Foule

Car les dieux sont : en effet la connaissance qu’on en a est évidente. Mais ils ne sont pas tels que la foule se les représente ; car la foule ne garde pas intacte la notion qu’elle en a. L’impie n’est pas celui qui rejette les dieux de la foule, mais celui qui attache aux dieux les opinions de la foule. Car ce ne sont pas des prénotions mais des présomptions fausses que les assertions de la foule au sujet des dieux. À partir de là viennent des dieux les plus grands dommages et les plus grands avantages

semble figé par leur amour . Cette foule pressée semble indifférente à leur bonheur. Ces passants sont pris dans leurs quotidiens et ne se soucient pas les uns des autres . En face d'eux se trouve un café munis d'une terrasse où se trouve un homme. Le photographe a donc du se situer derrière cet homme pour prendre la photo. Tout devient flou pour ce qui se trouve derrière le couple . L'attention doit être centrée sur eux .Le flou est renforcé par le va et vient de la foule ce qui fait une fois de plus

rencontre de soi et de l’autre. En effet, ce regard se révèle sur deux faces dans un premier temps dans une face de solitude et multitude et dans un deuxième temps une face de la découverte de l’autre. Le poète est le solitaire qui contemple la foule ; c'est le voyeur curieux et témoin d'existences contradictoires. Grouillante agitation qui témoigne de la complexité humaine : image-clé de la fourmilière. On retrouve cette image clé dans dans "Les Petites Vieilles" avec "fourmillant tableau" (v

je retournais souvent la tête pour revoir encore le jeune homme que je laissais derrière moi ; mais je ne croyais pas me retourner pour lui. De son côté, il parlait à des personnes qui l’arrêtaient, et mes yeux rencontraient toujours les siens. La foule à la fin m’enveloppa, et m’entraîna avec elle ; je me trouvai dans la rue, et je pris tristement le chemin de la maison. Je ne pensais plus à mon ajustement en m’en retournant ; je négligeais ma figure, et ne me souciais plus de la faire valoir. J’étais

assaillants, mais ceux-ci demeurent dans la cour royale. Une foule de femmes presque nues, rapporte un témoin, et des hommes armés de piques semblent prêts à envahir une nouvelle fois le château. La Fayette, qui a enfin consenti à  se réveiller, entraîne le roi sur le balcon. " A Paris ! A Paris ! " réclame la foule, qui exige également la présence de la reine. Malgré le danger qu'elle court, la souveraine apparaît à  son tour au balcon et salue la foule. Quelques heures plus tard, la famille royale quitte

(répétit° «mon amour»), évocat° désir. Attitude amoureuse («caressa», «sourit», «près d'elle», «embrassé»). Scène de bonheur, tranquilité. Homme étrange. Seule femme compte («l'appelait», «souriant»). Express° «inversée du W.», regard abst, ne voit pas foule. Baiser sanglant ouvre W. excés: scène proche indécence, «vautrait»: péj., évoq. Posture bestiale. Paradoxalmt, certaine sensualité, allus° posture amour physiq. Indécence d'autant + flagrante q. scène intimité exposée, photographiée. 2)Scène de

lecteur ne peut les différencier, utilisation du déterminant "l'" et "ils" vers 5, 11 et 12 . De plus, l'utilisation de "souvent" vers 1, montre que les membres d'équipage embêtent régulièrement l'oiseau (embêté l'albatros, le rabaissé) comme la foule avec le poète, c'est une vérité générale. Dans le vers 2, "prennent" et vers 11, "agace", Cela montre bien leur méchanceté à son égard. Et ce sont eux qui "déposent" les albatros sur les planches (le bateau) vers 5. De plus, vers 1, ce n'est que pour

lanternes de notre instrument de supplice, au cours de la dernière exécution : celle d'un anonyme. * ** A cet angle de la rue, au coin d'une guinguette en lumières, se boucle, d'un poste, la ceinture de gardes à cheval qui enserre la place. Quelle foule depuis minuit ! L'inspecteur de service prend nos cartes : - Nous entrons. Autour de nous la place est déserte et obscure. Sous les arbres, là-bas, passent des lueurs, des ombres humaines. Je m'approche. Entre deux rangs d'uniformes noirs, sorte

américains * L’invention de la communication politique en France * L’apport des travaux sur la réception I. Aux origines : les impensés de la discipline A. « Classes laborieuses, classes dangereuses » : le propagande et la peur de la foule : 1. L’émergence du politique : Il y a deux transformations politiques majeures : la mise en place du suffrage universel et son apprentissage et le processus de nationalisation des conscience. La compétition électorale ne nait pas avec le

caractère officiel de la manifestation → énumération : "les troupes bariolées d'argent, d'azur, de pourpre et d'or", cela suggère un certain éclat. – Le silence domine dans la population et parmi les soldats → l'oxymore du "sourd murmure de la foule" révèle une austérité et permet de palper une certaine tension + la métaphore du "palais de la Belle au bois dormant" pour désigner le palais impérial exprime également l'idée de calme. – Le moment est grave, car les enjeux de la campagne militaire