Foule

sur son nom " Georges Du Roy "  - La sortie de l'Eglise = procession royale (cf. 3ème paragraphe avant la fin). La foule est immense. Champ lexical de la foule Elle est comparée à une masse.  => c'est une masse anonyme qui n'existe que par rapport à Bel-Ami : elle est là pour l'acclamer. Dans l'incipit Bel-Ami est dans la foule, ici il en est détaché. Pour Bel-Ami la foule existe en fonction de ce qu'elle donne : acclamations (l.10) et des compliments (l.12) - Il peut ambitionner le Palais

les parents et amis, drapés de leurs plus beaux habits, arrivent et s’installent aisément après les salutations d’usage. Les chefs traditionnels, les notables, les guérisseurs et marabouts occupent le centre de la foule. Les femmes de la génération de la mère arrivent devant la foule, chantent les vertus de la mère épouse et réclament leur cadeau avant la cérémonie officielle. Le bébé, tenu dans de beaux pagnes entre les mains de la belle sœur, est remis au chef religieux qui formule les prières

Somalis devant la foule lors de l'exposition coloniale , essaye par ses propres moyens et ses deux camarades, (déplacement des ordures...)d'attirer la foule en se hissant sur une poubelle, c'est à ce moment là que tout le monde imaginait que le numéro faisait partie du spectacle. La jeune femme commenca son discours avec une forte voix et claire, exprime clairement la complicité de la bourgeoisie tout entière avec la Grande-France. Elle essaye de montrer à toute cette foule joyeuse qui rit, s'amuse

malencontreusement, celui de l’exécution d’un condamné. Je me situé sur le quai Pelletier quand j’aperçus au loin une foule sur la place de Grève. Par curiosité, je me suis approchai. Arrivée sur la place je vis un homme au crâne rasé, maigre, avec une chemise de batiste qui était en train de sortir d’une carriole. Il était avec deux hommes qui le tenaient. La furibonde foule hurlait : ‘à mort !’, et à ce moment-là je compris ce qu’il allait arriver à cet homme. Les deux hommes l’amenèrent au

Pour nous distraire, nous émouvoir. Pour Lechy Elbernon, dans L'Echange de Paul Claudel, le public vient au théâtre pour se « regarder lui-même ». Dans Ruy Blas, Victor Hugo classe les spectateurs en trois catégories : les femmes, les penseurs et la foule auxquels il donne à chacun des raisons différentes de se rendre au théâtre. Mais qu’en est-il réellement ? Le spectateur vient-il au théâtre dans le but de noyer son ennui et de plonger quelques heures dans une illusion, ou est-ce dans un but plus

Les psychologuesI. La question des techniques de communication chez les penseurs sociaux : les médias comme source d’émancipation ou d’aliénation collective? II. La question des médias chez les psychologues des foules : les médias à l’heure de la foule ou des publics?I. La question des techniques de communication chez les penseurs sociaux : les médias comme source d’émancipation ou d’aliénation collective? A. Saint-Simon et les réseaux de communication • Claude-Henri de Saint-Simon (1760 – 1825)

2e strophe : effet de l’appontage sur l’albatros. 3e strophe : perte de dignité de l’albatros, jeux de l’équipage. 4e strophe : comparaison albatros / poète Valeur symbolique Comparaison des matelots à une foule et de l'Albatros à un poète. Le poète est incompris par la foule. Il est marginal comme l'albatros pour les marins. Le poète domine les aléas et les surmonte avec beaucoup d'aisance. Vision du poète ambigu et complexe. Grammaticalement, il y a une rupture de construction qui est

l'homme, elle ne lui paraît plus hostile I) Une description épique - Susciter des émotions - Introduit par V. au Plus que Parfait "avaient paru" --> Regard sur les femmes - Description de la foule en marche - Description réaliste à dimensin épique a) La mise en scène d'un être collectif : La foule - Personne n'est mis en avant : pluriels genreriques précédé d'un article défini à valeur generalisante ( ex : les fleurs --> toutes sortes de fleurs ) l1 "les femmes" --> en tête du cortège, être

d’apaiser sa peine, le prêtre le traita d’ « impie » et sa fille ne le reconnaît plus jusqu'à l’apostropher par ‘ Monsieur ‘. Ainsi il fut laissé dans une solitude absolue. L’ultime trajet de la conciergerie à la place où se dresse l’échafaud. La foule se presse, rit, applaudit. Le narrateur, tremble et implore pitié et compassion. A peine a-t-il eu le temps d’écrire ses derniers mots. Mais en vain, il est quatre heures, place à l’exécution de ce malheureux. VI – Personnages Le condamné à

mécanisé mais Gwynplaine n’est pas le maitre ni le constructeur de ce visage. Le rire de Gwynplaine est communicatif car il n’est pas le seul à y être obligé, la foule doit rire aussi. En effet dans la phrase liminaire du texte : « C’est en riant que Gwynplaine faisait rire » que nous apprenons que quand il rit, la foule rit or Gwynplaine est comme expliqué précédemment, contraint à rire continuellement donc le public est contraint lui aussi a rire. « Quoi que fît Gwynplaine, quoi qu’il