Il aime Cunégonde et écoute avidement les théories de Pangloss le philosophe. C'est aussi l'ami du frère de Cunégonde. Un jour, il embrasse Cunégonde et là, tout s'écroule et il est mis à la porte du château. Candide veut revoir Cunégonde car il l'aime. Une fois jeter à la porte, Candide se fait engager de force dans l'armée bulgare. Après quelques semaines passées dans l'armée

Candide. Il lui expliqua que Paquette lui avait transmis la maladie et qu'il ne pouvait se faire soigner, car il n'avait pas d'argent. Il ajouta que les Bulgares avaient mis la seigneurie du baron à sac et que ce dernier, la baronne, Cunégonde et son frère avaient été tués. Candide convainquit Jacques d'héberger Pangloss et de payer ses frais médicaux. Deux mois après (à son service), ils l'accompagnèrent à Lisbonne en bateau. Mais durant la traversée, le temps se gâta. Chapitre 5 : Leur embarcation